REPÉRAGES #42-2023 (accès libre)
Sept montres qui ne manquent pas d’aplomb pour prétendre séduire de nouveaux amateurs
Quarante-deuxième épisode de notre présentation des nouveautés d’un millésime 2023 qui s’annonce agité et compliqué : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie (vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bvlgari, Claude Meylan, F.P. Journe, Ice-Watch, IWC, March LA.B et Panerai…
MARCH LA.B Dandy Amiral (capsule)
Variation colorimétrique de cette année 2023, la « collection Amiral » combine le bleu soleillé de l’océan aux ors de la marine. Disponibles en Lady, et Dandy Mansart cette élégante association de couleurs est un passeport pour les soirées d’été. Embarquement imminent pour l’amirauté.
BVLGARI Octo Roma Precious Tourbillon
Les formes généreuses de l’Octo Roma peuvent aller de pair avec un grand nombre de complications, devenant une plate-forme idéale pour valoriser l’expertise de Haute Horlogerie de Bulgari. D’une esthétique percutante côté cadran jusqu’à la complexité d’une mécanique à l’œuvre, ces tourbillons sont les témoins vivants de l’excellence horlogère de Bulgari. Chaque modèle affiche fièrement ses propres caractéristiques, qu’il s’agisse d’un hypnotique mouvement à tourbillon ou de la délicatesse des détails du cadran. Les dimensions de la boîte octogonale de l’Octo Roma offrent suffisamment d’espace pour que chacun de ces chefs-d’œuvre techniques puisse resplendir. C’est une grande famille à l’italienne. Quatre tempéraments forts, distincts, uniques, mais liés par un battement identique. Ce rythme, ce cœur romain, bat à Neuchâtel. C’est là, auprès d’horlogers portés par la passion de la belle mécanique, que prennent vie quatre calibres qui résonnent à l’unisson du Tourbillon, élément central et commun de leur singularité horlogère. Trois d’entre eux sont volants, proposés au sein de pièces masculines de 44 mm. Elles se distinguent pour certaines par un container en saphir : toute leur carrure est ainsi parfaitement translucide, offrant une vision totale sur l’intimité de leur mouvement. Plus discrète avec un nouveau format de boîte de seulement 38 mm, l’Octo Roma Precious Tourbillon Lumière est la seule et très exclusive création pour femmes de la collection Octo Roma. Volutes et volumes, lumière et couleurs : la maestria du joaillier Bulgari joue ici à plein. Dépourvue de cadran, la pièce affiche un mouvement en or rose squelette évidé à l’image d’une dentelle. Une délicate minuterie de diamants, ponctuée toutes les cinq minutes d’un rubis, est parcourue par deux aiguilles centrales qui en reprennent la couleur. Le tourbillon, à 6h, semble plus suspendu que jamais dans le vide. La boîte est quant à elle entièrement pavée – lunette, carrure, cornes et couronne. Une création d’apparat pour un gala au crépuscule estival du Colisée...
