Les horlogers suisses ont deux ennemis irréductibles, qui pourraient bien les obliger un jour à ranger dans leurs musées leurs montres à multiples fuseaux horaires et à quantièmes perpétuels : ce combat de deux universitaires américains contre le temps tel que nous le faisons aller n’est pas anecdotique. On parie que ces idées saugrenues vont faire leur chemin dans les esprits ?

Du moins, je me demande pour qui ces montres sont « introuvables » et pour quel genre de clients elles ne sont pas sur liste d’attente. Le témoignage ci-dessous n’engage que moi et, pour des raisons faciles à comprendre, je n’ai aucune autre preuve de ce que je rapporte que ma bonne foi et mes bonnes relations avec les protagonistes du récit, que je ne vais évidemment pas « balancer » – mais l’histoire gagne à être connue…

À peu près une centaine montres Heuer et TAG Heuer seront dispersées au cours des différentes sessions d’automne des enchères horlogères, en Europe comme en Asie. Nous avons volontairement choisi quatre montres, plutôt exceptionnelles, dans un catalogue « périphérique » (non genevois) pour évaluer l’attractivité réelle et non spéculative du vintage chez Heuer-TAG Heuer…

Quarante-deuxième séquence de découverte de l’offre horlogère de cette rentrée 2019. Avec les premiers jours d’octobre, la rentrée horlogère bat son plein : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Bovet 1822, Citizen, Delma, Ebel, GO Girl Only, Hublot et Junghans…

On va parler des rumeurs qui illuminent le ciel du luxe américain, mais aussi de celles qui voient chanceler le système bancaire. Avec, en prime, une séance de rattrapage, un régulateur astronomique, un vrai cadran chic et sportif, un quiz et un souvenir horloger du défunt calife el-Baghdadi. Et, à part tout ça, puisque Jean-Daniel Pasche nous l’affirme, reprenons tous en chœur comme d’habitude : « Tout va très bien, Madame la Marquise, tout va très bien, tout va très bien »….

Quarante-septième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps, avec un coup de projecteur sur le millésime horloger 1991. Ce questionnaire à réponses multiples (quiz) vise à consolider les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture horlogère – mais aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

Rendez-vous avec l’actualité des montres de cette fin octobre : une compilation de ce qu’il ne fallait pas manquer ces jours-ci dans notre « zéro bullshit zone ». Voici, comme toutes les semaines, tout ce qui compte pour la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Puisque « l’avenir est un lieu commode pour y mettre des songes » (Anatole France) et comme tous les week-ends tout au long de l’année, « Business Montres » a sélectionné pour vous six réflexions alternatives de plus ou moins forte intensité : il s’agit de nourrir nos méditations et de favoriser la fermentation des neurones pendant la pause hebdomadaire. Bonne lecture et, surtout, bonne digestion de toutes ces analyses : cette semaine, on va parler de la marchandisation du monde selon Chesterton, de l’intérêt à porter aux Chinois qui jouent en ligne, de l’explosion des marques « digital native », d’obsolescence programmée, des « chevaliers blancs » dans les entreprises et de la tentation du frugalisme. Mais, comme toutes les semaines… on vous laisse réfléchir là-dessus !

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 140e séquence de belles créations d'inspiration horlogère...

De toute façon, pas question de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre pour illustrer une vision de l’industrie horlogère tout ce qu’il y a de plus décontractée. Pour compléter nos analyses plus formelles et nos révélations habituelles, découvrez ici une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter quelques jours de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.

Désossée par les amateurs sur les réseaux sociaux, où le dézingage des grandes marques devient une constante culturelle, et noyée dans un flot d’ignominies dont il serait étonnant qu’elle se relève, la nouvelle Odysseus de la manufacture A. Lange & Söhne n’a effectivement rien pour elle – sinon une hallucinante série d’erreurs qui conduisent à se demander s’il y a encore un pilote dans l’avion saxon…

Mais aussi une erreur de casting sur le marché du « sport chic », une symphonie électro-luminescente, un bouquet trop faussement naïf pour ne pas être à la mode et l’art de remonter une montre manuelle sans se servir des mains… Ci-dessous : coiffé de sa « tarte » de chasseur alpin, un super-héros méconnu de la « Grande Guerre » : Albert Roche, avec le maréchal Foch le jour de la libération de Strasbourg, en 1918...

Ce qui fait la valeur d’un baromètre, c’est qu’il annonce les changements de pression atmosphérique avant que le ciel ne se couvre ou qu’il ne s’ensoleille. Il en va de même pour la météo horlogère : on peut prédire un méchant coup de tabac, même quand le temps semble au beau fixe…

Le Swatch Group qui perd sa licence horlogère avec Calvin Klein : c’était dans « Business Montres » il y a quatre mois ! Le groupe Movado qui remplace le Swatch Group pour cette licence : c’était dans « Business Montres » il y a trois mois ! La baisse tendancielle des exportations de montres suisses : c’était dans « Business Montres » depuis deux ans ! L’effondrement de l’entrée de gamme suisse, pulvérisée dans son combat perdu contre les montres connectées : c’était dans « Business Montres » depuis cinq ans ! On continue ? A vrai dire, ça déplume plus d’un perroquet…

De toute façon, pas question de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre pour illustrer une vision de l’industrie horlogère tout ce qu’il y a de plus décontractée. Pour compléter nos analyses plus formelles et nos révélations habituelles, découvrez ici une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter quelques jours de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.