Troisième épisode de nos « pictochroniques », qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’irremplaçable Mlle Chanel (Coco Chanel : 1883-1971) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Après la présentation intégrale des montres en piste pour le GPHG, nous reprenons avec ce 188e épisode notre panorama des montres de l’année, notamment celles des Geneva Watch Days : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept montres de différentes marques : Alpina, Bvlgari, Chronoswiss, Le Forban, Sinn, Unimatic x Revolution et Zenith…

Après la présentation intégrale des montres en piste pour le GPHG, nous reprenons avec ce 187e épisode notre panorama des montres de l’année, notamment celles des Geneva Watch Days : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept montres de différentes marques : Bvlgari, De Bethune, Herbelin, Lebond, Luminox, Mido et Sinn…

90 montres présélectionnées, mais une minorité de « nouvelles marques » créatives dans la finale de la compétition. Avec des choix impossibles dans de nombreuses catégories de prix. Les académiciens ne doivent pas se résigner à la domination des marques déjà archi-récompensées : un peu de courage pour récompenser la vraie créativité horlogère !

Deuxième épisode de nos « pictochroniques », qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand médiologue et penseur Régis Debray (né en 1940) pour la citation de son « Scribe » (1980) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Septième et huitième Baromontres de l’année 2023, avec dix-huit coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pendant les mois de cet été 2023. Le premier semestre a déjà souligné les incertitudes qui se dessinaient pour l’année en cours. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2023, dont on ne voit pas encore clairement ce qu’il nous réserve…

Premier épisode de nos « pictochroniques », qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand dramaturge Eugène Ionesco (1909-1994) pour la citation de ses « Notes et contre-notes » (1962) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Après la présentation intégrale des montres en piste pour le GPHG, nous reprenons avec ce 186e épisode notre panorama des montres de l’année, notamment celles des Geneva Watch Days : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept montres de différentes marques : Armin Strom, Arnold & Son, Casio, Hamilton, Konstantin Chaykin, Massena Lab x Sylvain Pinaud et Sinn…

Après la présentation intégrale des montres en piste pour le GPHG, nous reprenons avec ce 185e épisode notre panorama des montres de l’année, notamment celles des Geneva Watch Days : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept montres de différentes marques : Alpina, Byrne, Junghans, Lederer, Longines, MeisterSinger et Sinn…

Centième et dernière séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Soit un total d’un millier d’images piratées et de dessins détournés au service de la bonne cause. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au regretté romancier Milan Kundera (1929-2023) pour la citation de son « Identité » (1998) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Le groupe Rolex autonomise sa distribution, ce qui terrorise ses concurrents légèrement paniqués, qui n’ont plus qu’à se soumettre ou à se démettre de leurs positions chez Bucherer. C’est un séisme majeur, dont les répliques ne vont plus tarder à faire de sérieux dégâts dans le paysage horloger. Essayons d’y voir plus clair en une douzaine de questions dont on peut pressentir les réponses (seconde et dernière partie).

Après la présentation intégrale des montres en piste pour le GPHG, nous reprenons avec ce 184e épisode notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept montres de différentes marques : Breguet, Hamilton, Louis Moinet, Maurice de Mauriac, Perrelet, Sinn et Vacheron Constantin…

Le groupe Rolex autonomise sa distribution, ce qui terrorise ses concurrents légèrement paniqués : un séisme majeur vient d’avoir lieu, avec des répliques qui ne vont plus tarder à faire quelques dégâts dans le paysage horloger. Essayons d’y voir plus clair en une douzaine de questions dont on peut déjà pressentir les réponses (première partie).

Avant-dernière séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’immense dramaturge français de l’absurde Eugène Ionesco (1909-1994) pour la citation de son « Rhinocéros » (1909) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi les courbes paraboliques d’un vaisseau spatial horloger, un hommage à un grand écrivain-journaliste, un digne successeur des grands maîtres horlogers des siècles passés, un tremblement de terre dans le paysage des montres et quelques autres nouvelles… Images ci-dessus : une géométrie impossible à définir au service d’un concept mécanique ébouriffant (MB&F)