On reparle d’un plan social qui supprimerait un tiers des effectifs (une quarantaine d’emplois) pour repositionner la marque sur un segment de haute joaillerie plus accessible et considéré comme plus profitable. Pas sûr que cette cure de minceur et ces bonnes intentions soient suffisantes pour sauver l’entreprise…

Vous savez bien, Mesdames et Messieurs les élu(e)s, l'horlogerie, ces petites montres qui font gagner tant d'argent au canton de Genève et qui sont toujours traitées par-dessus la jambe ! En fin de semaine, le 15 avril, les électeurs de Genève décideront des élus d’une nouvelle législature en envoyant une centaine de représentants au Grand Conseil (le législatif de la République et Canton de Genève) et en désignant ceux qui gouverneront le canton (le Conseil d’État). Comment se fait-il qu’on ne compte que quatre « horlogers » sur les 623 candidats en piste.

On fête le demi-siècle des « événements de mai 1968 », en mobilisant quelques vieux révolutionnaires en peau de lapin, depuis longtemps recyclés dans la consolidation du système. Mais, au fait, à quoi ressemblait les montres de l’année dans ce millésime douteux ?

Pour bien commencer la semaine, on vérifiera ci-dessous que, loin d’être la solution pour la communication horlogère, les réseaux sociaux sont peut-être le… problème ! Quelques sites ont déjà commencé à en faire le cuisant constat : tous n’en mouraient pas, mais tous étaient frappés (pour paraphraser La Fontaine dans les « Animaux malades de la peste »…

C’était publié cette semaine, dans les pages d’actualité suivie de votre « Quotidien des Montres » – ici et nulle part ailleurs, en mode « zéro bullshit zone ». Le meilleur de l’information horlogère, le plus exclusif, le plus percutant et le plus original, bref le plus indépendant et le plus utile pour tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité, comme en toute liberté de parole et de pensée !

Dernière saison de notre tour des montres en 80 tests (nous dépassons largement les trois-quarts du parcours), avec la soixante-sixième séquence de notre jeu inédit pour tester vos connaissances en haute horlogerie. À vous de trouver les six bonnes réponses qui s’imposent pour prouver votre niveau de culture en belles montres…

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une soixante-dix-huitième séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

Histoire de détendre un peu l’atmosphère et de se décontracter entre deux rendez-vous à Bâle, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. Avec un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…

Des millions qui tentent les grandes marques déjà installées sur le marché : c’est une tendance émergente qui va accélérer le grand basculement du marché et elle ne fait qu’amplifier la vague des nouvelles marques qui éclosent sur les réseaux de sociofinancement.

Mais aussi les ailes des nouvelles « machines musicales », le génie des nouveaux horlogers français, le frisson vintage des premiers vols orbitaux et la montre en bronze dont rêvait Blériot… Images ci-dessous : la légende Speedmaster au volant et 800 composants mécaniques pour cette « machine musicale » travaillée comme une pièce de haute horlogerie…

Le lancement d’une marque horlogère dédiée à Tintin et à l’univers d’Hergé s’annonçait comme un des « gros coups » de Baselworld 2018. Le héros préféré des « jeunes de 7 à 77 ans » était bien au rendez-vous, avec un évident succès commercial, mais avec une étonnante discrétion – il a même été privé de dîner !

M. l’actionnaire de référence du Kernault Richewatch Group (leader mondial des maîtres du temps) a une passion : tenir quotidiennement son journal intime pour y raconter son expérience du monde horloger. Il nous assure : « C’est sûr, je suis un peu largué. J’ai des doutes sur ce qu’on me raconte. Je me dis pourtant que, si je n’ai pas encore tout compris, c’est sans doute qu’on ne m’a pas bien tout expliqué »…

Le panier à provisions rempli à Baselworld est loin d’être vidé : voici quelques nouveautés supplémentaires. Avec des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Albert Riele, Carl F. Bucherer, Chopard, Frederique Constant, Gucci, Patek Philippe et Zenith…

Derrière les cloches de Pâques, les azymes de Pessah ou les lièvres d’Ostara, une même espérance dans le retour de la fertilité et de l’abondance. Pour l’industrie des montres, ce printemps est peut-être aussi celui d’une prospérité rêvée à défaut d’être vraiment retrouvée : on voudrait seulement savoir si nous avons tout fait – créativement, commercialement, médiatiquement – pour mériter un tel retour à un nouvel âge et si nous avons bien appris de nos fautes passées. Pas sûr…

C’était publié cette semaine, dans les pages d’actualité suivie de votre « Quotidien des Montres » – ici et nulle part ailleurs, en mode « zéro bullshit zone ». Le meilleur de l’information horlogère, le plus exclusif, le plus percutant et le plus original, bref le plus indépendant et le plus utile pour tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité, comme en toute liberté de parole et de pensée !