En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au fameux Elon Musk pour la sentence qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi les mille pieds d’une souscription rétrovintage, des heures sautantes en plein vagabondage, une Lune dé-genrée qui ne dérange personne, un grand coup dans le ballon et une montre océanique qui réveille les consciences… Images ci-dessous : une plongeuse bicolore (Richard Mille) et une plongeuse tricolore qui va au-delà du bleu-blanc-rouge (Baltic)…

Trentième-huitième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Atelier Wen, Baltic, Casio G-Shock, Claude Meylan, Chevalley Le Bris, Chronoswiss et Code41…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand M aurice Barrès (1862-1923) pour sa citation de « Sous l’œil des Barbares » qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Deuxième épisode : ce qu’on ne voudrait plus jamais voir dans un rendez-vous communautaire horloger, ce qu’il faut reformater de notre logiciel de travail et tout ce qu’il faut oublier dare-dare pour réussir les rendez-vous suivants des années 2020…

Trentième-septième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bomberg, Chanel, Cvstos, Hublot, Kauri, Rolex et TAG Heuer…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Bertrand Russel (1872-1970) pour la citation de sa « Fumisterie intectuelle » (1943) qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

On va aussi vous raconter le retour des chaises musicales, le bulletin de vote présidentiel d’un président de l’horlogerie, le devoir des Académiciens, la copie qui n’en est pas une et tout ce qui fait le sel de l’actualité des montres…

Premier épisode : ce qui est désormais acquis pour les années à venir, maintenant que tout le monde a fait son deuil de Baselworld et comment le rendez-vous de Genève va durablement reformater le calendrier horloger, mais pas forcément comme les marques se l’imaginent encore. Un premier coup d’œil en neuf séquences…

Nous nous acheminons à présent vers la fin du premier trimestre 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020 – sauf que la guerre remet en cause toutes les prévisions. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette première semaine d'avril, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Trentième-sixième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Chanel, Franck Muller, Hublot, Oris, Rolex, Vacheron Constantin et Zenith…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’empereur Marc-Aurèle (121-180) pour la citation de ses « Pensées » qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi la renaissance de deux compteurs octogénaires, une « plongeuse » remontée du passé, un roi des cieux qui fait rêver, des idées pour un Grand prix et un hommage à des eaux mécaniques… Ci-dessous : le retour d’une légende chronodatée à deux compteurs (Angelus) et une royauté céleste qui fait rêver (Rolex)…

Trentième-cinquième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Backes & Strauss, Bomberg, Chanel, Cvstos, FP Journe, Louis Érard et TAG Heuer…

En dix images détournées et autres photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’incomparable Honoré de Balzac (1799-1850) pour la citation de son « Curé du village » (1841) qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…