Cette année 2020 et la décennie qu’elle a ouvert seront décisives pour l’histoire des montres traditionnelles. Ce sera tragique pour certains, mais sans doute positif pour d’autres si les planètes s’alignent correctement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

96e épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour portent sur les montres découvertes en 2007. Il s’agit avec ce jeu-test d’explorer les connaissances des primo-accédants à cette culture de la montre – mais cette série vise aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

On va aussi vous parler des chaises musicales de la semaine, du retard chronique des horlogers et de l’utilité fonctionnelle des « salons digitaux » qu’on nous promet pour 2021 : enfumage ou bouée de secours ?

Soixante-cinquième séquence de découverte de l’offre horlogère proposée au dernier trimestre 2020. Sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, le millésime 2020 achève enfin de prendre forme. Certaines nouveautés méritaient le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une montre par jour de la semaine, soit sept montres de sept marques (par ordre alphabétique) : ArtyA, Hautlence, Jaquet Droz, Piaget, Richard Mille, Shamballa et Watch Certificate…

Vous entrez maintenant dans une Zero Bullshit Zone, territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte »…

Cette « affaire Banksy » ne se résume au dévoilement de l’identité de cet « artiste », trop mystérieux pour être honnête : elle dévoile des pratiques de corruption dans un milieu d’art contemporain trop friqué pour ne pas être malhonnête…

Mais aussi un serpent de lumières lové autour de la montre, un vert trop classique pour être honnête, un précieux tapis de lapis-lazuli et une icône dopée par une légende… Images ci-dessous : une certaine exubérance chromatique au service des fonctions mécaniques (Richard Mille)…

La fin de l’année voit se multiplier les projets de nouvelles marques sociofinancées, pour le meilleur comme pour le pire. Même si les temps sont difficiles pour ces jeunes marques, certaines campagnes méritent notre attention. Quelles sont les nouvelles références les plus intéressantes parmi celles qui tentent d’émerger en pleine chronapocalypse ?

La marque genevoise décline cette fin d’année une animation de sa montre dame Flying-T aux couleurs de saison. Florence Jacquinot nous en raconte quelques secrets bien gardés…

Vous entrez maintenant dans une Zero Bullshit Zone, territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte »…

Soixante-quatrième séquence de découverte de l’offre horlogère proposée au dernier trimestre 2020. Sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, le millésime 2020 achève enfin de prendre forme. Certaines nouveautés méritaient le détour, notamment dans les pièces inscrites au GPHG : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une montre par jour de la semaine, soit sept montres de sept marques (par ordre alphabétique) : Charles Zuber, Émile Chouriet, Fleury Manufacture, Harbor, LYH (Lin Yong Hua), Kikuchi Nakagawa et Schott…

Toutes les modes passent et toutes les bulles crèvent : on peut toujours rêver de nouvelles « années folles », mais le parallèle années 1920-années 2020 a tout du paralogisme incohérent. Heureusement, on a aussi quelques autres bonnes nouvelles à vous communiquer…

L’initiative est française, l’inspiration horlogère suisse et le message planétaire, version intello et tendance new age. Le nom de la nouvelle marque, lui, nous arrive en direct de l’Égypte pharaonique : Safnath Panéa, c’est le « révélateur de secrets ». Le seul vrai secret, c’est celui du temps…

Cette année 2020 et la décennie qu’elle a ouvert seront décisives pour l’histoire des montres traditionnelles. Ce sera tragique pour certains, mais sans doute positif pour d’autres si les planètes s’alignent correctement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

95e épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour portent sur la maison Roger Dubuis (seconde partie). Il s’agit avec ce jeu-test d’explorer les connaissances des primo-accédants à cette culture de la montre – mais cette série vise aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.