Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une quarantième-sixième séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

On va encore châtier le stagiaire qui joue avec Photoshop, mais il y a quelque chose qui cloche dans le mouvement du bras de la comédienne américaine. C’est peut-être une originale création horlogère : le bras d’honneur à la genevoise… Dessus dessous ? En dedans ou en dehors ? Ça cloche et ça choque : ça sent le mauvais raccord ! On n’avait pas besoin de ça pour fêter les soixante ans de la montre Altiplano. À moins que ce bras torturé ne soit un dernier adieu (hautement symbolique) de Chabi Nouri à Georges Kern. Ou alors une allégorie de ce qui se passe actuellement au sein des directions du groupe Richemont…

Mais aussi le twist mécanique des gendarmes de Saint-Tropez, la ronde bien française des secondes fleuries, la radicalité latérale d’un laveur de voitures et l’intuition des indépendants suisses en quête de connexion longue durée… Image ci-dessous : Les montres connectées de demain seront peut-être des montres mécaniques dont les fonctions électroniques seront alimentées par les mouvements du poignet…

On n’a pas toujours les amateurs qu’on souhaite. Il n’y a pas que les footballeurs comme David Beckham dans la vie de Breitling. Il y a aussi les rugbymen comme Mourad Boudjellal, le flamboyant homme d’affaires qui préside le RCT, club emblématique du rugby toulonnais…

L’édition 2017 s’annonce plutôt comme un bon cru, avec davantage de montres inscrites que l’année dernière et à peu près autant de marques, dont une proportion écrasante de maisons indépendantes et de « petites marques ». Dans ce dernier volet de cette série de présentation des montres en compétition, nous analysons les prix à la discrétion du jury, en nous inquiétant du prix moyen des montres en compétition pour la présélection…

Se réjouir du mieux dans le moins bien ou s’inquiéter du moins réjouissant dans le mieux ? On constate qu’il y a toujours moins de montres exportées, toujours plus de risques sur le haut de gamme et toujours plus de montres qui filent sur le marché gris… En dépit du triomphalisme de la FH suisse face au « redressement des exportations horlogères » et compte tenu des informations qui nous remontent du terrain, nous maintenons notre pronostic d’une fin d’année difficile : attention aux illusions statistiques nées de l’optimisme printanier…

Avec la barge musicale de Reuge, vous aurez les deux, avec en prime les ritournelles de James Bond et le générique de « Mission impossible » ! Les oligarques en faction estivale au Byblos vont adorer…

Ce n’est pas une tendance, c’est juste une tentation récurrente et lancinante depuis que les objets du temps se portent autour du poignet : pourquoi dessus et pas sur le côté. C’est quand même la première fois qu’on se risque à cette glissade latérale avec une montre de luxe…

Pourquoi Julien Tornare, le nouveau CEO de Zenith, a-t-il accepté de laisser le Grand Prix d’Horlogerie de Genève dévoiler la Defy Lab qui sera le grand lancement de Zenith à la rentrée ? On sait désormais à peu près tout sur ce « concept révolutionnaire » – mouvement et matériau. Sauf peut-être l’essentiel, qui nous attend en septembre... En fait, Julien Tornare avait deux bonnes de « cramer » en juillet son futur scoop de septembre…

L’édition 2017 s’annonce plutôt comme un bon cru, avec davantage de montres inscrites que l’année dernière et à peu près autant de marques, dont une proportion écrasante de maisons indépendantes et de « petites marques ». Si beaucoup de propositions sont intéressantes, très peu de montres de cette deuxième série émergent assez du lot pour polariser tous les votes – il faut donc s’attendre à des surprises. Dans le dernier volet de cette série, les prix à la discrétion du jury et le calcul du prix moyen des montres en compétition pour la présélection…

Comme ils sont soudain bavards, les proches de la direction du groupe Richemont ! Et comme ils prennent plaisir à relativiser l’impact du départ de Georges Kern (la Bourse leur a jusqu’ici donné raison) tout en péjorant les performances passées et futures du nouvel homme fort de Breitling !

L’édition 2017 s’annonce plutôt comme un bon cru, avec davantage de montres inscrites que l’année dernière et à peu près autant de marques, dont une proportion écrasante de maisons indépendantes et de « petites marques ». Si beaucoup de propositions sont intéressantes, aucune montre de cette première série n’émerge assez du lot pour polariser tous les votes…

C’est une incroyable rumeur qui court dans le peloton, où il est facile de remarquer que les montres connectées sont très à la mode : certains coureurs utiliseraient ces montres connectées pour piloter le moteur électrique dissimulé dans le cadre du vélo. Info ou intox ? En tout cas, ça fait causer ! Une vidéo accuse…

Si l’été commence très mal pour Johann Rupert, on s’amuse bien dans les ateliers qui préparent l’avenir des montres suisses. Avant que les vacances horlogères rendent les alpages des watch valleys aux bovins les plus légitimes pour les occuper, quelques nouvelles du front de la carpo-révolution, avec l’effondrement des bracelets non horlogers et les petits malins super-horlogers qui ont fait le choix d’une nouvelle cinétique électro-mécanique…

Contrairement à ce qu’on aurait pu prévoir, les candidats ne se bousculent pas pour reprendre la place abandonnée par Georges Kern. Lequel a préféré racheter une part du capital de Breitling et relancer la marque au lieu de restaurer la loi et l’ordre chez Richemont. À la suite de ce Kernsxit, quels sont les scénarios de Richemont pour le jour d’après ?