Les petites anecdotes sont souvent révélatrices des grandes évolutions. Les petits comptables et leurs caporaux hystériques ont encore fait très fort sous les halles de Palexpo. Richemont, avec un R comme… ridicule ?

Mais aussi les 70 bougies d’une grande dame de l’horlogerie aéronautique, les échelles chromatiques d’une montre non-connectée qui se connecte au corps, les chiffres un peu dingues qui dansent pour les trente ans d’une icône et tout ce qui fait le sel de la vie des montres… Images ci-dessous : trois compteurs classiques pour un chronographe qui n’a pas pris de rides (Breitling) et trois figures du bestiaire horloger d'Al-Jazari au poignet (John-Mikaël Flaux)...

Douze coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pour le mois de mars 2022. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie des montres. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce début d’année 2022 : pour le meilleur ou pour le pire ?

La nouvelle Moon Runner de HYT est une des montres les plus intéressantes de cette Wonder Week 2022 : elle digère les avancées de la première saison horlogère de ces « hydro-mécaniciens » hors du commun, tout en recentrant l’esthétique sur une forte expression mécanique. C’est de la nouvelle génération 2.0…

En dix images détournées et autres photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au fondamental George Orwell (1903-1950) pour la citation de son « Comment meurt la littérature » (1946) qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère, non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

Mais on va aussi vous parler des parallélistes sur les salons genevois, de la Russie qui punit à son tour le groupe Richemont, du rejet par les Russes des marques qui les ont « abandonnés » et des furieux ridicules de Watches & Wonders…

En dix images détournées et autres photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Ernst Jünger (1895-1998) pour la citation de son « Journal » qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère, non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

Trente-et-unième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bell & Ross, Charles Girardier, Corum, Lonis, Omega, Rebellion et Reservoir…

À la demande insistante et très pressante de nos lecteurs, qui nous réclament un avis d’expert indépendant sur cette MoonSwatch dont tout le monde parle, voici ce qu’on peut en penser, pour le meilleur est pour le pire…

Ce n’est pas nous qui le disons, c’est l’actionnaire de référence d’une économie huit fois plus puissante que l’État profond américain. Pour l’industrie des montres, il serait peut-être temps de regarder ailleurs que vers son nombril et de s’intéresser aux mutations géostratégiques d’un monde qui se refragmente dangereusement…

Nous nous acheminons à présent vers la fin du premier trimestre 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020 – sauf que la guerre remet en cause toutes les prévisions. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines de février, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Trentième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Breguet, Casio G-Shock, Frederique Constant, Jacob & Co, Mido, Nomos Glashütte et Rebellion…

Partageons quelques souvenirs d’un rendez-vous finalement très horloger, puisqu’on a pu découvrir, samedi matin, dans les files de centaines d’amateurs qui se formaient devant les boutiques Swatch de toute la planète, bon nombre d’amis de l’horlogerie. Il y avait aussi quelques malfaisants très intéressants à observer : on ne savait pas que les « racailles » issues de la diversité étaient à ce point passionnées d’horlogerie…

La ligne du Parti est simple, et elle semble inspirée d’un célèbre ouvrage du philosophe français Michel Foucault : « Surveiller et punir » (1975). Il s’agit de mettre en place une véritable orthopédie horlogère, pour assujettir les discours et normaliser les comportements, afin de maîtriser un réel qui vous échappe. L’alliance tragique des petits comptables et des caporaux hystériques ne cesse de d’accumuler des effets pervers qui l’emporteront…

En dix images détournées et autres photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au regretté président burkinabè Thomas Sankara (1949-1987) pour la citation d’un de ses discours qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère, non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…