IWC Ingenieur Automatic 40
IWC Schaffhausen présente l’Ingenieur Automatic 40 : ce nouveau modèle automatique reprend les codes esthétiques audacieux de l’Ingenieur SL Référence 1832 conçue par Gérald Genta dans les années 1970, tout en répondant aux critères les plus élevés en matière d’ergonomie, de finition et de technologie. La collection se compose de trois références en acier inoxydable et une en titane. L’Ingenieur Automatic 40 est entraînée par le calibre 32111 de manufacture IWC qui lui offre une réserve de marche de 120 heures. Étanches jusqu’à 10 bars, les nouveaux modèles sont équipés d’un boîtier interne en fer doux qui protège le mouvement des champs magnétiques : ces montres de sport sont ainsi extrêmement polyvalentes et parfaitement adaptées au XXIe siècle. Dans les années 1970, IWC Schaffhausen mandate Gérald Genta, célèbre designer horloger installé à Genève, pour revisiter l’Ingenieur, un modèle initialement introduit en 1955. Cette montre, alors dotée du premier mouvement automatique conçu à Schaffhausen et d’un boîtier interne en fer doux pour offrir une protection antimagnétique, avait marqué un tournant technique dans l’histoire d’IWC. En témoigne également son nom, Ingenieur, un terme utilisé en français comme en allemand. Avec sa signature artistique unique, Gérald Genta réussit à donner à l’Ingenieur une nouvelle identité visuelle extrêmement distinctive. Son Ingenieur SL, lancée en 1976 comme pièce maîtresse des montres de luxe en acier de la collection SL IWC, présentait des codes esthétiques audacieux : lunette vissée dotée de cinq perforations, cadran décoré d’un motif unique et bracelet intégré à maillons en H. Avec son design innovant et inédit, l’Ingenieur SL était en avance sur son temps. Aujourd’hui, la création de Gérald Genta est une pièce convoitée par les collectionneurs et l’un des modèles les plus prisés de l’histoire d’IWC.
L’ergonomie parfaite est garantie par son diamètre de 40 millimètres, ce qui assure un excellent confort même sur les poignets les plus fins. Si l’Ingenieur SL des années 1970 possédait des cornes en forme de nez, la nouvelle Ingenieur Automatic 40 est équipée d’une nouvelle fixation des maillons centraux. Cette nouvelle solution affiche une esthétique similaire à celle de l’Ingenieur SL tout en améliorant l’ergonomie et en offrant une meilleure tenue sur le poignet. Le cercle d’emboîtage incurvé contribue également à accroître l’ergonomie du boîtier. L’introduction de vis polygonales fonctionnelles sur la lunette représente l’un des changements les plus frappants. Sur l’Ingenieur SL, la lunette avec ses cinq perforations était vissée sur le cercle d’emboîtage. Les perforations se retrouvaient donc à différentes positions sur chaque montre. Sur l’Ingenieur Automatic 40, cinq vis fixent la lunette sur le boîtier. Ces vis ont désormais une fonction technique et occupent par conséquent toujours la même position. Le cadran présente par ailleurs une structure quadrillée distinctive, qui crée un équilibre avec le design technique et très sculptural du boîtier. Composé de fines lignes tracées à 90 degrés les unes des autres, le motif est estampé dans l’ébauche en fer doux avant d’être galvanisé. Enfin, des appliques luminescentes introduisent une profondeur supplémentaire et assurent une meilleure lisibilité, même dans l’obscurité. L’Ingenieur Automatic 40 présente un niveau exceptionnel de détails et de finitions. Le boîtier, la lunette et le bracelet arborent des finitions méticuleuses grâce à l’alternance de surfaces polies et satinées. Les parties supérieures du bracelet comportent des maillons fermés, sans barrettes, témoignant d'un remarquable savoir-faire. La boucle déployante papillon aux finitions parfaites fait pleinement ressortir la beauté et la finesse du bracelet à maillons en H. Le caractère sportif de la montre est par ailleurs souligné par une nouvelle protection de la couronne. L’Ingenieur Automatic 40 est entraînée par le calibre 32111 de manufacture IWC, doté d’un remontage à cliquets automatique et d’une réserve de marche de 120 heures. Conformément à la tradition de l’Ingenieur, un boîtier interne en fer doux protège efficacement le mouvement des champs magnétiques susceptibles d’affecter sa précision. Le boîtier est en outre étanche jusqu’à 10 bars, élevant l’Ingenieur Automatic 40 au rang des montres de sport modernes et extrêmement polyvalentes.
