122e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand Confucius (VIe-Ve siècle) pour la citation de ses « Entretiens » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un vrai furet horloger, des boulons qu’on resserre chez Zenith, d’une gestion des ressources « inhumaines », de lancoeurs d’alerte maltraités et des impitoyables souvenirs d’un joaillier – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En enquêtant sur un groupe horloger en plein naufrage comme les Texans de Fossil, on découvre des collections finalement pas si moches, avec une offre « Swiss Made » tout sauf nulle, et on finir par se demande ça peut donner de passer quelques jours avec une montre Fossil au poignet. Une expérience pas banale, qui se termine même du côté de l’Énéide de Virgile…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 134e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Breitling, Chanel, Herbelin, Praesidus, Rado, Seiko et TAG Heuer…

Le premier semestre 2024 se termine sur un mode très hésitant – du moins, pour ce qui est de la santé économique globale de l’industrie des montres. Le millésime 2024 qui se dessine chamboulera sans doute tout le paysage horloger ! C’est l’année de tous les dangers, avec des guerres (Ukraine, Proche-Orient, Pacifique, etc.) et une crise économique internationale qui pertubent toute la planète – particulièrement les grands marchés horlogers. Des mutations décisives sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 133e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : ArtyA, Audemars Piguet, Breitling, Carl F. Bucherer, Chanel, Mido et Praesidus…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de la guerre des Gaulois pour un petit village de la haute horlogerie suisse, de harceleurs genevois, de rumeurs qui hésitent entre l’info et l’intox, d’Only Watch et de chaises musicales – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 132e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Alpina, ArtyA, Herbelin, IWC, Jacques Bianchi x Fratello, Lang & Heyne et Taos…

121e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immense Frédéric Dard (1921-2000) pour la citation de ses « Pensées de San-Antonio » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 131e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Carl F. Bucherer, Chanel, Delma, Gérald Genta, IWC, Le Forban et Magana…

Mais aussi une séduisante discrétion horlogère (très suisse), une alternative apaisée, une « plongeuse » requalifiée, un David qui a vaincu Goliath et un chronographe de mémoire… Images ci-dessous : un bel hommage à ceux qui ont débarqué à Omaha en juin 1944 (Le Forban)…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un débarquement du 6 juin dans l’horlogerie, d’un autocar sur un parking, d’une soirée barbecue, de médias perroquets, d’une pilule empoisonnée chez Vaucher Manufacture et de licenciements – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

L’arrêt des juges parisiens est un tournant dans l’histoire de la propriété intellectuelle appliquée aux affaires horlogères. Les prétentions de Panerai à l’exclusivité de ses modèles sont pulvérisées : Augarde voit confirmés ses droits d’exploitation de montres d’une inspiration « panéristique » revue et corrigée. L’iconographie horlogère appartient à tout le monde : voici venu le temps de la reconfiguration identitaire – c’est open bar pour tous les serial copieurs…

120e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immense et jamais remplacé humoriste français Raymond Devos (1922-2006) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

119e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’inspecteur Baron (joué par Laurent Labasse) pour cette réplique du film « Vidange » de Jean-Pierre Mocky (1998) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…