Vingt-cinquième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand philosophe Albert Camus (1913-1960) pour la citation de son « Mythe de Sisyphe » (1942) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres, par exemple, celle d’Only Watch ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

237e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept pièces de différentes marques : ArtyA, Brellum, Jaeger-LeCoultre, Pequignet, Raketa, Seiko et Versace…

Il faut arrêter de se raconter des histoires : s’il peut exister une fenêtre de tir pour tenir au printemps 2024 la dixième vente Only (celle qui vient d’être reportée), les conditions pour l’organiser ne seront pas réunies, et de loin…

Message reçu cinq sur cinq : soyons percutants ! Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de la grande lessive dans la lessiveuse asiatique, du rétropédalage des médias perroquets, des enfumages d’Only Watch et d’une cartomancienne horlogère – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

236e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept pièces de différentes marques : Czapek, Garmin, Gorilla, Moritz Grossmann, Seiko, Sinn et Versace…

Vingt-quatrième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci à l’immense et irremplacé Michel Audiard (1920-1985) pour la citation de son « Le cave se rebiffe » (1962) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres, par exemple, celle d’Only Watch ! Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Officiel et autorisé cette fois : la direction d’Only Watch jette l’éponge et, mise sous pression, elle décide de reporter la vente à une période plus favorable. Nous avions donc raison de poser les bonnes questions à cette direction, comme nous avions d’aussi bonnes raisons de ne pas prendre très au sérieux les réponses peu crédibles de Luc Pettavino. Le projet Only Watch est mort, vive Only Watch saison 2 ?

Message reçu cinq sur cinq : soyons percutants ! Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un salon très réussi, d’un monument à ériger, d’une campagne à six chiffres, du tweed qui n’est pas bon marché et, bien sûr, par force, d’Only Watch – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie…

235e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept pièces de différentes marques : Airain, Bell & Ross, E. Stohlman, Nicolas Commergnat, Seiko, Sinn et Studio Underd0g…

Sérieusement disqualifié par de récentes révélations, le concept Only Watch tel que nous le pratiquons depuis deux décennies a fait son temps. Ses animateurs ont perdu la confiance de la communauté horlogère. Il est plus que jamais temps de réinventer un rendez-vous créatif et charitable pour toute la profession…

La fin du second semestre confirme le millésime 2023 comme une année de transition ! C’est aussi l’année de tous les dangers. Entre les guerres (Ukraine, Proche-Orient, etc.) et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde (particulièrement sur les grands marchés horlogers), toutes les prévisions sont remises en cause. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

233e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept pièces de différentes marques : Backes & Strauss, Berneron, Casio G-Shock, Garmin, Hublot, Phillip Plein et RGM…

233e épisode de notre panorama des montres de l’année : ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas – voici donc bien plus de sept pièces de différentes marques : Alpina, Chronoswiss, Franck Muller, Louis Érard, Louis Vuitton, Phillip Plein et TAG Heuer…

Vingt-troisième épisode de nos « pictochroniques » qui racontent en une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme – la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger. Merci au grand George Orwell (1903-1950) pour la citation de sa « Ferme des animaux » (1945) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie sa pensée à l’actualité des montres, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Les « grandes puissances » de la montre ont soupesé les avantages et les inconvénients avant de trancher en faveur du statu quo, mais il y aura des absents et pas mal de mécontents.