Mais aussi des étoiles dorées pour un titane qui rassure, un concept horloger qui progresse en s'améliorant et des chevaliers de la Table ronde sur fond de lave tectonique… Ci-dessous : noir comme la lumière : un cadran inspiré par Pierre Soulages, qui reçoit ici un fervent hommage horloger (Baume & Mercier)…

Les « renifleurs de tendances » les plus réputés s’étaient risqués, au tournant du millénaire, à quelques anticipations sociétales. L’exercice était déjà périlleux à l’époque : la relecture, vingt ans plus tard, l’est bien davantage – mais ça tient quand même souvent la route. Ça fait réfléchir…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Frédéric Beigbeder pour la citation de son récent « Barrage contre l’Atlantique » qui compose le titre de cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

À peine popularisé, le Mecascape a déjà muté ! Ce nouveau concept horloger imaginé par l’équipe de Code41 évolue à présent vers la pendulette de table purement mécanique, et nettement moins vers une illusoire « montre de poche » de nouvelle génération. Explications…

Treizième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Voici une présentation des premières montres de ce premier semestre 2022, racontées du point de vue des marques : elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte », cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Edox, Hublot, Oris, Ulysse Nardin, Urwerk et Zenith…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Georges Courteline (1858-1929) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

Nouvelle séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Voici une présentation des premières montres du premier semestre 2022, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Baume & Mercier, Casio G-Shock, Czapek, Formex, Jaquet Droz, Junghans et Leica…

C’est sûr, il y a une vie horlogère en dehors des montres « sport chic » ! Mais on va aussi vous parler de la triple arnaque chinoise pour la Saint-Valentin, des montres d’après l’amour, d’un hommage suisse à l’aviation militaire locale et des jeux Olympiques qui n’intéressent plus personne…

Nous voici bien ancrés dans 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime, qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines de février, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Nouvelle séquence pour démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Voici une présentation des premières montres du premier semestre 2022, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Apose, Bomberg, Ice-Watch, Jaeger-LeCoultre, Norqain, Oris et Zenith…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Léon Tolstoï pour la citation de son « Anna Karenine » qui a servi de titre à cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité

Ce matin, à huit heures trente, Jean-Claude Biver ne savait pas vraiment qu’il allait lâcher une bombe, mais, dans le feu de l’action, à très exactement huit heures trente-deux, face au micro de la Radio suisse, il a craqué : à 73 ans, il avoue avoir envie de se reconnecter à sa passion et il compte bien « refaire une petite marque de famille » : vaste programme pour ce punk entrepreneurial !

Mais aussi la fille légitime d’une caméra allemande, quelques bouquets de printemps, un crépuscule nanotechnologique, une Saint-Valentin lancinante et un peu de rouille titanesque… Images ci-dessous : bleu opalin subtilement fumé et index effilés sous les aiguilles élancées (Laurent Ferrier)…

Les bonnes idées horlogères se recyclent éternellement et migrent de génération en génération. Quinze ans après les premières Titanic « rouillées » imaginées par Yvan Arpa pour RJ-Romain Jerome, revoici une montre qui ose et la rouille, et le Titanic, et une certaine audace créative…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au cardinal-duc de Richelieu (1585-1642) pour la citation qui a servi de titre à cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ?