On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

Notre série d’été sur les « plus belles publicités horlogères de tous les temps et de toutes les marques » fait la part belle aux marques du second rayon, voire aux marques disparues. À croire que la créativité horlogère est inversement proportionnelle à la réalité commerciale des marques concernées…

Jean-Claude Gueit (1937-2020) nous a quittés, en emportant avec lui une certaine idée de la grâce qui s’attache aux montres de femmes.

Les lecteurs de « Business Montres » savaient depuis la semaine dernière que le groupe Richemont avait coupé la tête de la patronne de la FHH. Nos articles et nos dessins ne laissaient aucune doute à ce sujet. Une nouvelle ère commence pour les salons genevois du printemps 2021 : il était temps, mais le pari est encore loin d’être gagné…

Trente-et-unième séquence de découverte de l’offre horlogère pour ce premier semestre 2020. Avec la fin d’un premier semestre qui s’est ouvert sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, les nouveautés 2020 sont de retour. Certaines méritent le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Artya, Eberhard & Co, Frederique Constant, Hamilton, Hublot, Junghans et Michel Herbelin…

80e épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps. Pour cette séquence, un coup de projecteur sur la jeune manufacture indépendante MB&F. Il s’agit avec ce jeu-test d’explorer les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture de la montre – mais cette série vise aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

Mais aussi les lumières vertes des lacs antarctiques, l’heure de la mission pour King’s Man, la surfeuse nostalgique et le bleu layette d’un chrono costaud… Images ci-dessous : des vagues de la côte Basque à celles de la Californie, en passant par les codes urbains…

Dans cette vidéo « historique » de 1969, l’ex-président des Etats-Unis Richard Nixon annonce l’échec tragique de la mission Apollo 11, dont les trois astronautes ne sont jamais revenus sur la Terre. Ils reposent sur la Lune, où ils se sont écrasés, avec leur Omega Speedmaster au poignet. Imaginez : sans la légende de la Moonwatch, le destin de l’horlogerie contemporaine aurait été bien différent ! À la périphérie créative des objets du temps, voici l'histoire d'un secret bien gardé pendant plus de cinquante ans...

Il devait se passer beaucoup de choses cet été à propos des salons horlogers du printemps prochain. On est aujourd’hui à trois localisations, deux dates et cinq événements différents – guère mieux définis et plus avancés les uns que les autres ! Une bonne nouvelle dans ce cafouillage ridicule : il semblerait qu’on ait enfin identifié le principal facteur de blocage de toute initiative unitaire à Genève…

On ne va pas se prendre la tête, ni tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins et d’images « piratées » ici ou là pour commenter une semaine de la vie des montres, histoire d’échapper aux communiqués officiels. Il s’agit d’illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère…

On peut même parler de « langue de boîte », ce jargon corporate qui sert de béquille à la paresse intellectuelle des communiqués officiels et des dossiers de presse. C’est bizarre comme cet article, initialement publié en 2007, peut rester d’actualité treize ans plus tard ! Voici quelques échantillons de mots interdits – ceux qui fâchent et ceux qui enrobent de miel les grosses ficelles du marketing horloger (seconde partie : I-T)…

On peut même parler de « langue de boîte », ce jargon corporate qui sert de béquille à la paresse intellectuelle des communiqués officiels et des dossiers de presse. C’est bizarre comme cet article, initialement publié en 2007, peut rester d’actualité treize ans plus tard ! Voici quelques échantillons de mots interdits – ceux qui fâchent et ceux qui enrobent de miel les grosses ficelles du marketing horloger (première partie : A-H)…

Vos déchets électroniques sont une mine d’or pour les designers horlogers qui n’ont pas peur de faire du neuf avec du vieux, et du recyclé avec du périmé : à la périphérie créative des objets du temps, voici la « montre poubelle » – celle qui donne des envies d’écrire de nouvelles histoires d’horlogerie.

La fameuse « seconde vague » (pourquoi pas la… deuxième ?) risque de porter un coup terrible aux économies mondiales chancelantes – si ne n’est pas un coup fatal à l’économie horlogère. Et si on acceptait enfin de regarder la réalité en face et de tout changer pour que rien ne change ?