Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de cette douzaine d’images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

Mais on va aussi vous parler des quatre-vingts bougies d’un grand homme, de la rumeur du jour, du bonnet d’âne de la semaine, de la seconde qui n’est plus une et des maniaques du tableur Excel…

Seuls ou en meute, ils sont indépendants et ils ont su prendre quelques bonnes options face aux nouvelles conditions de marché. Qu’ils soient en atelier, à l’établi, en « laboratoire » ou dans une start-up remuante, ces « zindés » ont tout compris et ils sont bien décidés à survivre. Il faut d’autant plus les suivre parce qu’ils portent aujourd’hui les graines créatives des printemps qui s’annoncent pour les années qui viennent. Dans la série de ceux qui ont (presque) tout compris, voici Vianney Halter et sa mécanique résonante…

Les années 2020 seront décisives pour l’histoire des montres traditionnelles. Ce sera tragique pour certaines maisons, mais sans doute positif pour d’autres si les planètes s’alignent correctement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

99e et avant-dernier épisode de notre séquence « Horlomania », qui faisait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour portent sur la maison Oris. Il s’agit avec ce jeu-test d’explorer les connaissances des primo-accédants à cette culture de la montre – mais cette série vise aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

La chronapocalypse incontrôlable de 2020 n’a pas encore terminé ses ravages, mais les marques de montres font de la résistance. Certaines nouveautés méritent le détour : voici une présentation des sept premières montres de l’année, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Compte tenu des vacances horlogères et des décalages de production provoquées par la crise sanitaire, bon nombre de ces montres ont été présentées en 2020. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici en Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas », ce sera donc une montre par jour de la semaine, soit sept montres de sept marques : Alpina, HYT, Jaquet Droz, Millechron, Seiko, Swatch et Zenith…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de cette douzaine d’images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

Mais aussi le coup « fumant » d’une réédition « fumée », un tourbillon frison en nid d’abeille, un coup de main russe pour Notre-Dame-de-Paris et une guerre entre grands joailliers à l’horizon… Images ci-dessous : assis entre cette planète et d’autres mondes, Vianney Halter, le plus déjanté de nos horlogers contemporains…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de cette douzaine d'images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

Il sera aussi question de l’offensive en cours du côté des ateliers indépendants, du grand secret d’un grand youtubeur, des grandes manœuvres successorales au Swatch Group et des milliardaires chinois qui ont intérêt à faire profil bas…

L’horlogerie aura tout de même beaucoup appris au cours de cette année pandémique qui a fortement bousculé ses idées reçues ! Que d’illusions perdues ! Que de certitudes vaporisées par le basculement des marchés en mode lock-down ! Et que de nouveaux mots pour tenter de décrire et décoder le monde d’après : en voici une dizaine (seconde partie)…

La chronapocalypse incontrôlable de 2020 n’a pas encore terminé ses ravages, mais les marques de montres font de la résistance. Certaines nouveautés méritent le détour : voici une présentation des sept premières montres de l’année, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Compte tenu des vacances horlogères et des décalages de production provoquées par la crise sanitaire, bon nombre de ces montres ont été présentées en 2020. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici en Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas », ce sera donc une montre par jour de la semaine, soit sept montres de sept marques : Beaubleu, Ciga Design, Gucci, Karsten Frässdorf, Jaquet Droz, Piaget et Rolex…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte »…

Il sera également temps de parler de montres de tranchées qui s’arrachent et des satellites mécaniques qui s’envolent, de l’hibernation du jour et des nouvelles règles du jeu pour « Business Montres » en 2021...

Est-il vraiment « normal » de voir une manufacture de Saint-Pétersbourg (Russie) s’atteler à la restauration de l’horloge de Notre-Dame-de-Paris, détruite dans l’incendie de la cathédrale au printemps 2019 ? La France ou la Suisse disposaient de toutes les ressources pour accélérer cette remise en état – sauf peut-être d’un zeste de volonté et d’un soupçon de générosité…