Les nouveautés qui arrivent sur le marché, qui sont déjà en vitrine ou qui le seront bientôt. Des montres vues du côté des marques, commentées avec la délicieuse et jamais trop fleurie langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, c’est toujours intéressant de savoir ce qui se prépare. Sept montres cette semaine, une par jour (« Quand on aime, on ne compte pas ») et par ordre alphabétique d’apparition à l’écran : Bell & Ross, HYT, Junghans, Luminox, Patek Philippe, Speake-Marin et Zenith...

Depuis plus d’un siècle, les maisons de montres rivalisent de créativité et d’ingéniosité pour promouvoir leurs objets du temps. Il y aurait une thèse à écrire sur l’iconologie horlogère, qui témoigne de hautes pressions graphiques comme de basses pressions graphiques (ce qui serait plutôt le cas aujourd’hui) ! Histoire d’ouvrir la discussion, voici une sixième séquence de belles créations horlogères, juste pour le plaisir des yeux…

L’héraldique est une science passionnante, qui met le monde en images sans recourir aux mots : à la fois protecteur et repère dans l’espace-temps, chaque blason est une image qui condense d’autres images et exprimant une certaine identité et une conception du monde. C’est une prise de position face aux forces de l’histoire et de la vie.

C’est probablement la première fois qu’une marque suisse embauche un ancien lieutenant des SEALs de l’U.S. Navy (SEAL Team Three). C’est aussi la première fois qu’une marque Swiss Made se dote d’une direction des produits connectés et ouvre une antenne dans la Silicon Valley. La carpo-révolution est en marche !

Mais aussi quelques couleurs pour illuminer les heures, des étriers qu’on ne va pas vider et les couleurs nacrées de l’acétate marbré… Image ci-dessous : des couleurs primaires pour des mécaniques très complexes, dont la maîtrise devient un gage de progrès médical…

Comme les civilisations dont parlait Paul Valéry dans sa « Première lettre » de « La crise de l’esprit » (1919) et pour le paraphraser, « nous autres [entendons par là les marques de montres], nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Depuis le tournant du troisième millénaire, disons une bonne dizaine d’années (2006-2016), une bonne centaine de nouvelles marques ont disparu ou se sont fantômisées – quelque part en hibernation. Méditons ensemble dans ce cimetière des éléphants, qui est aussi le bûcher de nos vanités horlogères et de nos illusions économiques.

Pour TAG Heuer, le vélo n’est pas une terra incognita : dans le passé, la marque a parrainé des champions cyclistes (dont Jan Ullrich) et une équipe du Tour de France a déjà porté les couleurs de la marque (Kas-Mavic en 1986, mais également 7-Eleven). Pourtant, ce n’est pas en rêvant du passé que Jean-Claude Biver (re)lance TAG Heuer dans le cyclisme : c’est parce que le vélo est le sport de l’avenir pour les nouvelles générations. Emotions de milliardaire, passions de prolétaire : « C’est le nouveau golf », dit-on en Californie…

La démographie horlogère se porte mieux que jamais, avec le lancement d’à peu près trois nouvelles marques de montres par semaine un peu partout dans le monde. C’est très bon signe, même s’il est évident qu’une impitoyable sélection naturelle va s’exercer sur cette promotion 2016. Quelles sont les propositions les plus intéressantes de ces candidats aux splendeurs et aux misères de l’horlogerie ?

Comme les civilisations dont parlait Paul Valéry dans sa « Première lettre » de « La crise de l’esprit » (1919) et pour le paraphraser, « nous autres [entendons par là les marques de montres], nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Depuis le tournant du troisième millénaire, disons une bonne dizaine d’années (2006-2016), une bonne centaine de nouvelles marques ont disparu ou se sont fantômisées – quelque part en hibernation. Méditons ensemble dans ce cimetière des éléphants, qui est aussi le bûcher de nos vanités horlogères et de nos illusions économiques.

La guerre du quartz n'aura pas lieu. Du moins, pas tout de suite ! Propriétaire (entre autres sociétés) du motoriste Isaswiss, fournisseur de mouvements à quartz pour de nombreuses marques, le groupe hongkongais Chung Nam vient brutalement de tirer la prise en refusant de continuer à financer les investissements nécessaires. Heureusement, les Suisses font de la résistance…

Comme les civilisations dont parlait Paul Valéry dans sa « Première lettre » de « La crise de l’esprit » (1919) et pour le paraphraser, « nous autres [entendons par là les marques de montres], nous savons maintenant que nous sommes mortelles ». Depuis le tournant du troisième millénaire, disons une bonne dizaine d’années (2006-2016), une bonne centaine de nouvelles marques ont disparu ou se sont fantômisées – quelque part en hibernation. Méditons ensemble dans ce cimetière des éléphants, qui est aussi le bûcher de nos vanités horlogères et de nos illusions économiques.

Quelles que soient nos préférences politiques, celle ou celui qui entrera dans quelques jours à la Maison-Blanche aura une influence directe sur l’horlogerie suisse tellement les intentions des deux candidats sont tranchées et contradictoires. Regardons-y de plus près, en faisant abstraction des polémiques médiatiques de circonstance.

Sommet… de crise dans les studios du Forum de la RTS : Yvan Arpa (Artya), Philippe Belais (Vaudaux) et Grégory Pons (Business Montres) se penchaient sur « le secteur de l’horlogerie suisse en crise ». Et si on renouait avec la créativité en racontant à nouveaux de belles histoires de montres ? À écouter et à faire circuler…

Le fondateur d'Emmenegger Conseils (expert en recrutement de cadres dirigeants) nous rappelle comment la famine guette les marques qui vont se faire surprendre à contrepied par les mutations générationnelles en cours (éditorial pour le portail horloger suisse Swiss Time)

Soixante-douze montres restent en compétition pour les prix qui seront décernés le 10 novembre. Une seule sera récompensée par la fameuse Aiguille d’or, distinction la plus prestigieuse : cette consécration suprême du Grand Prix d’Horlogerie de Genève est décernée à la montre qui a été globalement le mieux notée par les jurés. Sauf que ce n’est pas si simple : la meilleure montre au classement par points ne fait pas forcément la meilleure Aiguille d’or…