Soixante-huitième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les dernières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Alpina, Arnold & Son, Auguste Reymond, Cvstos, Edox, FP Journe, L’Épée 1839…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Boris Cyrulnik pour la citation qui compose le titre de cette chronique (phrase trouvée dans une de ses interviews au « Monde de l’éducation », en 2001). C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Pourquoi 95 % – et sans doute davantage – des créateurs de nouvelles marques horlogères sont-ils des garçons ? C’est d’autant plus anormal que les états-majors horlogers commencent à laisser des places enviables à bon nombre de filles. Y aurait-il une macho-malédiction sur les nouveaux concepts de montres ? Il y a en tout cas là un mystère qu’il convient d’éclaircir. On va donc s’intéresser aux exceptions qui confirment cette règle…

Mais on va aussi vous parler de chaises musicales, de quelques rumeurs du jour, du ravi de la crèche qu’on a réveillé de sa sieste, d’une signature secrète qui doit le rester et de tout ce qui fait le sel de l’actualité des montres…

Soixante-huitième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les dernières montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Aerowatch, Arnold & Son, Bremont, Girard-Perregaux, IWC, Longines et Tsar Bomba…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’immortel Jacques Brel (1953-1978) pour la citation de son « Jojo » (1977) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi des clous de Paris pour une élégante comtoise, un partenariat franco-spatial, une aventurière dans le grand bleu, un rendez-vous de rentrée et une épatante chaîne du temps… Images ci-dessous : la moins conformiste des plongeuses contemporaines (Breitling)…

Dix coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie pour le mois de juin 2022, qui restera un étrange printemps pour l’industrie horlogère. Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce premier semestre 2022 : pour le meilleur ou pour le pire ? Avec une bonne dose d’optimisme : on ne trouve ce mois-ci que des avis de grand beau !

Soixante-septième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les événements et les partenariats de ce premier semestre 2022 sont racontés ici du strict point de vue des marques : ils sont ainsi commentés avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qu’il se passe sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept événements et autres partenariats de sept marques : Bianchet, Breitling, Czapek, Heurgon (Paris), Jaeger-LeCoultre, Panatere et Richard Mille…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand empereur et philosophe antique Marc Aurèle (121-180) pour la citation de ses « Pensées » qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Soixante-sixième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Arilus, Christopher Ward, Franck Muller, Herbelin, Nivada Grenchen, Oris et Roger Dubuis…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au définitivement subtil et profond Frédéric Dard (1921-2000) Chinois pour la citation des « Paroles de San-Antonio » (1999). C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Soixante-cinquième séquence de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers. Les montres de ce premier semestre 2022 sont racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont ainsi commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Breguet, Code41, Émille Chouriet, Frederique Constant, Norqain et U-Boat…

En une dizaine d’images détournées et de photos piratées, une séquence de pictofiction réalisée dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à la sagesse proverbiale des Chinois pour la citation qui compose le titre de notre chronique. C’est incroyable, le relief que ça prend quand on transpose ce raisonnement dans l’actualité horlogère ! Vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi l’art du sport chic qui passe en force, les couleurs d’une passion mécanique, l’été sans souci avec Ice-Watch, les héros texans de Christophe Claret, le succès d’une souscription et des nouvelles fraîches d’un vieux naufrage… Images ci-dessous : Ice-Watch monte au créneau pour chronographier un été en couleurs...