L’économie des montres a toujours détesté les bruits de bottes sur ses grands marchés : l’ensemble grand-russe en est un de belle taille et d’excellent rapport. Le cliquetis des chenilles rend inaudible le tic-tac des montres au poignet des amateurs : à quoi peut-on s’attendre dans les mois qui viennent du côté de l’activité horlogère ?

Nous voici bien ancrés dans 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines de février, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Dix-septième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du point de vue des marques et elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : BRM, Chanel, Charlie Paris, Ebel, Franck Muller, Ice-Watch et SevenFriday…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’inoubliable Fernand Raynaud (1926-1973) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

Mais aussi une aventurière très urbaine, les « oreilles » d’un Batman tourbillonnant, l’ovni le plus non-conformiste de la galaxie horlogère, des salons lacustres, une plongeuse marseillaise, des chameaux et des faucons… Images ci-dessous : heures sautantes et minutes traînantes pour Urwerk, tandis que se profile un trapèze aux angles arrondis pour un concept très carré signé BRM…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Victor Hugo (1802-1885) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère. Non ? Remplacez Dieu par les horlogers, et les fleurs par les montres ! l suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

Seizième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du point de vue des marques et elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Breitling, Festina, H. Moser & Cie., Longines, MeisterSinger, Rado et Raymond Weil…

Après la série des montres Napoléon, qui faisait sonner les plus belles heures de la légende impériale, Christophe Claret fait voler un tourbillon Westminster au milieu des faucons, avec des dromadaires en toile de fond, sur les rivages des Émirats arabes unis. Ex oriente luxe ?

Avec des montres qui n’en sont pas, les vitrines horlogères (vides) sont devenues des expositions muséographiques et les boutiques des funérariums pour icônes spéculatives devenues monnaies parallèles. Une page de l’histoire économique des montres est en train de se tourner…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au philosophe de l’Antiquité Aristote pour sa citation faussement naïve qui compose le titre de cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

Quinzième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du point de vue des marques et elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Backes & Strauss, Bohen, Frederique Constant, Gorilla, Herbelin, Seiko et Tissot…

Une « plongeuse » pas comme les autres, qui plonge mais qui n’est cependant pas une « montre de plongée » : lancée dans les dernières semaines de 2021, la Pelagos FXD n’est plus très loin d’accéder au statut d’icône horlogère contemporaine et d’entrer ainsi dans la grande légende des montres.

Nous voici bien ancrés dans 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime, qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines de février, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Quatorzième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du point de vue des marques et elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte », cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Behrens x Label Noir, Code41, Festina, Girard-Perregaux, PKVitality, Seiko et Zenith…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Frédéric Nietzsche (1844-1900) pour la citation de son « Antéchrist » qui compose le titre de cette chronique (citation reprise dans le dernier Michel Onfray, « La Nef des fous »). C’est fou, justement, le relief que cette remarque sur la valeur des désirs prend quand on applique cette remarque à l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…