C’est l’heure du bilan pour l’édition 2018 du GPHG, qui s’est avérée être aussi formellement réussie que conceptuellement problématique pour sa survie dans un proche avenir. Les perdants ne sont pas forcément ceux qui sont repartis sans trophée…

Cette Solstice Clock relève incontestablement de la « complication » horlogère et elle illustre tout aussi objectivement une certaine idée de la « complication » mécanique. Elle est, enfin, une magnifique idée décorative pour illustrer les cycles temporels de l’éternel retour…

Corum a revu et corrigé une de ses formes fétiches, le tonneau, en lui insufflant un traitement mécanique qui ne manque pas de personnalité…

« Business Montres » persiste et signe à propos du prix moyen des montres distinguées par le GPHG : certes, on a un peu abaissé la barre (289 000 francs suisses l’année dernière), mais le niveau atteint en 2018 reste démentiel – et certainement très dangereux pour la survie du Grand Prix…

Semaine d’actualités horlogères chargées, entre les ventes aux enchères et le Grand prix d’horlogerie, en attendant les statistiques horlogères qui se préparent, avec la pression qui monte autour du prochain SIHH et de la refondation de Baselworld – deux salons qui vivront en 2019 leur dernière édition sous la forme que nous leur connaissons...

Neuvième épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour portent visent à retremper les connaissances horlogères des primo-accédants à la culture horlogère – mais aussi de tous les amateurs…

Globalement, c’était bien cette édition 2018, et même très bien ! En y regardant de plus près, ce n’était pas si glorieux que ça et cette édition 2018 pose probablement plus de problèmes qu’elle n’en résout.

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire de continuer la discussion, voici une 101e séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

Détournons, détournons, il en restera toujours quelque chose : pour illustrer sans se prendre au sérieux une actualité horlogère tout ce qu’il y a de plus sérieuse, « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres et des marques. Certains de ces dessins détournés sont récupérés dans les pages quotidiennes de « Business Montres » – pourquoi ne pas les reproposer en accès libre ?

Pour cette session des enchères d’automne, tentons de parler de montres plus que d’argent. Prenons par exemple cette Rolex Day-Date. Elle est tout sauf banale : c’est pour ça qu’on aime les enchères de montres – quand elles font émerger des « licornes » horlogères.

Globalement, c’était bien, et même très bien ! En y regardant de plus près, ce n’était pas si glorieux que ça et cette édition 2018 pose probablement plus de problèmes qu’elle n’en résout.

Mais aussi l’art de faire compliqué en six rouages, le mariage de la nacre et de laque et les couleurs d’une « Pepsi » française… Ci-dessous : Une vision contemporaine et très accessible des codes ultra-classiques de la haute horlogerie…

À l’heure de publier cet article, les jurés ont tranché entre les montres présélectionnées et on n’encourt plus le soupçon de vouloir les manipuler en donnant quelques estimations sur les prix distribués ce soir…

L’éditorial de ce lundi est un peu long et riche, mais c’est une marchandise de saison forcément périssable. Date de péremption : la fin de la semaine – nous saurons alors si les jurés et la direction du Grand Prix d’horlogerie de Genève ont osé ou non un petit pas rupturiste qui préluderait aux grandes réformes en cours…

C’est reparti pour une nouvelle rentrée horlogère : le panier des produits de l’automne se garnit à vue d’œil. Avec l’automne 2018, voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions, une par jour de la semaine (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Hublot, HYT, Maurice Lacroix, MB&F, Mondaine, Parmigiani et Vacheron Constantin…