Ainsi, cette année 2020 et la décennie qui s’ouvre seront décisives pour l’histoire des montres. Sans doute de façon tragique pour certains, mais aussi de façon plus positive si les planètes s’alignent correctement. Dans notre « zéro bullshit zone », nos lecteurs étaient en première ligne pour mieux comprendre ce qui est en jeu alors que l’horlogerie est au point mort. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

77e épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps. Cette séquence est consacrée à ce que l’horlogerie suisse a pu créer en plein conflit mondial, entre 1939 et 1945, alors que la Suisse bénéficiait de sa « neutralité » au cœur d’une Europe en guerre (troisième et dernière partie). Il s’agit avec ce jeu-test d’explorer les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture de la montre – mais elle vise aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

On ne va pas non plus se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

Mais aussi le chronographe plus inrayable que le diamant, le record de profondeur resté inviolé depuis quinze ans, l’écaille de tortue qui fait voyager et l’aventure sans tricherie d’une baroudeuse vintage… Images ci-dessous : Tudor au poignet, deux nageurs de combat de la Marine nationale à la grande époque et une montre solaire inattendue dans ses couleurs...

On ne va pas non plus se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

Dix coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pour le mois de juin 2020, avec un regard curieux sur ce que pourraient être les tendances de l’année. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie des montres. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière au milieu de l’automne : avec la fin du printemps et de ce premier semestre des années 2020, dans les fracas de la coronapocalypse et les incertitudes du post-déconfinement, voici que s’annonce un millésime 2020 brinquebalant et pas du tout enthousiasmant…

Il y a exactement dix ans, le 28 juin 2010, Nicolas G. Hayek, le fondateur du Swatch Group, nous quittait, terrassé dans son fauteuil de bureau par un coup de sang. Il avait 82 ans. Pas un seul hommage – pas même familial – pour ce dixième anniversaire de la disparition de celui qu’on peut considérer comme le refondateur de l’horlogerie suisse à la fin du XXe siècle…

Vingt-septième séquence de découverte de l’offre horlogère pour ce premier semestre 2020. Avec la fin d’un printemps qui s’est ouvert sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, les nouveautés 2020 sont de retour. Certaines méritent le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Aerowatch, Bovet 1822, Briston, Eberhard & Co, Laventure, Longines, Trilobe…

L’horlogerie est en train de nous refaire le coup des pattes d’éléphant et de la mini-jupe. Après deux décennies d’inflation des boîtiers, on repasse actuellement sous la barre des quarante millimètres que nous avions allègrement franchie en même temps que le troisième millénaire. On va aussi vous parler de nouvelles aventures et vous dévoiler quels blocages paralysent l’exécutif genevois face aux salons du printemps 2021…

Ainsi, cette année 2020 et la décennie qui s’ouvre seront décisives pour l’histoire des montres. Sans doute de façon tragique pour certains, mais aussi de façon plus positive si les planètes s’alignent correctement. Dans notre « zéro bullshit zone », nos lecteurs étaient en première ligne pour mieux comprendre ce qui est en jeu alors que l’horlogerie est au point mort. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

76e épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps. Cette séquence est consacrée à ce que l’horlogerie suisse a pu créer en plein conflit mondial, entre 1939 et 1945, alors que la Suisse bénéficiait de sa « neutralité » au cœur d’une Europe en guerre (deuxième partie). Il s’agit avec ce jeu-test d’explorer les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture de la montre – mais elle vise aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

On ne va pas non plus se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

Mais aussi un coup de folie sur les coussins moelleux d’une Rolls-Royce, une hybridation entre icônes horlogères, les lumières d’une « plongeuse » qui ne manque pas d’éclat et le charme rêveur d’une discrète bourgeoise… Images ci-dessous : dans la pénombre, la montre de plongée la plus illuminée de l’offre contemporaine

Sept mois ! Il ne reste en fait que sept mois avant la saison 2021 des salons horlogers, normalement agendés pour le début d’avril – mais rien n’est désormais moins sûr... La confusion est totale sur le lieu, la date et l’unité d’action qu’on attendrait d’une horlogerie encore sonnée par la chronapocalypse. Hélas, on n’a plus le choix : c’est maintenant à Rolex de taper du poing sur la table et de rappeler qui porte la couronne, et pourquoi il y a le feu au lac…

Aucun souci pour la destinée commerciale de cette montre en acier : les mille exemplaires annoncés sont sans doute déjà attribués et sur liste d’attente dans le monde entier. Au-delà de ce succès planétaire absolument prévisible, il faut comprendre en quoi cette montre est révolutionnaire pour la maison Patek Philippe…