Rendez-vous avec l’actualité des montres de cette mi-octobre : une compilation de ce qu’il ne fallait pas manquer ces jours-ci dans notre « zéro bullshit zone ». Comme toutes les semaines, tout ce qui compte pour la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Hier, la planète horlogère suisse était axée autour d’un pôle unique : la montre traditionnelle. Sous les coups de boutoirs des concurrences asiatiques et avec la menace d’une submersion par les carpo-usurpateurs (qui colonisent les poignets avec leurs montres connectées), l’horlogerie suisse a vu se fragmenter son empire autour de quatre pôles majeurs – et peut-être même d’un cinquième pôle, plus virtuel. Prêts pour une expédition polaire ?

Puisque « l’avenir est un lieu commode pour y mettre des songes » (Anatole France) et comme tous les week-ends tout au long de l’année, « Business Montres » a sélectionné pour vous six réflexions alternatives de plus ou moins forte intensité : il s’agit de nourrir nos méditations et de favoriser la fermentation des neurones pendant la pause hebdomadaire. Bonne lecture et, surtout, bonne digestion de toutes ces analyses : cette semaine, on va parler des sociologies du quotidien, avec l’art de se faire la bise, de cravates géopolitiques et de cravates socialitaires, de costumes statutaires, de décroissance démarchandisée et de narcissisme culturel. Mais, comme toutes les semaines… on vous laisse réfléchir là-dessus !

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 139e séquence de belles créations d'inspiration horlogère...

De toute façon, pas question de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre pour illustrer une vision de l’industrie horlogère tout ce qu’il y a de plus décontractée. Pour compléter nos analyses plus formelles et nos révélations habituelles, découvrez ici une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter quelques jours de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.

Mais aussi la symphonie fantastique d’Alain Silberstein, les lueurs nocturnes d’une baroudeuse internationale, les montres qui évoluent au gré de vos humeurs et les actualités bonnes à savoir pour parler d’horlogerie comme un initié. Images ci-dessous : la plus belle montre de l'histoire horlogère et et une grammaire des couleurs assez maîtrisée pour recréer la magie du temps qui passe…

La poésie est un art délicat : il aura fallu neuf ans à Van Cleef & Arpels pour boucler le second chapitre de son « Pont des Amoureux », dans la collection des Complications poétiques. C’est long, mais ça valait le coup d’attendre : c’est la montre la plus tendrement compliquée de cette rentrée pour exprimer ce qu’il y a plus simple au monde – l’amour ! Tout ceci partant d'un... bon sentiment !

Alors que le commerce de l’horlogerie de seconde main est en train d’exploser, les marques commencent à se préoccuper des montres qui portent leur signature sur le marché de l’occasion comme sur celui de la collection. La très intéressante initiative d’Omega pour proposer un « certificat d’authenticité » pour ses montres vintage pose plus de problèmes qu’elle n’en résout…

Pas belle, la vie des montres ? On nous prépare des boîtiers horlogers dans cette « nacre » qui servira aux futures armures militaires, on voit des marques qui ne vieillissent pas bien, on nous enfume sur les batteries et on change d’unité de mesure pour les licenciements à venir. Sans parler des dessins qui détournent l’actualité des montres…

À la demande de nombreux lecteurs, une seconde page « Sérieux s’abstenir » en milieu de semaine : on espère que c’est par intérêt et par souci de se détendre plus que par paresse intellectuelle face aux articles habituels. De toute façon, pas question de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre pour illustrer une vision de l’industrie horlogère tout ce qu’il y a de plus décontractée. Découvrez ici une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter quelques jours de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.

Premier numéro le 5 octobre 2004 de la niouvelle « Lettre internationale des marchés horlogers » : une édition bimensuelle de 8 pages (papier) qui était déjà le premier média horloger sans publicité que seuls ses lecteurs pouvaient acheter. C’est toujours le cas : notre « médiafacture » reste la seule au monde à oser se fier à la seule confiance de ses lecteurs…

Icône contemporaine du design horloger, Alain Silberstein se mêle de revisiter avec ses propres codes visuels la plus classique des « complications » : le bon vieux régulateur. Loin d’y perdre son âme, le designer y trouve même une forme de sérénité stylistique qui révèle une inattendue tentation néo-baroque…

À quelques jours d’une confirmation de la décroissance statistique des exportations horlogères et alors que se profilent un peu partout de sérieux « dégraissages » de personnels (dans l’amont industriel comme dans les marques), on peut tout de même trouver dans l’actualité des montres quelques bonnes raisons de se réjouir. Enfin, des bonnes nouvelles !

Quarantième séquence de découverte de l’offre horlogère de cette rentrée 2019. Avec les premiers jours d’octobre, la rentrée horlogère bat son plein : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Bodet, Bovet 1822, Casio, Corum, Ulysse Nardin, Vacheron Constantin et Zenith…

Pas question de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre pour illustrer une vision de l’industrie horlogère tout ce qu’il y a de plus décontractée. Découvrez ici une série de dessins et d’images « piratées » pour commenter quelques jours de la vie des montres et pour échapper aux communiqués officiels. « Business Montres » vous propose chaque week-end une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques – certains de ces dessins « piratés » sont récupérés dans nos pages d’actualité horlogère.