F.P. JOURNE FFC (heure digitale)
En prévision de la mise en production en toute petite série d’une montre inspirée du prototype FFC Blue, pièce unique pour Only Watch 2021, il semblait utile de revenir sur sa genèse et son affichage singulier du temps, rendu possible par une main dont les doigts s’animent au passage des heures. L’histoire de la naissance de la FFC Blue a quelque chose d’un conte de fées et mérite pour cette raison d’être encore racontée pour celles et ceux qui ne la connaissent pas. Elle a débuté en 2009 lorsque Madame Eleanor Coppola, l’épouse de Francis Ford Coppola, offrit à son illustre cinéaste de mari le Chronomètre à Résonance qu’elle trouvait chic et esthétique. Ravi du cadeau, il faisait immédiatement parvenir à son créateur une invitation à venir le rencontrer dans son domaine viticole « Inglenook », sur ses terres de la Napa Valley. Lors de leur rencontre en 2012, ils abordèrent ensemble les différents principes de représentation du temps qui passe et le cinéaste demanda s’il avait déjà été envisagé par un horloger de faire s’afficher les heures à la façon qu’avaient les anciens de la donner en les comptant sur les doigts. L’idée d’égrainer les 12 chiffres des heures à l’aide de 5 doigts avait interpelé François-Paul qui, en 2014, eut envie de relever le défi de parvenir à inventer une main animée capable de la présenter de pareille façon. Motivé, il se lançait la même année dans le prototypage de la montre FFC Blue qui devait être mise en vente pour Only Watch 2021. Après avoir trouvé avec Francis Ford Coppola comment égrainer les 12 chiffres des heures avec une seule main et 5 doigts, François-Paul s’est mis en tête de concevoir un mécanisme capable de retranscrire convenablement ces chiffres transmués en signes digitaux. Pour éviter de sombrer dans le naturalisme, cet artiste que l’on sait passionné d’histoire comme l’un de ses fils dont c’est le métier aujourd’hui, fit le choix de s’inspirer d’un ancien dessin de prothèse réalisé par le célèbre barbier-chirurgien français Ambroise Paré (1509/1510-1590). Pour ceux qui ne le savent pas, il est celui à qui l’on doit, grâce à sa compétence et sa compréhension du corps humain, d’avoir fait d’incontestables avancées en médecine. Cette main mécanisée que l’on retrouve sur la face avant de la FFC Blue est inspirée de celle pensée par ce médecin de la Renaissance. Initialement pensée en bronze par son inventeur, celle destinée à la montre a été réalisée en titane gravé car il fallait réduire le poids des composants en mouvement afin que ceux-ci n’aient pas d’incidence sur la consommation énergétique du calibre, l’Octa 1300 lancé par la Manufacture F.P.Journe en 2001. Car, comme le soulignait François-Paul à ce sujet, « le plus important en horlogerie c’est ce qui se voit le moins. Dans le cas présent, il s’agissait de parvenir à faire agir cinq doigts avec le minimum d’efforts ».
Pour parvenir à n’utiliser comme énergie que celle en provenancedu barillet assurant une réserve de marche de 5 jours à la pièce, le choix a été fait d’installer un remontoir d’égalité entre le train de rouage primaire et l’affichage comme cela se fait dans les pendules d’édifices quand les aiguilles à faire se mouvoir sont longues et lourdes. Toutes les heures et durant 40 minutes, le remontoir d’égalité formé d’une lame ressort enfermée dans une « ruche ouverte », d’un déclencheur et d’une sorte d’ancre montée d’un côté sur une roue munie en son centre d’un excentrique, est réarmé par le mouvement. À l’heure juste, le mécanisme, décrit par François-Paul comme une sorte d’échappement agissant une fois par heure, est libéré afin que l’énergie accumulée en provenance du barillet principal puisse, par l’entremise de cette fourchette agissant tangentiellement, mettre en mouvement la série des 10 cames qui ont pour objet de piloter le mouvement des doigts de la main. Placées sur le côté gauche et visibles entre l’anneau des minutes rotatif monté sur grand roulement à billes extra-plat avec un curseur fixe placé à midi, elles effectuent un tour en 12 heures et actionnent chacune une série de ressorts et de bascules agissant sur la montée, la descente des 4 doigts, mais également la translation du pouce. La forme des cames, associée à la denture de chacune, agit sur les doigts qui sont montés sur une élingue d’acier et qui se déplacent alors, pratiquement sans frottement, à la façon d’une navette de métier à tisser. Grâce à cet ingénieux système, l’énergie nécessaire pour actionner un doigt, quatre doigts entre 5 et 6 heures ainsi qu’entre 9 et 10 heures, est toujours la même et calibrée pour que cela se fasse en toute sécurité et surtout, sans incidence sur la chronométrie du groupe de régulation.
