C’est reparti pour une nouvelle rentrée horlogère : le panier des produits de l’automne se garnit à vue d’œil. Avant la fin de cet été 2018, voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Citizen, Ebel, Klokers, Mondaine, Polar, Richard Mille et Ulysse Nardin…

Le périscope de « Business Montres » repère chaque semaine les informations qui comptent dans la communauté horlogère, à propos des hommes, des montres et des marques : des actualités publiées dans notre « zéro bullshit zone », avec le meilleur de l’information horlogère, en toute indépendance, pour mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres. Notre traditionnelle « séance de rattrapage » vous propose cette rétrospective rapide, en accès libre, pour relire tout ce qui a été publié en vrac, en bref et en toute originalité !

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une 94e séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

Deuxième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Ce jeu-test de questions-réponses sur la culture des montres est plutôt destiné aux primo-accédants (mais pas que) et centré cette fois sur l’année 1978 – il y a quarante ans. Cinq questions dans cinq disciplines de base pour acquérir ou retremper ses connaissances horlogères…

Six cuillerées de « business intelligence » pour favoriser la fermentation neuronale de ce week-end : bonne lecture et, surtout, bonne digestion de toutes ces analyses…

M. l’actionnaire de référence du Kernault Richewatch Group (leader mondial des maîtres du temps) a une marotte : tenir quotidiennement son journal intime pour y raconter son expérience du monde horloger. Il nous assure : « C’est sûr, je suis un peu largué. J’ai des doutes sur ce qu’on me raconte. Je me dis pourtant que, si je n’ai pas encore tout compris, c’est sans doute qu’on ne m’a pas bien tout expliqué »…

Détournons, détournons, il en restera toujours quelque chose : pour illustrer sans se prendre au sérieux une actualité horlogère tout ce qu’il y a de plus sérieux, « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques. Certains de ces dessins détournés sont récupérés dans les pages quotidiennes de « Business Montres » – pourquoi ne pas les reproposer en accès libre ?

Ah, ne parlez pas de Teodoro à nos amis des grandes marques : ils auront des sanglots dans la voix en évoquant ce grand contributeur aux exportations horlogères de l’industrie suisse !

Mais aussi la surfeuse de choc du sport chic basco-parisien, la légende automobile avec une bande blanche, la nouvelle décontraction colorée des pierres précieuses et la montre des anges gardiens de nos ministres... Images ci-dessous : icône du design horloger contemporain, Ikepod est de retour à des prix accessibles...

Branle-bas de combat, ce matin, avenue Montaigne, au siège de LVMH, et à La Chaux-de-Fonds, chez TAG Heuer. Le départ surprise de Jean-Claude Biver a pris tout le monde de court. S’il n’a pas forcément renoncé de son plein gré à toutes ses responsabilités opérationnelles chez LVMH, l’horloger suisse le plus célèbre du monde a retrouvé la pêche : « Rocking Bibi, le retour, c’est pour demain »...

Jean-Claude Biver tire sa révérence. Dans quelques semaines, il aura définitivement quitté tant sa direction de TAG Heuer que sa présidence opérationnelle de la division horlogère du groupe. C’est du ferme et définitif…

Quel nouveau créateur de montres ne rêve pas de s’imposer comme le « Daniel Wellington » de demain ? Le problème est qu’on décalque trop le modèle, sans audace disruptive. Les couleurs du sociofinancement se fanent plus vite que prévu. Reprise d'un article de Grégory Pons dans l'édition de septembre de l'excellente gazette horlogère « Watch Around »...

La fameuse « affaire Benalla » n’en finit plus de rebondir entre la place de la Contrescarpe, l’Élysée et le palais du Luxembourg. « Business Montres » présente, une fois de plus, la preuve qu’Alexandre Benalla est le plus épatant des James Bond macroniens…

Logique : si on voit apparaître, chaque jour, une nouvelle marque horlogère sur ces réseaux de sociofinancement, il faut s’attendre, à la fin de l’année, que les néo-marques millésimées 2018 soient aussi nombreuses que les marques suisses en activité. Inévitable : un grand basculement démographique se prépare…

Un tourbillon Rolex, certains avaient probablement dû en rêver toute leur vie. Les Genevois de l’atelier Label Noir l’ont fait – bien sûr, ce n’est ni officiel, ni autorisé. Pourquoi se gêner ? Quand il y a Rolex, il y a du plaisir…