Deuxième épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Dior, Jacob & Co x Balenciaga, Junghans, Lotus Connected, Nivada Grenchen, Sinn et Undone…

Après Nick Hayek (voir nos éditions précédentes), une virevolte pour endosser le costume de Bernard Arnault, l’actionnaire du groupe LVMH. Comme il est le grand gagnant des batailles horlogères de la dernière décennie, on ne saurait formuler « à sa place » que des suggestions alto-stratégiques pour ses intérêts horlogers…

Cinquante-quatrième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand Guillaume Apollinaire (1880-1918) pour la citation de ses « Mamelles de Tirésias » (1917) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie de ce début 2024. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Après Nick Hayek (voir nos éditions précédentes), une virevolte pour endosser le costume de Bernard Arnault, l’actionnaire du groupe LVMH. Comme il est le grand gagnant des batailles horlogères de la dernière décennie, on ne saurait formuler « à sa place » que des suggestions alto-stratégiques pour ses intérêts horlogers…

Douzième et dernier Baromontres de l’année 2023, avec dix coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pour les premiers jours de cet hiver 2023. Les quatre trimestres écoulés ont déjà souligné les incertitudes qui se dessinaient pour l’année en cours : cette morose fin de l’année semble nous annoncer un début 2024 difficile. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2023, qui ne nous aura pas réservé le meilleur de ces dernières années…

Premier épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Breguet, Dior, Doxa, Grand Seiko, Longines, Nivada Grenchen et Sinn…

Cinquante-troisième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand écrivain français Jean Giono (1895-1970) pour la citation de son « Moulin de Pologne » (1953) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Cinquante-deuxième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand penseur contemporain Christopher Lasch (1932-1994) pour la citation de sa « Culture de masse ou culture populaire » (2001) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité horlogère. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi, pour cette ultime chronique de 2023, une connexion low cost qui va vous simplifier la vie, un bleu plus bleu que bleu, un rouge qui fait tourner rond les minutes, une fusée lunaire prête à décoller, un retour de l’écran TV et une montre de l’année… Images ci-dessous : un lever de lune pour dragon taquin (Arnold & Son) et un bestiaire onirique qui s’anime dans une jungle féérique (Dior)...

Cinquante-et-unième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au génial et pétillant poète, écrivain et cinéastre français Jean Cocteau (1889-1963) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

291e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Beaubleu, Bremont, Chopard, Dior, Louis Moinet, Movado et Orient…

290e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Beaubleu, Dior, F.P. Journe, Franck Muller, Lotus, Mido et Sherpa Watches…

Cinquantième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au quasi-légendaire dialoguiste Michel Audiard pour la citation de son « Pacha » (1968, tirade d’André Pousse) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité des montres. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

289e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques – Beaubleu, Casio G-Shock, Dior, March LA.B, Maurice de Mauriac, Project Watches et S by Salanitro…

Quarante-neuvième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’immortel inspecteur Harry (Clint Eastwood, dans le film de Don Siegel, 1971) pour la longue citation qui compose le titre de cette pictochronique (citation complète : « Je sais ce que tu penses : “C’est six fois qu’il a tiré ou c’est cinq seulement ?”. Si tu veux savoir, dans tout ce bordel, j’ai pas très bien compté non plus. Mais c’est un Magnum .44, le plus puissant soufflant qu’il y ait au monde, un calibre à vous arracher toute la cervelle. Tu dois te poser qu’une question : “Est-ce que je tente ma chance ?”. Vas-y, tu la tentes ou pas ? » – en anglais : « Ah Ah, I know what you're thinking. 'Did he fire six shots or only five?' Well, to tell you the truth, in all this excitement I've kinda lost track myself. But being this is a .44 Magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you've got to ask yourself one question: 'Do I feel lucky?' Well, do ya, punk? ». C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette citation à l’actualité des montres.