Rien ne vaut la salle des coffres (forts) d’une banque pour annoncer le repositionnement d’une marque : au moins, on comprend tout de suite de quoi il est question ! Ce qui serait dommage, ce serait de passer à côté de ce que dit et pas dit lors de la présentation de ce nouveau concept de « Breitling Summit »…

Habituellement, pour le week-end, « Business Montres » vous propose une grosse poignée d’articles intéressants et utiles pour comprendre les évolutions du monde tel qu’il va (ou ne va pas). L’étude de Michel Goya sur « Les Poilus et l’anti-fragilité » a tout pour nous plaire, pour nous secouer les neurones et pour nous inspirer…

C’est reparti pour une nouvelle rentrée horlogère : le panier des produits de l’automne se garnit à vue d’œil. Avec l’automne 2018, voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Armin Strom, Baume & Mercier, GO Girl Only, Longines, H. Moser & Cie., Panerai et Vacheron Constantin…

Et, comme tous les lundis, un peu de chaises musicales, un saphir pas très transparent, une haute joaillerie dopée au cannabis, des conversations milléniales, des bonnes réponses et une séance de rattrapage…

Dans le périscope de « Business Montres », comme toutes les semaines, toutes les informations qui comptent dans la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées dans notre « zéro bullshit zone », en toute indépendance, pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité !

M. l’actionnaire de référence du Kernault Richewatch Group (leader mondial des maîtres du temps) a une marotte : tenir quotidiennement son journal intime pour y raconter son expérience du monde horloger. Il nous assure : « C’est sûr, je suis un peu largué. J’ai des doutes sur ce qu’on me raconte. Je me dis pourtant que, si je n’ai pas encore tout compris, c’est sans doute qu’on ne m’a pas bien tout expliqué »…

De l’avis général, l’urgence pour les horlogers est à présent de « raccrocher les wagons » avec les nouvelles générations, qui n’ont plus les yeux de Chimène pour les montres classiques. Peut-être faudra-t-il bientôt considérer le cannabis comme un « élément de langage » pour rétablir le dialogue…

Sixième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests : classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour sont centrées sur l’année 1988. Pour acquérir ou retremper ses connaissances horlogères, ce jeu-test de questions-réponses sur la culture des montres est plutôt destiné aux primo-accédants – mais pas que…

Il nous avait fallu cinquante ans pour nous habituer à cette idée de la Moonwatch inaugurée par Omega sur la Lune, en 1969. Patatras, voici que la NASA fait des infidélités à la Suisse et s’offre, pour son soixantième anniversaire, soixante montres d’une néo-marque hongkongaise apparue sur Kickstarter…

Avec le recul, il est amusant de relire ce qu’on pouvait penser des premières montres connectées présentées par Samsung en 2013. C'était notre premier article de fond sur ce sujet. Non-événement géant à nano-valeur ajoutée ? La suite allait mettre les points sur les « i » : le coup de balai sur l’entrée de gamme suisse, bien pronostiqué ici, la stupeur hébétée des patrons horlogers, les initiatives pour survivre…

Comme tous les week-ends, six doses de « business intelligence » pour favoriser la fermentation des neurones pendant les pauses de l'automne : bonne lecture et, surtout, bonne digestion de toutes ces analyses…

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 98e séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

Détournons, détournons, il en restera toujours quelque chose : pour illustrer sans se prendre au sérieux une actualité horlogère tout ce qu’il y a de plus sérieux, « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques. Laissons la parole à Jean-Luc Mélenchon pour qu'il commente l'actualité des montres avec nous...

Le week-end prochain, nous passerons à l’heure d’hiver. Le lobby français de la montre va profiter de l’occasion pour lancer une campagne collective de promotion de la montre. Nous vous en dévoilons les textes – qui sont d’une nullité confondante côté créativité et d'une bêtise à pleurer – d'où les mouchoirs du titre ci-dessus. Par décence, on ne vous dira pas combien cette campagne peut coûter, mais il y a des fessées qui se perdent.

Mais aussi un écran connecté sur un bracelet d’une montre pas connectée, le vert des empires intérieurs, la rébellion qu’on mène à la baguette et le liège des planches qu’on recycle… Images ci-dessous : notre cher Teddy Bear joue avec la décontraction des étudiants américains et le style yankee…