En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le soixantième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Biver, Ebel, Hublot, Kelton, March LA.B, Philipp Plein et Ulysse Nardin…

Mais aussi la montre qui aimerait être la plus compliquée du monde, la montre qui incarne les vraies valeurs de l’horlogerie contemporaine, la montre qui enroule les heures du monde et la montre qui témoigne du génie horloger français… Ci-dessous : Gabrielle Chanel n’en finira plus de vous claquer la bise en mode pop rock rose (Chanel) et Laurent Ferrier vus initiera aux subtils plaisirs de la montre néo-classique…

Plus l’horlogerie perd de ses volumes commerciaux et plus s’insinue une nouvelle et soudaine passion pour des objets du temps beaucoup plus volumineux. Simple compensation expansive ou translation créative dans une autre dimension ?

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le cinquante-neuvième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Chanel, Grand Seiko, Hamilton, Hublot, Jaeger-LeCoultre, Laurent Ferrier et Speake Marin…

Pour bien entamer ce second trimestre 2025, voici le 249e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand écrivain, poète et dramaturge anglais William Shakespeare (1564-1616) pour la citation de son « Troïlus et Cressida » (1602) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Rien ne vaut l'avis des nouvelles générations sur les nouvelles montres des nouvelles marques de la nouvelle horlogerie. Et rien n'est meilleur que l'avis d'une jeune femme sur une jeune maison qui refait actuellement et brillamment surface sur le marché. La parole est à Octavie Saulais, 25 ans : alors, quelles impressions après quelques semaines passées avec une Dennison au poignet ?

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le cinquante-huitième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Armin Strom, Chanel, Chronoswiss, Genus, Franck Muller, Hermès et Rolex…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le cinquante-septième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Armin Strom, Chronoswiss, Genus, Louis Moinet, Rado, Rivage Saint-Tropez et Zenith…

Pour bien entamer ce printemps 2025, voici le 248e épisode de ces pictochroniques qui racontent la vie rêvée des montres. Elles décodent le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme des « maîtres du temps ». Voici donc une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme ! Merci au grand auteur-compositeur et chanteur français Léo Ferré (1916-1993) pour ce vers de sa chanson emblématique « Le Chien » (1970) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le cinquante-sixième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Armin Strom, Chanel, Chopard, Franck Muller, Grand Seiko, Hublot et Panerai…

Les horlogers vendent du rêve. Cette saison, avec la mode des montres en platine, ils vendent surtout du vent. Les acheteurs de leurs montres sont persuadés que les montres en platine sont encore plus prestigieuses que les montres en or. Sauf que le platine est deux fois et demi moins cher que l’or ! Sauf que, sur le marché, les montres en platine sont beaucoup plus chères que les montres en or ! Cherchez l’erreur…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le cinquante-cinquième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept pièces de sept marques : Chronoswiss, Franck Muller, Grand Seiko, Hajime Asaoka, Longines, Louis Moinet et Parmigiani…

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le cinquante-quatrième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : A. Lange & Söhne, Bovet, Breitling, Grand Seiko, Longines, Louis Moinet et Rudis Sylva

Quand on est immergé dans les multiples salons et lieux d’exposition dans tout Genève, on a une impression factice de « business as usual ». En réalité, en élargissant la focale, on découvre qu’on est en train de flirter avec un désastre, certes bien masqué, mais non moins évident dans les différents compartiments du jeu…

Les montres suisses étaient déjà beaucoup trop chères et elles se vendaient de plus en plus mal. Elles seront désormais plus chères encore de 31 %, et elles ont logiquement toutes les chances de se vendre encore plus mal. On fait quoi maintenant ?