La nouvelle a été annoncée au personnel ces jours-ci : Greubel Forsey est à nouveau seul maître à bord chez Greubel Forsey ! La totalité du capital de la holding qui coiffe les activités de la marque est à présent entre les mains des fondateurs et des dirigeants de l’entreprise.

En dix images détournées et autres photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’immense et jamais remplacé Coluche (1944-1986) pour la citation qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère, non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

Mais aussi des bonnes, des mauvaises et des ni bonnes ni mauvaises surprises pour ce jeudi, un chiffre de participation épatant, un record éditorial et tout ce qui fait le sel de la vie quotidienne dans l’horlogerie...

Vingt-huitième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Cuervo y Sobrinos, Herbelin, Jacob & Co, Massena Lab, Maurice Lacroix, MB&F et Seiko…

Ce qu’on nous cache, c’est qu’il est possible de proposer des tourbillons mécaniques dans un boîtier en verre saphir pour moins de 9 000 francs suisses, alors que le moindre équivalent coûte entre 20 fois et cent fois plus cher chez les grands horlogers suisses…

Vingt-septième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Ducarney, Italo Brunello, Knis, Louis Chevrolet, Ti Field Watch, Yema et Zann Auror…

En dix images détournées et autres photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au profond et subtil Georges Bernanos (1888-1948) pour sa citation de « La liberté, pour quoi faire ? » qui compose le titre de notre chronique. Bernanos ajoutait : « Car, si cette civilisation est folle, elle fait aussi des fous ». C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère, non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

On a toujours du mal à comprendre des mesures de coercition qui pénalisent plus les sanctionneurs que les sanctionnés, mais on s’explique encore moins l’espèce d’omerta qui pèse sur le poids réel de l’ensemble grand-russe dans le commerce des montres…

Et ce n’est pas une mesure de bannissement personnel, mais un ukase contre le seul média horloger 100 % de cette planète (celui qui a le courage faire payer ses contenus) : même nos collaboratrices se trouvent blacklistées et interdites de salon…

Les tendances du printemps seront une fois de plus chromatiques, à la façon du plus fameux zeugma de Victor Hugo (« Booz endormi ») qui nous dépeint ainsi vêtu un « homme pur qui marchait loin des sentiers obliques ». On peut aussi se poser des questions sur les sanctions antirusses, les tourbillons en verre saphir à moins de 10 000 francs suisses, les performances sociofinancées et les rumeurs d’indépendance (qui ne concernent pas le dossier corse)…

Nous nous acheminons à présent vers la fin du premier trimestre 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020 – sauf que la guerre remet en cause toutes les prévisions. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines de février, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Vingt-sixième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Beaubleu, Bell & Ross, Christopher Ward, Edox, Franck Muller, Purnell et Trilobe…

En dix images détournées et autres photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au regretté Jean Yanne (1933-2003) pour cette citation de « On n’arrête pas la connerie » (2010) qui compose le titre de notre chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on la transpose dans l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

Mais aussi un retour vers le futur tridimensionnel, un magistral seigneur des anneaux, une plongeuse très bronzée, une cacophonie newyorkaise et des salons en préparation… Ci-dessous : trois bagues chiffrées en lévitation aux confins de l’espace-temps (Trilobe) et un double tourbillon à l'avant-garde des mécaniques contemporaines (Greubel Forsey)…

En dix images détournées et autres photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à M. de La Bruyère (1645-1696) pour cette citation tirée de ses « Caractères » (1688) et qui compose le titre de notre chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on la transpose dans l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…