À force d’un travail de miniaturisation poussé à son extrême et de sept ans d’un labeur incessant passé à fiabiliser l’ensemble, le maître, soutenu par les compétences réunies au sein de sa manufacture, est parvenu à intégrer tous les composants du calibre automatique et cet étonnant mobile anthropomorphe dans un boîtier de 42 mm de diamètre en Platine pour seulement 10,7 mm d’épaisseur. Résultat, et malgré la complexité de l’ensemble, cette montre n’est pas plus épaisse qu’un modèle équipé du même mouvement. Pour parvenir à pareil exploit, François-Paul a supprimé le cadran et remplacé l’aiguille des minutes, qu’il était inenvisageable d’utiliser de façon traditionnelle, par un an- neau rotatif monté sur un grand roulement à billes extra-plat, comme il l’a fait pour le calendrier perpétuel de l’Astronomic Souveraine. Cette modification a permis de gagner les quelques millimètres nécessaires au placement de la main articulée sculptée par une maître-graveur. Alors au final, qu’apporte cette pièce d’horlogerie de haute volée en plus de son affichage original? Elle apporte la preuve que la meilleure façon de confectionner une montre compliquée est de réfléchir aux économies d’énergie à réaliser pour parvenir à la faire fonctionner sans avoir à en ajouter. Comme le dit François-Paul, l’horloger doit avoir la main légère lorsqu’il conçoit un mouvement. Au final, le calibre de l’Octa est parfait pour cette approche car il dispose d’une force et d’un couple constants et linéaires durant 5 jours. En optimisant les frottements et n’utilisant que la partie la plus lisse du ressort, on retrouve du couple très linéaire qui permet d’ajouter des fonctions sans avoir peur que tout s’arrête. La preuve !
CLAUDE MEYLAN Retour aux alpages
Innombrables. Les expressions françaises intimement liées à l’univers de la vache sont innombrables : « oh la vache ! », « une vacherie », « vachement bien » ou encore l’expression chère aux pilotes, « se vacher », décrivant un atterrissage en rase campagne. But wait... holy cow ! Y’a-t-il autant d’expressions en langue anglaise ? Nul ne sait vraiment d’où elles viennent. Elles traduisent probablement notre attachement à cet animal qui partage notre quotidien depuis la nuit des temps. Il fait partie de nos vies et du paysage – et particulièrement des alpages suisses. En Valais, certaines vaches sont même promues au rang de Reine ! C’est à cet animal devenu symbole que rend aujourd’hui hommage Claude Meylan. La marque, 100% indépendante, revendique son ancrage rural, son patrimoine. Sise à L’Abbaye, elle demeure en prise directe avec l’imagerie populaire de la vache. Populaire ? Le mot est parfois malvenu en horlogerie, requalifiée Haute Horlogerie. Pour Claude Meylan, ce serait pourtant un contresens que de déconnecter l’horlogerie de son terroir, de ses alpages, de ses racines. Les premiers horlogers ne furent autres que d’honnêtes paysans occupant leurs longues soirées hivernales à la confection de composants horlogers. Nous n’étions pas encore au temps des manufactures, mais de l’établissage. En ce temps-là, le paysan-horloger était le premier artisan d’une longue chaîne qui aboutissait à la création de garde-temps du Jura. Là où Claude Meylan est toujours implantée. Mais le respect de l’histoire est une chose, sa révérence en est une autre. Et Claude Meylan a toujours revendiqué sa liberté créative ! Sa nouvelle création en est la preuve. Cette vache, qui occupe la majorité du cadran, a l’œil malicieux. À ses sabots, une coccinelle joue dans les herbes folles de son pré. En décor, les Alpes. Une saynète rurale, authentique, ludique mais non moins technique. Tout le décor est sculpté en relief, puis peint de couleurs vives. Ici, aucun rappel d’une carte postale sépia surannée : c’est un cliché pittoresque moderne et gai ! À 3h, un mouvement mécanique automatique Swiss Made. Il rappelle cette longue histoire du paysan-horloger, dont Claude Meylan lui-même faisait partie. Deux siècles plus tard, on retrouve les mêmes rouages, le même savoir-faire, la même passion de la belle mécanique. Ces précurseurs d’antan ont aujourd’hui disparu. Mais Claude Meylan est toujours là. Sa vache aussi !
