Ils viennent de naître ou ils font à peine leurs premiers pas : témoin d'une dynamique démographique galopante, la maternelle horlogère française déborde de jeunes talents. Sélection aléatoire, sans préséances, ni ordre alphabétique, au fil de nos rencontres et de nos émotions. Deuxième séquence : comment William L. 1985 se sert des médias sociaux pour rebondir sur ses premiers succès…

Des pages pour parler encore plus cash et pour se dire les vérités qui fâchent, entre quatre z’yeux – parce que ça ne sortira pas d’ici et parce qu’il faut bien se dire les choses comme elles sont. La punchline du jour : « Les coucous de l’info sont trop coûteux » – les écornifleurs méritaient bien une bonne mornifle !

C’était publié cette semaine, dans les pages d’actualité suivie de votre « Quotidien des Montres » – ici et nulle part ailleurs, en mode « zéro bullshit zone ». Le meilleur de l’information horlogère, le plus exclusif, le plus percutant et le plus original, bref le plus indépendant et le plus utile pour tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Une rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité, comme en toute liberté de parole et de pensée !

Dernière saison de notre tour des montres en 80 tests (nous dépassons maintenant les trois-quarts du parcours), avec la soixantième-troisième séquence de notre jeu inédit pour tester vos connaissances en haute horlogerie. Vous n'avez à chaque fois que six bonnes réponses à formuler pour prouver votre niveau de culture en belles montres - ce 63e épisode est plus spécialement consacré à Breitling !

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une soixante-treizième séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

Histoire de détendre un peu l’atmosphère, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. Avec un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…

Mais aussi un compteur de bord qui s'installe au poignet, un coussin vintage à deux compteurs, un instrument professionnel en bonze patiné et des coquilles d'œuf pour défier le temps qui passe… Image ci-dessous : pour aller plus vite que le temps, un habitacle horloger profilé comme un vaisseau intergalactique…

Mais aussi le canon de fusil de M. Brice, la bonne musique qui peut vous réveiller, la bonne verrée de Baselworld, l'auberge espagnole d'avant Baselworld, les doutes sur un temps de chien et la grande solitude horlogère sur les 654 aspirants au parlement et au gouvernement de Genève…

Autoproclamée « capitale internationale de l’horlogerie », Genève a toujours préféré l’argent des montres aux intérêts de l’industrie des montres. À deux mois de l’élection des futurs 100 députés du Grand conseil de la République et canton de Genève, on ne compte qu’un seul « horloger » sur les 623 candidats en piste. Et pas un seul dans les 31 candidats au Conseil d’État. Soit 1 chance sur 654... On se moque de qui ?

Les oléo-monarchies du Proche-Orient et les pétro-milliardaires du monde entier vont adorer ce derrick gazier conçu par L'Épée 1839 : un chef-d'œuvre de minutie horlogère qui frôle le kitsch dans son réalisme figuratif…

M. l’actionnaire de référence du Kernault Richewatch Group (leader mondial des maîtres du temps) a une passion : tenir quotidiennement son journal intime pour y raconter son expérience du monde horloger. Il nous assure : « C’est sûr, je suis un peu largué. J’ai des doutes sur ce qu’on me raconte. Je me dis pourtant que, si je n’ai pas encore tout compris, c’est sans doute qu’on ne m’a pas bien tout expliqué »…

On doit évidemment se féliciter de la reprise des exportations horlogères au cours de ces derniers mois - même si ce ne sont que des montres livrées et non vendues. Maintenant, face à tels chiffres, au lieu de les apprendre, on ferait mieux de les comprendre. Là, c'est moins exaltant…

Trois « rebelles » de l’horlogerie débarquent sur le marché avec une furieuse envie d’inventer un style néo-horloger contemporain (ça passe ou ça casse !) et de de casser les codes – à commencer par ceux du tout-à-l’égo mécanique. Serions-nous à l’aube d’un retournement sociétal concernant le tabou du quartz dans l’avant-garde horlogère suisse ?

On parlera aussi de la « colonne du temps » sculptée par Jorg Hysek, d’une Omega « royale » qui fera de la figuration, des « porcs » photographiques préférés des marques horlogères suisses et d’un possible « ramassage » d’actions Fossil par des raiders…

Le panier à provisions rempli pendant le SIHH est loin d'être vide, mais celui de Baselworld commence à se garnir. Des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c'est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (" Quand on aime, on ne compte pas ") et par ordre alphabétique d'apparition à l'écran : Bell & Ross, Charriol, Cvstos, Genie, Glashütte Original, Maurice Lacroix et Michel Herbelin…