Ce n’est pas la peine d’avoir autant de managers horlogers qui sont passés par les plus grandes écoles de commerce ! S’ils comprennent de moins en moins le marché, c’est qu’ils ont oublié des notions aussi élémentaires que la valeur d’usage et la valeur d’échange…

Des images détournées et des photos piratées dans cette pictofiction, réalisée dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Jean Cocteau pour l’emprunt de la citation qui donne son titre à cette chronique…

Parmi les multiples plaies qui affectent le monde horloger, la carpo-insécurité – le fait d’inciter les malfaisants à vous dépouiller – est une des plus aigües. Les voleurs ne partent pas en week-end : gardez-vous bien de faire la sieste dans un hall d’hôtel avec une Rolex au poignet…

Mais, comme il n’y a pas que les cadrans dans la vie des montres, on va aussi vous parler des chaises musicales, d’un retour des revenants, du débarquement d’un héritier, d’une Breguet plus ou moins régalienne et des bonnes lectures du jour…

La seconde partie de l’année 2021 est maintenant largement entamée, avec une première perspective sur 2022. La pandémie semble avoir relâché – provisoirement ? – son emprise sur l’horlogerie, mais des mutations décisives sont à l’œuvre. Attendons ces semaines de rentrée pour en savoir plus… Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces derniers jours, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres du second semestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Voici une nouvelle brassée de montres qui sont en compétition pour le GPHG 2021 et qui n’avaient pas été chroniquées dans nos pages. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : AnOrdain, Chopard, Doxa, Louis Érard, Louis Vuitton, Massena Lab et Van Cleef & Arpels…

Des images détournées et des photos piratées dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Antoine Blondin, à Michel Audiard et même au général de Gaulle – allez savoir ! – pour l’expression populaire qui sert de titre à cette chronique…

Certains acteurs de l’horlogerie font preuve, année après année, d’une ténacité tout ce qu’il y a de plus admirable. Ainsi Carlo E. Naldi, qui avait déjà colonisé avec une quarantaine de marques la périphérie immédiate de Baselworld. Comme il ne manque pas d’imagination, il rêve cette fois d’implanter à Neuchâtel un salon horloger comme il n’y en a jamais eu sur les berges des Trois-Lacs…

Mais aussi les heures grainées qu’on déconstruit, le basculement d’une montre, les douze mascottes qui tambourinent, les bracelets du recyclage et le mauve évadé de Yakoutie… Ci-dessous : il n’est jamais que midi et quart plus quarante secondes au cadran de cette Trilobe, mais quelle est l'heure indiquée par le capitaine Blake ?

Des images détournées et des photos piratées dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Mark Twain pour la savoureuse sentence que nous lui empruntons pour le titre de cette chronique…

La révolution des poignets, c’est aussi la révolution des bracelets qui servent à y attacher des montres : prélude à leur stigmatisation, la ringardisation des peaux d’alligator avance à grands pas. On se demande pourquoi les marques de montres retardent tant l’adoption de bracelets biosourcés de plus en plus créatifs…

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres du second semestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Voici une nouvelle brassée de montres qui sont en compétition pour le GPHG 2021 et qui n’avaient pas été chroniquées dans nos pages. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Breitling, Bvlgari, Chanel, Louis Vuitton, Piaget, Vacheron Constantin et Van Cleef & Arpels…

Apparemment, les horlogers suisses opposent un impavide optimisme et une sérénité coulée dans le marbre face à tous les signaux faibles qui nous arrivent de Chine. Apparemment, la campagne de Xi Jinping pour la « prospérité commune » n’alarme personne. « Business as usual ». Apparemment, tout est sous contrôle. Sauf que…

Des images détournées et des photos piratées dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Molière pour ce titre emprunté à ses « Fourberies de Scapin » (II, 7)…

Percée qui n’arrange pas les parts de marché des concurrents et qui est d’autant plus méritoire qu’elle s’est opérée sur un segment de prix intermédiaire – encore 3 000 euros et 10 000 euros – que les marques suisses avaient tendance à déserter, alors que cette gamme est sans doute une des plus prometteuses, en termes de volume et de ciblage d’une nouvelle génération d’amateurs. Mais on a aussi plein d’autres histoires à vous raconter…