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REPÉRAGES #32-2025 (accès libre)
Sept critiques argumentées de sept nouveautés qui bousculent nos carpo-habitudes routinières

En toute transparence, avant d’être commentées et appréciées, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le trente-deuxième épisode de notre panorama des nouveautés de l’année 2025, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Fossil, Hermès, Junghans, Louis Érard, Vague Watch Co., Versace et Vulcain…


Cette chronique vise à vous signaler quelques nouveautés parmi toutes celles qui affluent dans les vitrines horlogères : c’est, à ce jour, la plus complète des recensions que proposent les médias spécialisés, avec un peu plus de 2 100 pièces présentées chaque année. Soit, en moyenne, à peu près cinq nouveautés proposées par jour du calendrier : c’est exceptionnel – et même unique dans le paysage horloger ! Ces nouvelles montres sont commentées une par une : nous ajoutons à ces présentations des évaluations personnelles critiques, forcément subjectives et généralement pas complaisantes, mais toujours sincères, en bref, en vrac et toujours en toute liberté. Dans le formidable tsunami des nouveautés horlogères, cette sélection est déjà, en soi, une élimination du pire ou de l’insignifiant : il ne faut donc pas s’étonner que le meilleur y soit commenté plutôt positivement. Tout le monde l’aura compris : les absents ont toujours tort !

VULCAIN Skindiver Chronograph

En 2023, Vulcain remettait au goût du jour sa fameuse Skindiver Nautique, un modèle de plongeuse iconique des années 1960. Ce qu’on ignorait c ’est que la Manufacture locloise, avait également développé la version Chronographe. Et c ’est toujours grâce à la curiosité de Guillaume Laidet, en charge du développement des collections Vulcain depuis 2022, que cette pépite est sortie des archives Vulcain pour le plus grand plaisir des collectionneurs. Quand on évoque Vulcain, généralement la première chose qui vient à l’esprit est la Cricket. Pourtant, Vulcain est riche de ses « gloires du passé » qui continuent à faire vibrer la fibre nostalgique qui sommeille en chacund’entre nous. La Skindiver Chronograph, fait partie du patrimoine des grandes plongeuses que la marque a développé dans les années 60 et qui restent aujourd’hui des « légendes ». On pense tout de suite à laNautical, la première montre-réveil de plongée dotée d’un cadran avec indication des paliers de décompression et étanche à 300 mètres.

La nouvelle réédition de la Skindiver Chronograph est animée par un mouvement mécanique ETA 7753. Son look résolument vintage suffit à faire de cette montre de plongée une concurrente de taille dans le paysage des plongeuses d’antan rééditées. La Skindiver Chronograph possède tous les attributs d'un modèle de plongée, comme en attestent les index et aiguilles Super-LumiNova ultra lisibles, blancs ou colorés brun et la lunette cannelée bidirectionnelle avec son insert en céramique noire. Dotée d’un boitier en acier de 39,7 mm, la pièce est étanche à 200 m. On retrouve aussi une échelle décimale, moins courante et peu utilisée aujourd’hui. La minute est divisée en 100 centièmes de minutes au lieu des 60 secondes afin de mesurer et écrire le temps en valeur décimales et ainsi rendre les calculs plus pratiques. Les fonctions du chronographe sont bien mises en valeur avec un sous- cadran des secondes à 9 heures et un compteur 30 minutes à 3 heures qui attire l’œil avec son détail rouge ou orange selon les versions. Quant à l’échelle tachymétrique sur le pourtour du cadran, elle souligne le caractère sportif de la montre, renforcé par la gravure du fond de boîte avec son plongeur en exploration.

