SÉANCE DE RATTRAPAGE semaine 15-2024 (accès libre)
L’actualité horlogère d’une assez décevante semaine de Wonder Week 2024
Le premier trimestre 2024 s’est terminé sur un mode très mineur pour ce qui est de la santé économique de l’industrie des montres. Le millésime 2024 qui se dessine chamboulera sans doute tout le paysage horloger ! C’est l’année de tous les dangers, avec des guerres (Ukraine, Proche-Orient, Pacifique, etc.) et une crise économique internationale qui pertubent toute la planète – particulièrement les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.
▶▶▶ GUEBLY…
Un nouveau segment de marché : la « montre de collectionneur » (imlaginée par et pour un collectionneur). Une nouvelle marque à ne pas manquer pendant cette Wonder Week et une des plus jolies montres de ce printemps, avec ce qu’il faut de polémique sur les réseaux sociaux pour pimenter l’affaire : vous ne devez pas manquer le débarquement prometteur de Guebly sur le marché (Business Montres du 10 avril)
▶▶▶ SINGER REIMAGINED…
La « diver » qui devrait éviter bien des faits-divers ! Depuis les années 1950, les codes de la montre de plongée sont tellement inscrits dans le marbre qu’ils se sont fossilisés. Heureusement, on peut les dynamiter. Malheureusement, ça coûte très cher ! (Business Montres du 9 avril)
▶▶▶ WONDER WEEK…
Watches d’un côté, Wonders de l’autre : l’hyperpolarisation de la Wonder Week entre Palexpo et le centre-ville a fait des dégâts inattendus (Business Montres du 10 avril)
▶▶▶ ROCK’N’HORL 2024…
L’objet horloger le plus singulier de ce printemps horloger a de quoi enflammer le débat : On peut dresser un parallèle intéressant entre les montres-bracelets et les briquets, deux fétiches du quotidien qui étaient hier liés à l’expression d’un certaine modernité, mais qui se trouvent aujourd’hui banalisés et « défonctionnalisés » par la post-modernité. Il était urgent de les fusionner dans la même quête d’un luxe positionnel (Business Montres du 13 avril)
▶▶▶ MAISON HEAVENLY…
Le ciel pour toute limite, la terre pour toute origine et les femmes pour toute beauté : les naissances de maisons de maisons joaillières prometteuses ne sont pas fréquentes pour qu’on boude le plaisir que donnent les nouvelles collections Heavenly, mises en scène par un vétéran de la montre : Franck Touzeau (ex-Piaget). À ne pas manquer pendant la Wonder Week (Business Montres du 8 avril)
▶▶▶ SANS FILTRE…
« Ah, qu’on les aime, ces salons horlogers ! » : s’ils n’existaient pas, il faudrait les inventer. C’est d’ailleurs ce qu’on (re)fait à intervalles réguliers, ici ou là dans cette Suisse si génialement hospitalière qu’elle pratique avec entrain la surfacturation hôtelière et la surenchère autosatisfaite. Les millésimes passent, les générations s’effacent, mais les rituels compassés de ces salons de printemps ne trépassent pas (Business Montres du 14 avril)
▶▶▶ SUR LE BLOC-NOTES DU SNIPER…
La poutinophobie horlogère (Business Montres du 10 avril), Business Montres : mode d’emploi pour les débutants (Business Montres du 8 avril), les effets pervers des réseaux sociaux sur la mlédiocrité d’un salon (Business Montres du 10 avril), les chaises musicales invisibles (Business Montres du 8 avril), Watches d’un côté, Wonders de l’autre, l’incroyable nullité de la direction de Breguet (Business Montres du 10 avril), le populisme rédactionnel (Business Montres du 8 avril), une machine à tricoter Richard Mille (Business Montres du 10 avril), la plus belle parabole de la Wonder Week (Business Montres du 8 avril) et, bien sûr, tous les dessins du jour, nos « Horlo-Kouize » et tout ce qui fait le sel de l’actualité des montres…
SANS OUBLIER
NOS CHRONIQUES
HABITUELLES…
▶▶▶ REPÉRAGES #84/2024 (accès libre)…
Sept nouvelles montres à la fois, parce que quand on aime on ne compte pas (Atowak, Bell & Ross, Carl F. Bucherer, Louis Moinet, SevenFriday, Trilobe et Zenith – Business Montres du 14 avril en accès libre)
▶▶▶ REPÉRAGES #83/2024 (accès libre)…
Sept nouvelles montres à la fois, parce que quand on aime on ne compte pas (ArtyA, Backes & Strauss, Charriol, Franck Muller, Louis Moinet, Parmigiani Fleurier et Roger Dubuis – Business Montres du 13 avril en accès libre)
▶▶▶ REPÉRAGES #82/2024 (accès libre)…
Sept nouvelles montres à la fois, parce que quand on aime on ne compte pas (Backes & Strauss, David Candaux, F.P. Journe, Franck Muller, Patek Philippe, Rivelta et Tudor– Business Montres du 10 avril en accès libre)
▶▶▶ REPÉRAGES #81/2024 (accès libre)…
Sept nouvelles montres à la fois, parce que quand on aime on ne compte pas (Charriol, Doxa, Erwin Sattler, Hublot, Rado, Trilobe et Tsao Baltimore – Business Montres du 9 avril en accès libre)
▶▶▶ REPÉRAGES #80/2024 (accès libre)…
Sept nouvelles montres à la fois, parce que quand on aime on ne compte pas (Atelier Holgur, Charriol, Fuchs & Gov, Louis Pion, Ochs und Junior, Tissot et Trilobe – Business Montres du 8 avril en accès libre)
▶▶▶ PICTOCHRONIQUES #97…
Une brassée d’images alternatives qui nous rappellent les grands épisodes d’une saga médiatique pas comme les autres (Business Montres du 13 avril)
▶▶▶ PICTOCHRONIQUES #96…
Encore une série d’illustrations sérieusement détournées pour illustrer très sérieusement la semaine horlogère, mais sans se prendre au sérieux (Business Montres du 11 mars)
▶▶▶ PICTOCHRONIQUES #95…
De nouvelles pictofictions qui racontent la vie rêvée des marques, des montres et de ceux qui les font pour le meilleur et pour le pire(Business Montres du 9 avril)
▶▶▶ ET TOUJOURS LES MEILLEURS DESSINS DE LA SEMAINE…
Dans votre Quotidien des montres, une imagerie détournée des comics et des pulps de l’âge d’or, avec un commentaire narquois (mais pertinent) de l’actualité pour la communauté des professionnels et tous les amateurs de montres (comme les illustrations de cette page peuvent en témoigner). Ne manquez pas, au quotidien, notre « dessin du jour » et ses explications)…
COORDINATION ÉDITORIALE : JACQUES PONS
