Le bilan de l’édition 2022 du GPHG s’avère bien plus lourd que prévu : à force de danser au bord du gouffre, on finit par y verser ! Et c'est grave quand on s'affiche avec 390 000 francs suisses de prix moyen ! L’art de saborder une grande idée serait-il une spécialité genevoise ?

Mais aussi la conduite à gauche du chronographe de légende, les noces de sang d’une lune centrale et les multiples montres de l’année, côté français comme côté suisse… Images ci-dessous : il ne faut que trois mobiles supplémentaires pour ce calendrier mécanique (Ochs und Junior)…

En tout, vingt-et-unes récompenses ont été décernées, dont quatre doublés, mais on n’a compté que trois maisons vierges de tout prix dans ce palmarès, les autres marques cumulant déjà 108 récompenses (!) au cours des années passées. Une édition 2022 d’un GPHG plus caractérisée que jamais par son culte de l’entre-soi. Là, ça devient toxique et peut-être même mortel…

On va vous parler, entre autres, des montres préférées des amateurs tricolores, des montres préférées des jurés genevois, de la valeur de Rolex et de la campagne horlogère la plus drôle de cette fin d’année – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En parlant de bloc-notes, l’excellent Sylvain Tesson nous explique avec bonheur : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ».

141e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Ball, Chanel, Girard-Perregaux, Hamilton, Jaeger-LeCoultre, Polar et Timex x Hodinkee…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Georges Courteline (1858-1929) pour la citation de sa « Philosophie de Georges Courteline » qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

140e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Cvstos, Formex, Herbelin, Maurice Lacroix, Omega, Patek Philippe et Rolex…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Milan Kundera pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

On va vous parler, entre autres, d’un carton plein pour la seconde main, d’un tourbillon qui n’est pas genevois, mais cambodgien, d’un braquage totalement inattendu, d’une Frankenwatch, du grand banditisme parisien qui s’intéresse aux montres et d’un ticket de métro horloger – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En parlant de bloc-notes, l’excellent Sylvain Tesson nous explique avec bonheur : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ».

139e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bremont, Casio G-Shock, Cvstos, Gorilla, Konstantin Chaykin, Laps et Mido…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au trop méconnu Antonio Gramsci (1891-1937) pour la citation de ses « Cahiers de prison » (1948) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi le charme désuet du néo-vintage, les lumières d’un chronographe féminin, le GPS d’un chronographe enrhumé, le titane des grandes profondeurs et les violons de l’automne horloger… Images ci-dessous : au poignet d’un des vainqueurs possibles de la prochaine Route du Rhum (Herbelin)…

138e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Byrne, Cuervo y Sobrinos, Franck Muller, Patek Philippe, Perrelet, Richard Mille et Seiko…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’infatigable militant Martin Luther King (1929-1968) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Pierre Desproges (1939-1988) pour la citation de son « Vivons heureux en attendant la mort » (1998) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…