UN COMMENTAIRE ? Comme toujours avec Guillaume Laidet, l’affaire de cette réédition est rondement menée, avec la bonne taille (39,7 mm) et les bons détails qui font mouche (étanchéité à 200 m, options blanc/noir pour le cadran, lunette céramique, mouvement automatique suisse irréprochable, original bracelet métallique intégré), sans oublier cette échelle décimale dont plus personne n’a l’usage, surtout sur une montre de plongée, mais qui assure à la montre une identité exclusive. Comptez un peu moins de 3 000 euros avec le bracelet en acier (2 700 euros sur cuir)…

VAGUE WATCH CO. x TakahiroMiyashita The Soloist Coussin Beginning Black (Chez Maman)

Paris, Milan, New York, Londres… Le designer Takahiro Miyashita, installé à Tokyo, a profondément marqué l’univers de la mode. Sa marque « TakahiroMiyashita The SoloIst » est désormais célébrée avec le lancement d’une nouvelle montre sous l’égide de Vague Watch Co, la première en plusieurs saisons. Cette montre incarne une réinterprétation moderne du modèle « coussin », lancé par Vague Watch Co il y a dix ans. Elle se distingue par son design audacieux, alliant l'élégance du bracelet et l'intemporalité du style, convenant à la fois aux hommes et aux femmes. Nous avons le plaisir de vous inviter à découvrir la vision de Miyashita sur une montre-bracelet classique centenaire, méticuleusement reconstruite pour l'ère actuelle, disponible dès aujourd'hui en quantités limitées en ligne (chezmaman.com) et à notre boutique Chez Maman, 4 rue Tiquetonne, 75002 Paris.

UN COMMENTAIRE ? On baigne ici dans une sympathique rétronostalgie, qui reprend l’esthétique des boîtiers « coussins », mais avec un cadran basculé et une couronne logiquement déportée (comptez un peu moins de 360 euros pour ce plaisir égoïste, proposé dans un boîtier en acier de 35 mm animé par un mouvement électronique, japonais comme il se doit). L’étanchéité à 50 m et le bracelet métallique à l’ancienne devraient permettre quelques ébats sportifs…

JUNGHANS Mega Futura

Avec la Mega 1, Junghans a présenté en 1990 la première montre-bracelet radio-pilotée du monde. On célèbre l‘anniversaire de 2025 avec des éditions limitées de montres radio-pilotées. Quelle année ! En 1990, Marty McFly retourne pour la troisième fois dans le futur au volant de sa De Lorean DMC-12, l‘équipe nationale allemande de football devient championne du monde à Rome, les deux États allemands n‘en forment plus qu‘un. Et, à Schramberg, on a présenté une révolution dans la technique de chronométrage : la Mega 1. C‘était la première montre-bracelet radio-pilotée du monde - et donc le garde- temps portable le plus précis de tous les temps. Cela n‘a pas changé jusqu‘à aujourd‘hui : aucune montre n‘est plus précise qu‘une Mega de Schramberg. Non seulement la technologie, mais aussi le design du Mega 1 incarnaient l‘avant-garde. L‘agence frog design, dirigée par l‘Allemand Hartmut Esslinger, qui a créé de nombreuses icônes dudesign, en est responsable. L‘anniversaire d‘une montre aussi exceptionnelle se doit d‘être célébré comme il se doit - et ce avec toute une série de modèles en édition limitée qui célèbrent leurs modèles classiques.

