• LE SNIPER DU LUNDI
    Faute de diamants « russes », les montres serties vont devoir s’offrir des diamants pas très nets et pas clairement tracés

    Le luxe horloger européen et la joaillerie occidentale ne peuvent plus s’importer en Russie, qui ne pourra plus, de son côté, fournir aux marchés les quintaux de diamants qu’elle exportait. Tout le monde y perd, personne n’y gagne : une nouvelle victoire de Gribouille qui ne crée pas la moindre avancée pour la paix en Ukraine…

  • « NOTRE-DAME BRÛLE »
    La caméra de Jean-Jacques Annaud explore le temps

    L’événement a sidéré le monde entier, mais ce film magnifique nous crucifie à l’intersection précise de deux échelles de temps : une plongée verticale dans 86 décennies de mémoire patrimoniale et une course horizontale pendant les 86 minutes qui ont failli détruire totalement Notre-Dame-de-Paris. « Business Montres » a pu s’en expliquer avec Jean-Jacques Annaud et lui parler de ce film puissamment identitaire qui nous réinscrit dans les rouages du temps…

  • SÉANCE DE RATTRAPAGE semaine 10-2022 (accès libre)
    Une semaine d’actualités horlogères ébranlées par le retour de la guerre en Europe

    Nous nous acheminons à présent vers la fin du premier trimestre 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020 – sauf que la guerre remet en cause toutes les prévisions. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines de février, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

  • REPÉRAGES #23-2022 (accès libre)
    Sept montres qui ont choisi de ne pas donner la même heure que tout le monde

    Vingt-troisième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du point de vue des marques et elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Aerowatch, ArtyA, Casio, Cuervo y Sobrinos, Fob Paris, Maurice Lacroix et Nivada…

  • WATCH COMEDY CLUB #190
    « La parole n’a pas été donnée à l’homme : il l’a prise »

    Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Louis Aragon (1897-1982) pour la citation d’un de ses nouvelles de son « Libertinage » (1924) qui compose le titre de notre chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on la transpose dans l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

  • BUSINESS MONTRES x ATLANTICO
    Quand la peinture prend son temps et quand le raisin se recycle dans le cuir : c’est l’actualité martienne des montres

    Mais aussi une certaine idée du chic à la française, des couleurs aux codes de la mode, la transparence comme principe de vertu, un vaisseau circumpolaire dans le vent et l’année des pendules… Images ci-dessous : c’est l’histoire d’une élégante French Touch au poignet (Briston)…

  • REPÉRAGES #22-2022 (accès libre)
    Sept montres qui voient battre leur cœur pour les pierres, les vagues et les fuseaux horaires

    Vingt-deuxième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du point de vue des marques et elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Briston, Frederique Constant, Maty, Mido, Ming, Omega et Swatch…

  • WATCH COMEDY CLUB #189
    « Est-ce que t'aboies tout le temps, petit roquet ? Ou est-ce que tu mords ? »

    Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Quentin Tarantino (« Reservoir Dogs », 1992 : M. Blonde à M. White) pour la citation du dialogue qui compose le titre de notre chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on la transpose dans l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

  • SANS FILTRE #45 (accès libre)
    « Alerte rouge : une fabuleuse arnaque est en formation ! »

    Les contes et légendes de l’horlogerie regorgent de mirobolants personnages, de somptueux escrocs et de faisans de très haut vol. Le miracle, c’est l’éternel retour de ces fripouilles sur le devant de la scène, avec les mêmes arnaqueurs aux manettes et de nouvelles générations d’idiots utiles. Cette fois, on va faire renaître l’horlogerie française : vrai de vrai, garanti sur (fausse) facture !

  • REPÉRAGES #21-2022 (accès libre)
    Sept objets du temps qui ont du cœur et qui ne manquent ni d’air, ni de style

    Vingt-et-unième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du point de vue des marques et elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Briston, Jaeger-LeCoultre, Linde Werdelin, MeisterSinger, Omega, S. Craft et Swatch…

  • WATCH COMEDY CLUB #188
    « Ah ! Monsieur, on ne se méfiera jamais assez de la poésie »

    Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au regretté Marcel Aymé (1902-1967) pour la citation qui compose le titre de notre chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on la transpose dans l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

  • LE SNIPER DU LUNDI
    Ces neuf jours de mutisme qui ne font vraiment pas honneur à notre industrie horlogère

    L’horlogerie vient de manquer un rendez-vous avec l’histoire en prouvant sa pusillanimité morale face à l’agression russe en Ukraine. Ce délitement éthique en dit long sur le désarmement mental des consciences face à l’urgence des profits à réaliser. Heureusement, il y a encore quelques belles histoires très positives à raconter pour sauver l'honneur des horlogers…

  • SÉANCE DE RATTRAPAGE semaine 09-2022 (accès libre)
    Une semaine agitée par la guerre dans la vie si calme des montres et de ceux qui les font

    Nous nous acheminons à présent vers la fin du premier trimestre 2022. De nouvelles perspectives s’ouvrent sur un millésime qui sera, après deux ans de pandémie, la première « vraie » année de la décennie 2020 – sauf que la guerre remet en cause toutes les prévisions. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces premières semaines de février, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

  • REPÉRAGES #20-2022 (accès libre)
    Sept montres qui prennent très au sérieux notre rapport à la nature et au monde

    Vingtième séquence pour bien démarrer cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du point de vue des marques et elles sont commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Bulgari, Citizen, Franck Muller, Girard-Perregaux, Louis Érard et SevenFriday…

  • WATCH COMEDY CLUB #187
    « Rares sont ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité »

    Des images détournées et des photos piratées dans cette séquence de pictofiction, qui est réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Albert Einstein (1879-1955) pour la citation de son « Comment je vois le monde » qui compose le titre de notre chronique. C’est fou le relief que ça prend quand on la transpose dans l’actualité horlogère. Non ? Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet (« Le jardin imaginaire »)…

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