Retrouvez ici nos archives gratuites :
  • LES BELLES HISTOIRES DE L’ÉTÉ #11 (accès libre)
    Un aller sans retour pour acheter moins cher des montres suisses !

    Panique à Hainan, l’île paradisiaque chinoise où il se vend plus de belles montres (détaxées) que partout ailleurs dans le monde : dans le cadre des mesures anti-covid décidées par le pouvoir central chinois, pas loin de 100 000 touristes sont autoritairement confinés, sans trains ni avions pour quitter leurs hôtels de luxe et leurs fabuleux malls commerciaux…

  • WATCH COMEDY CLUB #250
    « Les miroirs sont des glaces qui ne fondent pas : ce qui fond, c'est qui s'y mire »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au malicieux Paul Morand (1888-1976) pour la citation de « Ouvert la nuit » (1922) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • BUSINESS MONTRES x ATLANTICO
    Quand la tortue met son chapeau et quand le tonneau se recentre : c’est l’actualité aoûtienne des montres

    Mais aussi une pré-naissance française, une naissance et une renaissance française, des poignets d’amour tout ce qu’il y a de plus iconiques et le jour le moins long… Images ci-dessous : le bestiaire d’une jungle fantastiquement surréaliste (Hermès)…

  • REPÉRAGES #82-2022 (accès libre)
    Six montres et un projet dédié au temps pour bien se préparer à une rentrée horlogère pas comme les autres

    82e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Carl F. Bucherer, Casio G-Shock, De Bethune, Formex, Pierre Lannier, Piaget et Undone…

  • WATCH COMEDY CLUB #249
    « Y a tant de vagues et tant d'idées Qu'on n'arrive plus à décider Le faux du vrai »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au regretté Michel Berger (1947-1992) pour la citation de son « Paradis blanc » (1990) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie ces paroles à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • REPÉRAGES #81-2022 (accès libre)
    Sept montres qui murmurent au poignet une singulière petite musique d’été

    81e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Christopher Ward, Seiko, Swatch, Tzoumy, U-Boat, Unimatic et Zenith…

  • WATCH COMEDY CLUB #248
    « Beaucoup s’ennuient et rêvent de la soupe, car, si tous les dieux dorment en toi, ne te reste que l’appel des satisfactions de ton ventre »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au très sage Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944) pour la citation de « Citadelle » (1948) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • BAROMONTRES 2022 #07 (juillet)
    Les faits, les hommes et les marques qui ont influencé la météo horlogère de ce mois de juillet 2022

    Dix coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pour le mois de juillet 2022, qui restera un étrange été pour l’industrie horlogère. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce second semestre 2022 : pour le meilleur ou pour le pire ? Les différents « avis » de ce mois-ci se partagent assez équitablement…

  • REPÉRAGES #80-2022 (accès libre)
    Sept montres qui prolongent au poignet les fêtes de l’été – sauf pour ceux qui préparent la rentrée

    80e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Flik Flak, Hublot, Ice-Watch, Mondaine, Piaget, Reservoir et Seiko…

  • WATCH COMEDY CLUB #247
    « Je n'aimerais pas vivre dans la Lune : ça m'embêterait de changer de quartier tous les neuf jours »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’inoubliable Francis Blanche (1921-1974) pour la citation qui compose le titre de cette chronique – un titre qui n’est pas sans rapport avec les phases de lune de nos montres. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

  • BUSINESS MONTRES x ATLANTICO
    Quand les arches font le pont et quand Saint-Tropez se recâble : c’est l’actualité pré-aoûtienne des montres

    Mais aussi une préparation toute en rose de la rentrée, un arc-en-ciel nimbé sous le cadran, un transfiguration vintage décongelée, un salon monté souplement, la nouvelle montre d’un président et des boîtiers qui attirent la lumière pour changer de couleur… Images ci-dessous : la magie quasi-urbaine d’un enchevêtrement mécanique qui sait rester esthétique (Greubel Forsey)…

  • SANS FILTRE #49 (accès libre)
    « Il faut qu’ils aient plein de montres dans leurs trousses d’écolier ! »

    L’horlogerie traditionnelle a du mal à se bouger les neurones alors qu’elle perd régulièrement des soutiens, tant du côté des jeunes générations que des seniors, plus « accros » à la montre connectée de santé qu’à l’icône statutaire – on parle ici des montres qu’on porte, pas de celles qui servent à spéculer. Pour ce qui est des jeunes générations, on pourrait profiter de la prochaine rentrée des classes pour reprendre des bonnes habitudes…

  • REPÉRAGES #79-2022 (accès libre)
    Sept montres qui vont mettre la pression sur les poignets lassés des icônes affadies

    79e séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les premières montres de ce second semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : De Bethune, Junghans, Mido, Oris, Panerai, Perrelet et TAG Heuer…

  • WATCH COMEDY CLUB #246
    « Ce n'est pas parce que l'homme a soif d'amour qu'il doit se jeter sur la première gourde ! »

    En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’irremplaçable Pierre Desproges (1939-1988) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait le même Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

médias

Nos dernières vidéos

Réseau sociaux

L'actualité en live

Nos articles

La Sélection

Restez informé !

Inscrivez-vous gratuitement à notre newsletter et recevez nos dernières infos directement dans votre boite de réception ! Nous n'utiliserons pas vos données personnelles à des fins commerciales et vous pourrez vous désabonner n'importe quand d'un simple clic.

Newsletter