Junghans remonte désormais aussi dans le temps - avec une montre qui porte déjà le futur dans son nom. La Mega Futura a été lancée à l‘occasion du 150e anniversaire de la fabrique de montresJunghans en 2011. Sa forme reconnaissable entre toutes prend pourmodèle la Mega 1, tout en la réinterprétant complètement. Les designers de Junghans reprennent l‘idée d‘une forme de base asymétrique avec un flanc rond et un flanc droit, mais la saillie sur le flanc gauche apparaît d’une manière nettement plus marquée. En tant que réinterprétation de la Mega 1, elle allie un design futuriste, la précision de la technologie radio et la haute technologie made in Germany. L‘accent mis sur l‘essentiel se manifeste également dans l‘affichage numérique de l‘heure et de la date. Elle renonce délibérément aux zéros, qui n‘ont aucune pertinence pour l‘information temporelle. Trois variantes strictement limitées de la Mega Futura devraient ravir les fans de design et de technologie horlogère. Deux prennent le départ avec des boîtiers en acier inoxydable brossé mat, au choix avec un écran gris clair ou noir (modèle limité à 80 exemplaires). La troisième Mega Futura est dotée d‘un boîtier en acier inoxydable revêtu de PVD noir, d‘un écran noir et de chiffres verts. Elle est également limitée à 80 exemplaires. Les trois montres sont portées sur un bracelet en cuir noir.Le mouvement radio-piloté à multi-fréquences J604.90, développé et fabriqué à Schramberg, sert d‘entraînement. Outre l‘heure - au choix au format 12 ou 24 heures - la montre indique également la semaine calendaire ainsi que le jour et la date. En fait, ce mouvement dispose d‘un calendrier perpétuel, mais celui-ci est externalisé dans l‘horloge atomique de la Physikalisch Technischen Bundesanstalt. Celle-ci diffuse sa base de temps via l‘émetteur radio DCF-77 de Mainflingen, près de Francfort, dont la portée couvre presque toute l‘Europe. Grâce à ce signal, l‘horloge radio-pilotée synchronise son affichage au moins une fois par jour avec la base de temps. En plus du DCF-77, la Mega Futura reçoit également les signaux de l‘émetteur américain WWVB et des deux émetteurs horaires japonais JJY40 et JJY60. La Mega Futura combine un look rétro, une technologie de pointe et un confort contemporain. Et ce n‘est pas fini. Deux autres modèles spéciaux en édition limitée de la Mega seront présentés cette année. Ces montres sont aussi tout simplement Mega.

UN COMMENTAIRE ? Avec un boîtier asymétrique en acier ou revêtu de PVD (38,5 mm x 44 mm) et son affichage numérique du temps qui passe, cette Mega Futura affiche un immanquable et inimitable style avant-gardiste (comptez entre 600 et 700 euros selon les versions de ces trois séries limitées à 80 pièces). La réédition de cette Futura pourrait bien marquer l’amorce d’un retour du balancier vers des montres moins intégristement mécaniques que depuis ces deux ou trois dernières décennies : une revanche du quartz horloger, que l’émergence des montres connectées avait semblé définitivement condamner ? En tout cas, une résurrection par le design…

VERSACE Chrono X

La collection 2024-2025 de Versace Watches partage les riches codes de conception des collections de mode de la Maison.L'architecture d'une robe Versace ou d'un costume sur mesure se reflète dans l'impact structurel d'un cadran ou d'un bracelet de montre.Le choc énergique des styles classiques et contemporains se traduit par l'introduction de nouvelles formes innovantes élaborées avec des détails artisanaux intemporels. La Méduse et la Greca, codes emblématiques de la Maison, sont utilisés dans toute la collection de manière complexe et surprenante. La Méduse et la Greca, codes iconiques de la Maison, sont utilisés dans la collection de manière complexe et surprenante, donnant à chaque garde-temps sa touche d'attitude Versace. La nouvelle montre Versace Chrono X est une fusion de sport et de sophistication et s'affirme comme un élément clé de la collection automne-hiver 2024 de Versace. Un mouvement Chrono Quartz suisse précis est au cœur du design et fait de ce garde-temps une véritable pièce d'exception, qui met véritablement en valeur et célèbre l'artisanat complexe des montres fabriquées en Suisse à travers un style Versace inimitable. La montre présente le motif Greca emblématique de la Maison, qui orne la lunette et la Méduse sur la couronne. Le logo Versace se trouve à 12h. Le bracelet en acier inoxydable renforce la nature percutante du design, tandis que les options avec des bracelets en PU recyclé sont plus sportives.2024.

UN COMMENTAIRE ? Un chronographe viril [donc susceptible de plaire aux femmes de caractère], mais néanmoins très influencé par l’esprit de la mode Versace, avc tout ce que cela peut comporter de « grecque » et de Méduse : comptez dans les 1 300 euros pour cette montre Swiss Made d’inspiration sport chic, revue et corrigée par une touche italienne (boîtier en acier doré de 44 mm étanche à 50 m et mouvement électronique suisse)…

HERMÈS Arceau L’heure de la lune Vesta

La montre Arceau L’heure de la lune, dévoilée en 2019, est proposée en trois nouvelles versions présentées dans un coffret en édition limitée de douze pièces. Les compteurs mobiles, affichant l’heure et la date, gravitent sur le cadran en 59 jours, dévoilant progressivement les disques de la lune. Ce ballet céleste est orchestré par un module exclusif Hermès de 117 composants, intégrant un affichage simultané des phases de lune pour les hémisphères Nord et Sud. Un Pégase, issu du motif Pleine Lune de Dimitri Rybaltchenko, orne l’une des lunes de chacun des modèles, clin d’œil à l’univers de la maison. Ces trois propositions arborent des looks bicolores avec des boîtiers et des cornes réalisés dans des matériaux différents et des index assortis à leurs cadrans. Au sein de chacune, une météorite prend place au cœur de la montre. Pour la première, en or blanc et titane bleu, la pierre lunaire donne vie au cadran. La deuxième, en or rose et titane, s’orne d’un cadran composé d’un fragment de l’un des plus gros astéroïdes connus : Vesta. La troisième version, en or blanc et or rose, se pare d’un fragment de métérorite Erg Chech, une roche magmatique témoin d’un corps céleste aujourd’hui disparu. Chacune de ces pièces s’assortit d’un bracelet en alligator mat réalisé selon les savoir-faire maroquiniers de la maison : bleu abysse pour la version or blanc et titane bleu, graphite pour les deux autres.

UN COMMENTAIRE ? Plutôt spectaculaire, cette montre cosmique Swiss Made nous convie à un concert silencieux de « musique des sphères » (comptez autour de 36 000 euros pour ce boîtier en or blanc de 43 mm, étanche à 30 m et doté d’un mouvement automatique qui affiche affichage des phases de lune vues depuis les hémisphères Nord et Sud de la Terre). Malheureusement pour ceux qui seraient tentés, il semblerait que cette série limitée de 12 pièces (proposée en coffret de trois montres) soit déjà épuisée…

LOUIS ÉRARD Le régulateur gravé bleu

Louis Erard présente une nouvelle pièce emblématique de sa collection permanente : le Régulateur Gravé, une montre qui intègre la gamme Noirmont Métiers d'Art. Avec cette création, la marque revisite un archétype horloger classique, le cadran sectoriel, tout en s’appuyant sur des techniques de gravure traditionnelles. En introduisant ce modèle non limité, Louis Erard renforce son identité unique, fondée sur la créativité et l'héritage horloger, tout en respectant l'esprit indépendant qui anime la maison depuis ses débuts. Louis Erard réaffirme son identité à travers deux collections majeures : Noirmont, qui remplace Excellence, et 2300, succédant à La Sportive. La collection Noirmont s’articule autour de trois axes : le modèle classique Noirmont, Noirmont Métiers d’Art, et Noirmont X pour les collaborations. Le Régulateur Gravé, pièce maîtresse de la ligne Métiers d’Art, s’intègre désormais dans la collection permanente, marquant une étape importante pour la marque. La montre affiche le design caractéristique du Régulateur avec un agencement vertical des indications temporelles. Inspirée du cadran sectoriel des années 1930, Louis Erard l’actualise en y intégrant une technique horlogère séculaire : la gravure. Fidèle à sa philosophie, la marque fait de l’horlogerie un terrain d’expression artistique où la seule contrainte est de ne jamais s’enfermer dans les conventions, sauf celles qui définissent son identité. Inspiration : réinterprétation du cadran sectoriel. Technique : gravure traditionnelle. Collection permanente : le Régulateur Gravé rejoint la gamme Métiers d’Art aux côtés du Petite Seconde Guilloché. Nom de la collection : Noirmont, en hommage à la région qui héberge la marque depuis 1992. Signatures identitaires : aiguilles et couronne « Sapin », un style minimaliste en ligne avec l'approche de Louis Erard « Less is More, More is Less ».

Le Régulateur Gravé illustre parfaitement la « Napkin Strategy » de Manuel Emch : une horlogerie qui s’inspire des traditions tout en se réinventant avec audace. Cette approche repose sur des codes visuels forts et une liberté créative totale, le tout ancré dans le riche héritage de la marque. Avec Noirmont et 2300, Louis Erard redéfinit ses collections pour refléter son essence et son indépendance. Le cadran sectoriel, emblématique de l’horlogerie des années 1930, est ici revisité par Louis Erard pour la première fois. Sur un cadran à la finition grenée fine, la gravure crée un jeu de reliefs subtils grâce à un traitement galvanique brillant. Cette précision technique et esthétique met en avant les éléments clés : segmentation du temps, lisibilité optimisée, cercles concentriques et chemin de fer. Le design, fidèle à l’esprit « neovintage », capture l'essence du passé tout en affirmant une modernité unique, propre à Louis Erard. Le choix du nom de la collection – Noirmont – n’est pas anodin. Il reflète l’âme de la marque, ancrée dans cette région du Jura suisse depuis 1992. Plus qu’une simple appellation géographique, Noirmont symbolise aussi l'inspiration derrière les aiguilles et la couronne « Sapin », des éléments profondément liés à l’identité de Louis Erard. Le Régulateur Gravé Bleu se présente en version 39 mm, avec un boîtier en acier poli et des détails rhodiés. Son cadran bleu à finition grenée, ponctué d’aiguilles sapin et d’indications minimalistes, offre une lecture épurée du temps. Le mouvement automatique Sellita SW266-1 anime cette pièce raffinée

UN COMMENTAIRE ? Inspiration néo-classique, exécution contemporaine dans une style minimaliste souligné par la géométrie du régulateur – soit une vraie complexité graphique dans la simplicité esthétique : du grand art à prix accessible (comptez dans les 3 000 euros hors taxes pour ce boîtier en acier de 39 mm étanche à 50 m, dont le mouvement automatique dispose de 38 heures de réserve de marche). La marque indépendante Louis Érard se sent assez sûre d’elle pour se passer du moindre logo : c’est la grande classe. On rêve d’un bracelet métallique assortie à la sobriété expressive des lignes de cette montre très séduisante par sa volonté d’en dire beaucoup avec une grande économie de moyens…

FOSSIL bague-montre deux aiguilles

Quand donner l’heure devient un véritable symbole d’élégance et un cadeau par excellence. Laissez-vous séduire par l’un de nos accessoires les plus prisés. C’est une montre. C’est une bague. C’est une nouveauté qui ne vous quittera plus. Avec un cadran en malachitevéritable, des index faciles à lire et un anneau flexible qui s’adapte à tous les doigts, ce modèle prouve que les plus beaux cadeaux sont toujours présentés dans de petits écrins.

UN COMMENTAIRE ? La « bague montre » signée Fossil est un concept très remarqué au récent salon Inhorgenta (Munich) : à mi-chemin entre la montre et la chevalière, c’est une conversation piece qui attire l’attention et provoque la curiosité par son allure à la fois classique et décalé (comptez 149 euros pour ce boîtier en acier doré de 15 mm équipé d’un mini-mouvement électronique – le tout étanche à 50 m). 

COORDINATION ÉDITORIALE : JACQUES PONS



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