Pour détendre un peu l’atmosphère et pour se décontracter entre deux grands événements promotionnels de l’horlogerie, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. C’est un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. Certains de ces dessins détournés sont d’ailleurs récupérés dans les pages quotidiennes de « Business Montres ». À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…

Après quatre ans à la direction de Girard-Perregaux, maison qu’il a remontée de loin à la force des bras pour la remettre à son meilleur niveau depuis deux décennies, Antonio Calce raccroche les gants. « Désaccord stratégique », dira-t-on de part et d’autre. Pas sûr que ce soit une bonne nouvelle, ni pour Kering, ni pour la marque, ni bien sûr pour Antonio Calce…

Mais aussi les vingt ans d’un inspirateur qui ose tout, la dynamiteuse qui déconstruit le temps, la reine elliptique du « sex symbol » et le gazon chlorophyllé d’une footballeuse de choc… Image ci-dessous : au poignet, un engin explosif improvisé pour créer une rupture dans le réel du temps ordinaire…

Voici vingt ans, en 1998, Vianney Halter se lançait dans la création horlogère indépendant, sous son nom, après avoir développé pour différentes grandes marques d’importantes avancées mécaniques. Vingt ans plus tard, il se rend un amusant auto-hommage horloger qui résume plutôt bien son style et ses inspirations.

Pas la moindre tête de mort, ni la moindre mignardise supposée féminine dans la nouvelle montre « Entropie mécanique » de Fiona Krüger, créativement plus en forme que jamais. Elle a l'art et la manière de nous exploser les neurones...

Découvrez une Apple Watch d’avant l’Apple Watch, quand les Californiens n’hésitaient pas à repomper l’esthétique horlogère d’Alain Silberstein...

Un bon storytelling n’est pas une question de longueur, mais de densité narrative : on le vérifie dans la vogue ahurissante du format court en vidéo, qui voit les marques horlogères de prestige se naufrager dans une course éperdue vers le moins disant et le plus insignifiant. Tant mieux pour les petites marques créatives…

Le Grand Prix d’Horlogerie de Genève 2018 s’annonce plus ouvert que jamais, surtout pour les marques qui n’avaient plus le GPHG dans leur radar ou qui l’ignoraient dans leur agenda. Où sont passées les « grandes marques » ? Avant la grande mue en préparation avant la fin des années 2010, les jeux sont loin d’être faits : 100 % des gagnant 2018 auront pris la peine de s’inscrire…

Au cœur du territoire des grandes puissances horlogères qui ont cartellisé le football, il reste des territoires vierges explorés et défrichés par des marques alternatives. Oubliez vos préjugés sur une maison qui revient sur le marché après une longue errance et vérifiez par vous-même sa nouvelle substance Swiss Made…

Quand les grandes marques subissent, les petites marques agissent. Elles mettent leur peau au bout de leurs idées quand les maisons « historiques » mettent leurs profits au bout de leur périscope. Normal : les « jeunes pousses » n’ont que leurs nouvelles idées et leurs nouvelles montres pour seuls atouts ! Prévue sur un nombre d’épisodes qu’on souhaite le plus nombreux possible avant le retour du printemps, cette série va ratisser tous azimuts. Nous continuons avec l’aventure Valpin, qui a poussé deux passionnés à imaginer une nouvelle référence genevoise…

Intéressante initiative de la jeune marque indépendante française Sartory Billard : mettre en open source les fichiers techniques de sa montre « paraboloïde », avec la liberté pour chacun de créer directement, sans intermédiaires, la lunette de son choix…

L’information est officiellement confirmée par le « chef de l’État » genevois : pas de boulot dans l’horlogerie pour les jeunes sortis l’année dernière de l’École d’horlogerie de Genève ! Moyennant quoi, Genève se rassure avec un… Poinçon de Genève déserté par les marques qui en assuraient la gloire. Ceci alors que l’emploi du nom de Genève n’est pas protégé sur les cadrans horlogers (autre aveu officiel). Le rêve passe pour « Genève capitale horlogère »…

Le Grand Prix d’Horlogerie de Genève 2018 est plus ouvert que jamais, surtout pour les marques qui ne l’avaient plus dans leur radar ou qui l’ignoraient dans leur agenda. Avant la grande mue en préparation avant la fin des années 2010, les jeux sont loin d’être faits : 100 % des gagnant 2018 auront pris la peine de s’inscrire…

Dernière ligne droite avant les vacances horlogères : il faut maintenant vider le panier des nouveautés du printemps. Voici quelques nouveautés supplémentaires pour ce début d’été 2018. Avec des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Anonimo, Bell & Ross, Frederique Constant, Gvchiani, Jaquet Droz, Oris et Rolex…

C’était publié cette semaine dans les pages d’actualité de votre « Quotidien des Montres » : des informations à trouver ici et nulle part ailleurs, en mode « zéro bullshit zone ». Le meilleur de l’information horlogère, le plus exclusif, le plus indépendant et le plus utile pour mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité !