Nous voici bien ancrés dans 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime, qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces dernières semaines de janvier, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Nouvelle séquence pour démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Voici une présentation des premières montres du premier semestre 2022, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bvlgari, Cuervo y Sobrinos, Linde Werdelin, March LA.B, Memorigin, Swatch et Tissot…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à notre cher Molière (1622-1673), dont nous fêtons ces jours-ci le 400e anniversaire de la naissance, pour la citation de son « Tartuffe ou l’imposteur » (1664) qui sert de titre à cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ?

Mais aussi un régulateur qui pivote la détente, une sportive chic au dixième de seconde, un collectionneur comblé et des salons en points de suspension… Images ci-dessous : une symbolique serpentine portée par une précieuse mécanique joaillière (Bvlgari)…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à notre cher Molière (1622-1673), dont nous fêtons ces jours-ci le 400e anniversaire de la naissance, pour la citation de son « Dom Juan ou le festin de pierre » (1665) qui sert de titre à cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ?

Tout le monde connaît Yuka, l’application mobile qui permet de scanner les produits de la distribution (alimentaire ou cosmétique) pour les noter et mieux « protéger » les consommateurs. À quand une évaluation des montres ?

Nouvelle séquence pour démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Voici une présentation des premières montres du premier semestre 2022, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Breitling, Émile Chouriet, Frederique Constant, HYT, Louis Vuitton, Raul Pagès et TAG Heuer…

Devenu actionnaire (très minoritaire), le senior management des deux manufactures peut-il renouer avec la profitabilité et rembourser son endettement bancaire, alors que les marques sont structurellement déficitaires depuis des années ? Surtout sur un marché qui se polarise de plus en plus autour de quelques références iconiques. La réponse est peut-être plus nuancée qu’il n’y paraît…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à notre cher Molière (1622-1673), dont nous fêtons ces jours-ci le 400e anniversaire de la naissance, pour la citation de son « Misanthrope » (1666) qui sert de titre à cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ?

Ça y est, on est vraiment en 2022 ! C’est la vraie semaine de la rentrée de janvier, avec une accélération de l’actualité du côté des marques, avec la déconsolidation opérée chez Kering, et du côté des salons horlogers, avec les incertitudes qui entourent toujours le futur format de Watches & Wonders et l’annulation présentielle de la LVMH Watch Week de Genève. Accélération aussi du côté des chaises musicales et de bien d’autres dossiers d’actualité…

On est clairement dans le « monde d’après » : ce sont bien les mouvements de cette tectonique des plaques souvent évoquée par « Business Montres ». En déconsolidant ces deux marques de son portefeuille, le groupe Kering semble apparemment renoncer à toute ambition horlogère. En apparence ?

« Business Montres » vous parlait depuis des mois de ce MBO (rachat d’une entreprise par son management), avec de nombreux dessins et le relais de différentes « rumeurs ». Ce devait le feuilleton de la fin 2021 : ce sera l’événement de ce mois de janvier 2022 ! Les manufactures Ulysse Nardin et Girard-Perregaux retrouvent donc leur autonomie par rapport à leur actionnaire, le groupe Kering. L’annonce est faite en ce moment même aux personnel. On vous en reparle plus longuement dès que les premiers détails seront publiables…

Nous voici en 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime, qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines de janvier, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Nouvelle séquence pour démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Voici une présentation des premières montres du premier semestre 2022, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Alpina, Arnold & Son, Baltic, Grand Seiko, Hamilton, TAG Heuer et Tockr…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à notre cher Molière (1622-1673), dont nous fêtons ces jours-ci le 400e anniversaire de la naissance, pour la citation de son « Amphitryon » (1668) qui sert de titre à cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ?