Dans sa divine clairvoyance, le Seigneur des Anneaux se range du côté de l’horlogerie traditionnelle : contre les montres connectées qui ont éjecté nos montres suisses des poignets, il vient de lancer un nouvel anneau magique, qui nous permettra de porter à nouveau des montres « normales » au poignet…

168e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Cvstos x Label Noir, Casio G-Shock, Merci, Ochs und Junior, Piaget, Sinn et Union Glashütte…

Le Watch Comedy Club a cédé la place à cette chronique « Horlotainement » qui pourrait se traduire par quelque chose comme « horlodivertissement ». Toujours avec une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme, il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au légendaire maréchal de France Hubert Lyautey (1854-1934) pour la citation de ses « Paroles d’action » qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Il ne voulait pas tout en le voulant très fort, mais c’était pour ne pas désespérer ses copains d’un groupe où on n’arrêtait pas de mettre des bâtons dans les roues de ses (très) hautes ambitions. Le suspense est terminé : il changera bientôt et de fauteuil, et de format industriel, mais n’a-t-il pas eu les yeux plus gros que le ventre ? Imbibé d'une « culture groupe » réputée toxique, réussira-t-il à piloter un paquebot indépendant trois fois plus grand que le petit croiseur qu’il venait de relancer ? Winter is coming…

Selon l’excellent Sylvain Tesson, « les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». On va donc vous parler, encore et entre autres, d’une signature, du mercato, des statistiques qui ne mentent pas sans dire la vérité ou de croisières – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous.

Ça y est, c’est pour cette nuit à 22:50 (heure suisse) : la nuit qui envahissait progressivement nos paysages va reculer et une nouvelle année va commencer – pour le meilleur ou pour le pire ? Ce sera le retour de la lumière, les journées vont progressivement rallonger et la vie reprendre son cours. Bonnes fêtes de fin d’année à tous nos amis qui se réjouissent de cette relance des illuminations du monde : les chrétiens qui vont fêter Noël, les juifs qui fêtent en ce moment Hanouka et tous les autres, notamment les « païens » qui célèbrent cette victoire du soleil en se réchauffant au Sol Invictus. Joyeux solstice à tout le monde ! Une seule promesse : accrochez vos ceintures, parce que ça va secouer en 2023 !

Troisième et dernière séquence de notre série sur les plantages millésimés 2022 : « Ramasser une gamelle », d’après le « Trésor de la langue française », autorité académique suprême en matière de langue française, c’est « tomber, subir un échec ». C’est exactement ce dont nous aimerions parler. Quels brouets va-t-on déguster dans ces gamelles 2022 ?

167e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Ba111od, Chronoswiss, Ducrest-Emmenegger, Raketa, Romain Gauthier et Sinn…

Le Watch Comedy Club a cédé la place à cette chronique « Horlotainement » qui pourrait se traduire par quelque chose comme « horlodivertissement ». Toujours avec une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme, il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au définitif Paul Valéry (1888-1945) pour la citation de ses « Moralités » qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

On va vous parler, encore et entre autres, des vrais codes du luxe, d’une vraie lacune désirable et accessible, des vrais gagnants du week-end et des vrais chiffres de vente chez Swatch – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. Ce n’est qu’un bloc-notes, dont l’excellent Sylvain Tesson nous explique avec bonheur : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ».

Deuxième séquence : « Ramasser une gamelle », d’après le « Trésor de la langue française », autorité académique suprême en matière de langue française, c’est « tomber, subir un échec ». Au figuré, un langage légèrement argotique y détectera un synonyme d’échec. C’est exactement ce dont nous aimerions parler. Quelles rations trouve-t-on dans nos gamelles 2022 ?

« Ramasser une gamelle » : d’après le « Trésor de la langue française », autorité académique suprême en matière de langue française, c’est « tomber, subir un échec ». Au figuré, un langage légèrement argotique y détectera un synonyme d’échec. C’est exactement ce dont nous aimerions parler. Quelles rations trouve-t-on dans nos gamelles 2022 ?

166e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Breguet, Breitling, Festina, Jacques Bianchi, Montblanc, Panerai et Roger Dubuis…

Après 300 séquences (soit environ 3 000 images piratées ou détournées dans une logique « situationniste », le Watch Comedy Club cède la place à une chronique « Horlotainement » qui pourrait se traduire par quelque chose comme « horlodivertissement ». Toujours avec une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme, il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger… Merci au regretté Paul Bocuse (1926-2018) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi le bronze néo-vintage en mode chic, la double couronne d’une icône méconnue, les trois couleurs des douze décennies et la dernière descente sur la Lune… Images ci-dessous : un tourbillon accessible qui sait casser les codes (Ba111od)…