Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions conceptuelles (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une quatre-vingt-troisième séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux – en mettant cette fois un coup de projecteur sur les publicités de la manufacture Hamilton…

Histoire de détendre un peu l’atmosphère et de se décontracter entre les grands événements promotionnels de l’horlogerie, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. Avec un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…

« Johann au pays des hipsters » ? C’est annoncé comme le blockbuster du printemps 2018, mais on a quelques bonnes raisons de penser que le film pourrait quitter l’affiche avant d’avoir trouvé son public. Dix-huit mois de gestation et dix millions de budget pour accoucher de la nouvelle marque Baume (sans Mercier) : quelles sont les dix erreurs du groupe Richemont pour loucher sur les milléniaux et rêver de distribution en ligne ?

Maintenant qu’on a un nouveau cadre réglementaire et un nouveau jury, en attendant le palmarès final, il reste quand même beaucoup de détails à régler pour que la cérémonie du 9 novembre soit une réussite marquante…

Mais aussi la nouvelle marque qui voudrait bien convaincre les nouveaux amateurs, la montre suisse qui y met les formes, les cinq maillons qui enchaînent une céramique bicolore et une aiguille orange qui triple les fuseaux…Image ci-dessous : les yeux plus ronds que des ballons et une langue qui dribble avec la Lune, histoire de ne pas prendre le Mondial de foot au sérieux…

Il n’aura pas fallu moins de dix-huit mois de travail pour accoucher de la nouvelle marque Baume (sans Mercier), qui doit permettre au groupe Richemont de se risquer sur la distribution en ligne et de tenter une conversation avec les générations milléniales. On a déjà des doutes sur la réussite de l’opération…

Mais que s’est-il passé dans les coulisses de la session genevoise des enchères horlogères ? Pourquoi un tel torrent de méchancetés et de désinformations dans les conversations entre initiés ? Pourquoi ces soupçons de manipulations du marché par les spéculateurs ? Pourquoi ce basculement du marché accompagné d’un grand renversement des valeurs ? Examinons tout ça d’un peu plus près…

Inutile de se voiler la face : il n’y a pas des enchères horlogères à deux vitesses – Phillips sur la voie de gauche et les autres sur le bande d’arrêt d’urgence. Il y a les ventes aux enchères qui sont en phase avec les attentes des collectionneurs et les dispersions old school qui ne font plus recette. Un grand basculement est en cours : méditez les dix leçons données par Aurel Bacs ou attachez vos ceintures, parce que ça va secouer...

Histoire de détendre un peu l’atmosphère et de se décontracter entre deux rendez-vous à Bâle, amusons-nous avec quelques dessins détournés pour illustrer l’actualité horlogère. « Business Montres » vous propose chaque semaine une autre vision de la vie quotidienne des montres, en compagnie de ceux qui les font. Avec un autre regard sur la vie ordinaire des marques et de ceux qui les défont. À l’occasion, proposez-nous quelques images qui vous paraîtraient illustrer cette actualité…

M. l’actionnaire de référence du Kernault Richewatch Group (leader mondial des maîtres du temps) a une passion : tenir quotidiennement son journal intime pour y raconter son expérience du monde horloger. Il nous assure : « C’est sûr, je suis un peu largué. J’ai des doutes sur ce qu’on me raconte. Je me dis pourtant que, si je n’ai pas encore tout compris, c’est sans doute qu’on ne m’a pas bien tout expliqué »…

Inutile de se voiler la face : il n’y a pas des enchères horlogères à deux vitesses – Phillips sur la voie de gauche et les autres sur le bande d’arrêt d’urgence. Il y a les ventes aux enchères qui sont en phase avec les attentes des collectionneurs et les dispersions « old school » qui font de moins en moins recette. Un grand basculement est en cours : méditez les dix leçons données par Aurel Bacs ou attachez vos ceintures, parce que ça va secouer…

Quand on fait le plein à Baselworld, il faut du temps pour épuiser le réservoir : voici quelques nouveautés supplémentaires de ce printemps 2018. Avec des montres commentées du point de vue des marques, racontées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare sur les marchés. Sept propositions cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Longines, Manufacture royale, MeisterSinger, Mondaine, Traser, Ulysse Nardin et Zenith…

Inutile de se voiler la face : il n’y a pas des enchères horlogères à deux vitesses (Phillips sur la voie de gauche et les autres sur le bande d’arrêt d’urgence). Il y a, en fait, deux marchés pour les montres de collection, avec deux dynamiques divergentes : l’une qui aimante furieusement les millions, l’autre qui peine à les attirer. Un grand basculement est à l’œuvre entre les générations de collectionneurs.

Attention, signal fort : sous le marteau, à Monaco, 110 000 francs suisses pour la monoplace (F3) du grand champion Ronnie Peterson (1944-1978, dix victoires entre 1970 et 1978, année de son accident mortel au Grand Prix d’Italie). Mais 117 000 francs suisses pour un chronographe en or tout neuf dédié au champion – montre qui devient la TAG Heuer neuve la plus chère de ces dernières années…

« Magic Aurel », qui ne laisse jamais rien au hasard, avait posé un vrai ultimatum à ses concurrents : 32 Daytona qui étaient à la fois honorablement connues et dotées de tout ce qui peut séduire un collectionneur. Une fois de plus, on a explosé les compteurs et replacé la barre encore plus haut…