PANERAI Radiomir Quaranta Goldtech
Le Radiomir de Guido Panerai a révolutionné les instruments de haute précision grâce à sa substance à base de radium luminescente brevetée en 1916. Bien que ses origines remontent à plus d'un siècle, elles ne seront dévoilées publiquement qu'en 1997. Aujourd'hui, Panerai rend un hommage fidèle à ces origines avec la PAM01026. Cette montre est dotée d'un boîtier Goldtech épuré, d'un cadran blanc satiné soleil et d'un élégant bracelet en alligator brun mat. L'innovant Panerai Goldtech est un matériau doré, comprenant un mélange de platine et de cuivre, qui offre une couleur rouge splendide.
ICE-WATCH Ice Chrono
Un chrono, « les hommes savent pourquoi... » : look sportif, dynamisme, précision musclée. Et s’il leur permettait aussi de dompter le temps de façon plus écoresponsable ? Après le succès de l’ICE solar power sans piles, Ice-Watch continue de surfer sur la vague verte du changement en repensant la plus masculine des montres. Tonique et technique : la nouvelle collection ICE chrono offre une réponse virile aux aspirations écologiques actuelles. Chaque modèle, bodybuildé en taille L ou XL, possède un boîtier en Biopoly. Une matière composite inédite remplaçant pour moitié le plastique habituel ! Le Biopoly est issu de la polymérisation de l’huile de graines de ricin et d’un alliage polyamide-nylon. Ses ingrédients biosourcés et renouvelables lui assurent des qualités idéales pour une montre sportive : légèreté, résistance, vivacité des couleurs. Le fond des boîtiers, toujours en acier, garantit une étanchéité de 10 ATM. Les nouvelles montres de la collection ICE chrono relient l’exigence croissante d’écoresponsabilité aux valeurs emblématiques d’Ice-Watch. L’optimisme et la bonne humeur. Les bracelets, en silicone lisse ou texturé, sanglent le poignet de leurs énergiques jeux chromatiques. Ice-Watch s’emballe, de plus en plus, pour le respect de l’environnement. L’écrin des ICE chrono a donc, lui aussi, été repensé. Compact, fonctionnel, design : ce cube « made in Belgium » est le fruit d’une collaboration avec une entreprise locale de Bastogne. Façonné exclusivement en polystyrène recyclé, il a néanmoins le chic d’être bicolore, lisse et mat, pratique et tactile. De quoi donner envie de le collectionner... Donner l’heure à la planète entière implique de la protéger. Marque belgo- mondiale, Ice-Watch poursuit ses engagements envers elle grâce aux nouvelles technologies et matières. Il s’agit, en fait, de la suite « éco-logique » d’une évolution déjà bien enclenchée. Depuis plusieurs années, le fondateur et CEO Jean-Pierre Lutgen vise à réduire les impacts : logistique, supply chain, expéditions maritimes, locaux énergétiquement indépendants, culture d’entreprise.