« Quelle sera la prochaine Nautilus ? », se demandaient très sérieusement les collectionneurs, mais aussi les distributeurs et les marketeurs pendant la dernière Dubaï Watch Week. Quelle marque aura le privilège de confiner ses amateurs sur des listes d’attente de plusieurs années et de se vendre sur le marché secondaire dix fois plus cher qu’en boutique ? Oui, au fait, qui a ses chances pour décrocher la queue du Mickey de ce grand manège horloger ?

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des montres du second semestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Doxa, Hanhart, Herbelin, Hublot, Omega, Oris et Zenith…

On va aussi vous parler d’un ballon qui dribble sur trois axes, peut-être parce qu’il a été imaginé par un horloger footballeur, des petits plaisantins de la statistique communiste chinoise, des montres qui n’ont pas marqué l’histoire du cinéma et d’un coup de gueule pour ceux qui oublient de parler français…

Seize coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pour le mois de novembre 2021. Les incertitudes (re)confinatoires risquent de ne pas se dissiper aussi rapidement qu’on l’espérait et les répliques chronapocalyptiques de 2020 sont toujours à redouter. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie des montres. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur cette fin 2021 : pour le meilleur ou pour le pire ?

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’excellent Alphonse Allais (1854-1905) pour la citation qui fournit le titre de cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ?

C’était simple à imaginer, mais il suffisait à Karsten Frasdorf d’y songer : pourquoi se fatiguer à chercher des blocs de météorite métallique pour réaliser cadrans et boîtiers, alors qu’il est si facile de donner un « style météorite » aux composants métalliques qu’on aimerait « météoriser » ? On pourrait même qualifier ce style de « météorite manufacture », puisque tout est fait à la main…

On va aussi vous raconter pourquoi sept lettres peuvent ruiner la fin de l’année horlogère et comment Ice-Watch fait tout pour fuir la poussière. Sans oublier les questions qu’on peut se poser sur l’avenir du Swatch Group et les conclusions étonnantes d’une enquête « historique » de Jaeger-LeCoultre…

Moins de six semaines nous séparent à présent de la fin de l’année 2021. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur 2022, qui sera, après deux ans de pandémie, le premier « vrai » millésime des années 2020. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Attendons quelques semaines pour en savoir plus… Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces derniers jours, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des montres du second semestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Arnold & Son, Hegid, Hublot, Oris, Piaget, Vacheron Constantin et Victorinox…

Après une semaine de campagne, quand on recueille un euro (!) de souscription sur les 28 000 euros qu’on espère, c’est qu’il y a un petit problème quelque part. Pas forcément dans le concept, mais sûrement dans l’approche du marché…

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Woody Allen, qui s’est approprié ce proverbe de la belle sagesse russe, pour la citation qui fournit le titre de cette chronique – on y est également très près du proverbe yiddish : « L'homme prévoit et Dieu rigole ». C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ?

On va aussi vous parler de la Fondation Cartier, du retard à l’allumage des médias perroquets, du Français qui a une bonne descente suisse et de lingerie féminine…

Mais aussi la double tridimensionnalité d’un mariage de déraison, la précision d’une lecture centrale, le glamour rouge et or, les vrais héros de la montre et l’hymne à l’amour en mode pop rock… Images ci-dessous : des cabochons de pierres précieuses qui surveillent de près une mécanique exceptionnelle (MB&F x Bvlgari)…

On connaît les fatwas qui voueraient aux gémonies la presse horlogère imprimée – laquelle est pourtant, le plus souvent, autrement plus digne et décente que la presse numérique. « Montre Heroes » entend nous démontrer en 200 pages que le bon vieux papier, avec un beau grammage et des vrais contenus, reste un vecteur de communication privilégié pour de nouvelles émotions horlogères. Et si le papier était la solution, et pas le problème ?

Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction phylactérisée, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Guy Debord (« Panégyrique », 1989) pour la citation qui fournit le titre de cette chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on l’applique à l’actualité horlogère, non ?