Jamais avouée, toujours niée, la crise horlogère n’en est pas moins virulente : elle tend à l’extrême les rapports sociaux dans les entreprises qui connaissent une baisse de régime – c’est-à-dire la très grande majorité des manufactures suisses. Personne ne travaille avec sérénité dans un tel climat de tensions et la créativité s’en ressent…

Trente-septième séquence de découverte de l’offre horlogère de cette rentrée 2019. Avec les derniers jours de septembre, la rentrée horlogère bat son plein : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Casio, Citizen, Czapek, HYT, MeisterSinger, Musée international d’horlogerie et Tudor…

Rendez-vous avec l’actualité des montres de ces premiers jours de l’automne : une compilation de ce qu’il ne fallait pas manquer ces jours-ci dans notre « zéro bullshit zone ». Comme toutes les semaines, tout ce qui compte pour la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Puisque « l’avenir est un lieu commode pour y mettre des songes » (Anatole France) et comme tous les week-ends tout au long de l’année, « Business Montres » a sélectionné pour vous six réflexions alternatives de plus ou moins forte intensité : il s’agit de nourrir nos méditations et de favoriser la fermentation des neurones pendant la pause hebdomadaire. Bonne lecture et, surtout, bonne digestion de toutes ces analyses : cette semaine, on va parler de génération Y (existe-t-elle seulement ?), de métacommunication « for good », du « casse du siècle » opéré par les banques centrales, du smartphone qui devient un « parasite au pouvoirs divins », des débuts étonnants de toute grande entreprise et de la bataille acharnée pour le quotidien français Le Monde… Mais, comme toutes les semaines… on vous laisse réfléchir là-dessus !

Quarante-sixième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps, avec un coup de projecteur sur la marque Rolex (quatrième et dernière séquence). Ce questionnaire à réponses multiples (quiz) vise à consolider les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture horlogère – mais aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 138e séquence de belles créations d'inspiration horlogère...

Pas question de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre pour illustrer une vision de l’industrie horlogère tout ce qu’il y a de plus piquante. Découvrez ici une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter quelques jours de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.

Mais aussi des lumières d’arc-en-ciel pour Noël, des sportives chic inspirées par des icônes, une manufacture « éthique » convertie à l’énergie solaire, une montre pour sauver un automate et un carrefour pour les artistes du temps… Images ci-dessous : une des collections de montres les plus « éthiques » de l’offre suisse, avec boîtier et bracelet recyclé…

Sans langue de bois, ni langue de coton, une grosse grosse dizaine de questions à brûle-pourpoint que « Business Montres » a voulu poser à Olivier Müller, une des « boîtes à outils » les plus convoitées par les marques horlogères qui ne savent plus à quel saint du marketing se vouer. C'est le consultant qu'il faut avoir consulté et la liste (confidentielle) de ses clients mêle allègrement les géants du Top 5 et les soutiers du Top 500 de l'horlogerie européenne. C’est le dixième épisode de notre voyage estival en compagnie de ces acteurs de l’horlogerie qui parviennent à faire du buzz sans faire de publicité dans les médias – ceux qui savent faire parler d’eux sans ne parler que d’eux. C’est parti (remerciements à la géniale graphiste Malika Favre pour les magnifiques illustrations qui ouvrent ces questionnaires)…

La marque Louis Érard, qui est née en 1931, ne veut pas mourir sous les assauts conjugués de la disruption connectée et de la luxification spéculative qui emportent l’horlogerie vers des lendemains incertains. C’est peut-être le dernier sursaut d’une maison qui a pourtant résisté à tant de crises : tout va se jouer sur un retour aux racines de la tradition horlogère et sur un positionnement charnière à l’orée de la haute horlogerie…

L’horlogerie contemporaine se cherche – parfois désespérément – de nouveaux territoires de légitimité, plus ou moins connexes à la passion pour les montres et à la créativité dont témoignent les objets du temps. Une initiative française vient éclairer une perspective originale sur les rapports entre les beaux-arts du temps et l’actualité artistique.

Trente-sixième séquence de découverte de l’offre horlogère de cette rentrée 2019. Avec les premiers jours de septembre, la rentrée horlogère bat son plein : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Arnold & Son, Carl F. Bucherer, IWC, Mido, Mondaine, Nomos et Oris…

Pas question de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre pour illustrer une vision de l’industrie horlogère tout ce qu’il y a de plus piquante. Découvrez ici une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter quelques jours de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.

Mais aussi l’éclat mystérieux de la pénombre, le grain des bois lancés au galop, les deux compteurs d’une légende et le clou sur le cercueil des horlogers suisses… Images ci-dessous : une marqueterie de bois précieux qui révèle de façon très contemporaine l’éternelle fascination des Européens pour les chevaux…

C’est déjà probablement, pour commencer, la montre dont on aura le plus parlé depuis le début de l’année. C’est aussi la montre qui résume le mieux les choix stratégiques – bons ou mauvais – qui s’offrent aux marques horlogères alors que les montres connectées menacent de tout balayer à l’exception de quelques pôles créatifs, spéculatifs ou simplement réplicatifs…