Rendez-vous avec l’actualité des montres de cette semaine décisive dans l’histoire des montres : dans notre « zéro bullshit zone », nos lecteurs étaient aux premières loges. Voici, comme toutes les semaines, tout ce qui compte pour la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Jamais les enchères de montres de collection ne s’étaient aussi bien portées que ce week-end, mais Antiquorum s’aménage dans la joaillerie un nouvel espace de légitimité…

C'est notre 11/9 (eleven-nine) à nous ! La date s’annonçait mémorable : les lecteurs de « Business Montres » étaient alertés dès hier matin sur un probable record du monde pour une montre de collection. C’était peu : le record précédent – celui d’Aurel Bacs pour la « Paul-Newman-de-Paul-Newman » – n’a pas été battu, il a été pulvérisé. À un niveau qui ouvre une nouvelle ère pour le marché des montres de collection…

Pas question non plus de tout prendre au pied de la lettre pour illustrer une vision très sérieuse de l’industrie horlogère – ceci en toute décontraction. Pour compléter nos analyses plus formelles et nos révélations habituelles, découvrez ici une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter quelques jours de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.

Pour l’instant, le record appartient aux 17,7 millions de dollars de la Rolex Daytona « Paul Newman » vendue par Aurel Bacs à New York en 2017. Il n’est pas impossible que la pièce unique Patek Philippe de la vente Only Watch batte ce record cet après-midi.

Non seulement ce prix moyen est ridicule pour les dix-huit montres récompensées et pour les marques qui vont devoir affronter cette atteinte à la common decency, mais il devient dangereux pour la survie même du Grand Prix d’Horlogerie de Genève. La révision du règlement intérieur devient une urgence absolue…

Mais aussi les heures-lumières d’une nuit de pleine Lune, les songes d’une vie rêvée quelque part en Italie, des paillettes d’étoile qui défient le prochain millénaire, et plein de bonnes nouvelles d’un week-end plein de montres à vendre… Images ci-dessous : les lumières vibrantes d’une Dolce Vita qui souligne de blanc la pureté de son cadran (Longines) et la couleur d'une montre de plongée qui sait se faire remarquer…

Pour les lecteurs de « Business Montres », ce palmarès 2019 ne sera pas une vraie surprise : nous avions anticipé 75 % des prix distribués au cours d’une cérémonie parfaitement maîtrisée, mais qui reste très perfectible en vue des grands changements prévus pour 2020. À commencer par le prix moyen 2019 des montres récompensées, en hausse de 30 % par rapport à 2018…

Après tout, peu importe l’exactitude ou l’approximation de nos anticipations, qu’on a pu évaluer fiables à près de 80 % au cours de ces dernières années : ce qu’il faut comprendre, c’est la tendance des choix du jury, ainsi que les arbitrages opérés par les jurés…

On va parler d’une incroyable lacune dans le marketing horloger, du rachat de Tiffany & Co par LVMH, de ce qui ne va pas bien chez Richemont à force de jouer aux chaises musicales et de sociofinancement, où il se passe des choses intéressantes avec des centaines de milliers d’euros qui changent de main pour équiper les poignets…

En alignant les zéros sous le marteau ou en voyant leur cote exploser, certaines montres devraient opérer une démonstration de force aux prochaines enchères. Quels peuvent être les leaders inévitables ou inattendus de cette session d’automne ?

Pas question non plus de tout prendre au pied de la lettre pour illustrer une vision très sérieuse de l’industrie horlogère – ceci en toute décontraction. Pour compléter nos analyses plus formelles et nos révélations habituelles, découvrez ici une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter quelques jours de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.

Dangereuses pour les marques d’horlogerie traditionnelles, en Europe comme ailleurs dans le monde, et tout particulièrement dangereuses pour l’entrée de gamme des montres suisses, qui aura perdu un bon quart de ses volumes exportés depuis l’apparition sur le marché des montres connectées…

On va parler de quelques marques suisses sur les réseaux de sociofinancement, qu’elles raflent des millions ou qu’elles galèrent parce que rien n’est jamais joué sur Kickstarter. On reparlera aussi du triomphe de l’Apple Watch qui prend l’ascenseur quand l’horlogerie suisse se traîne sur son déambulateur, d’Instagram, des marchés qui ne croient plus au mariage Tiffany & Co-LVMH ou des Rolex « introuvables »…

Quarante-troisième séquence de découverte de l’offre horlogère de cette rentrée 2019. Avec les premiers jours d’octobre, la rentrée horlogère bat son plein : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Bomberg, Bucherer x Panerai, Corum, Émile Chouriet, Fendi, H. Moser & Cie. et Ralf Tech…