Les plus belles montres ont toutes besoin d’une belle légende, qui se doit pour exercer ses charmes de présenter des zones d’ombre et des grandes plages de lumière. Avec la nouvelle Tudor, on est servi : on se baigne dans le mystère et on se régale d’énigmes historiques, militaires et horlogères…

Il ne faut jamais désespérer des médias officiels : l’enquête de la RTS (Radiotélévision suisse) sur le patrimoine immobilier du groupe Rolex prouve que le goût de l’investigation anime toujours les jeunes talents journalistiques. Au-delà des fantasmes collectifs, c’est la première fois qu’on donne un tel coup de projecteur sur ce patrimoine, dont on découvre qu’il fait finalement… honneur à Rolex !

Une exploration fictionnelle de ce qui se passerait si un salon comme Baselworld décidait de fermer définitivement ses portes, en laissant les marques libres d’organiser leur propre petite communication à travers leurs propres petits événements.

Un reportage à ne pas manquer : ce soir, à 20:10, à la télévision suisse (RTS Un), dans l’émission TTC. Avec des informations encore jamais rassemblées pour brosser le portrait de la marque qui possède(rait) le plus important patrimoine privé de toute la Suisse…

Il n’y aura pas de guerre des générations entre les enfants du « baby boom » (les classes démographiquement très lourdes nées après la Seconde Guerre mondiale) et les « post-boomers » qui commencent à les remplacer en ringardisant le système de valeurs imposé par leurs prédécesseurs. Cette fatalité biologique ne joue pas en faveur des horlogers, qui ont tout axé autour de ces « boomers », de leur culture et de leurs références économiques. Il serait temps de changer de logiciel…

Seizième séquence de découverte de l’offre horlogère de ce début d’année. Avec les premiers jours d’avril, voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et la jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Chopard, Ebel, Gucci, Laventure, L’Épée 1839, Tavannes Watch Co. et Voutilainen…

Une compilation de tout ce qui a été repéré ces jours-ci dans notre « zéro bullshit zone » : comme toutes les semaines, tout ce qui compte pour la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

Vingt-neuvième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour relèvent de la culture générale sur les objets du temps. Nos questions portent aujourd’hui sur un millésime très récent, 2009, de l’histoire horlogère. Ce quizz en cinq questions vise à consolider les connaissances horlogères des primo-accédants à cette culture horlogère – mais aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

Puisque « l’avenir est un lieu commode pour y mettre des songes » (Anatole France) et comme tous les week-ends, « Business Montres » a sélectionné pour vous six réflexions alternatives de plus ou moins forte intensité : il s’agit de nourrir nos méditations et de favoriser la fermentation des neurones pendant la pause hebdomadaire. Bonne lecture et, surtout, bonne digestion de toutes ces analyses : cette semaine, on va parler des nouvelles sciences de la complexité, d’influenceurs beauté, du remplacement de la croissance par l’abondance, des marques « obsolètes », de Big Data et de marketing « atmosphérique »…

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 120e séquence de belles créations d'inspiration horlogère...

Détournons, détournons, il en restera toujours quelque chose : pour illustrer sans se prendre au sérieux une actualité horlogère tout ce qu’il y a de plus sérieuse, « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques. Certains de ces dessins détournés sont récupérés dans les pages quotidiennes de « Business Montres »…

Mais aussi, toujours de retour de Baselworld, mais uniquement pour les dames, une nouvelle manufacture italienne, les onze diamants d’une sportive chic, un arc-en-ciel pour hyménoptères en danger et un rêve impérial en malachite… Images ci-dessous : des abeilles Dior parées de pierres précieuses pour les plus précieux un Grand soir entomologique…

Les Anglo-Saxons parlent de « binfluencers » – du mot « bin » (poubelle). Leur influence supposée n’engage que ceux qui y croient, mais on débouche parfois sur de superbes arnaques, qui mettent en émoi les réseaux sociaux…

Tant qu’à poser des questions parfois sans réponse, pourquoi le « passager de l’océan » n’a-t-il pas de soutien horloger, tout comme les nostalgiques des Golden Eighties qui vont tenter la diagonale Vendôme-Vendôme ? Et que dire des pétales sans grâce de la montre de Martin Luther ?

Loin d’être parfait, le Watch Incubator de Baselworld était surtout perfectible : c’est pourquoi il faut en évaluer les réussites et les lacunes, pour lui permettre de jouer un rôle moteur en 2020, qui s’annonce comme le matin d’une nouvelle renaissance pour le plus grand rendez-vous annuel du calendrier horloger…