On aurait de prendre pour une péripétie subalterne nos révélations concernant la cession d’une partie du capital de Breitling à un fonds d’investissement : une nouvelle énergie commence à agiter la tectonique des plaques horlogères. Pour le meilleur ou pour le pire…

Des images détournées et des photos piratées dans ces pictofictions, réalisée dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Emil Cioran pour l’emprunt de la sentence qui compose le titre de cette chronique (citation extraite de son « Inconvénient d’être né », 1973). C’est fou ce que ça peut concerner l’horlogerie, non ?

Mais aussi une plongeuse sans combinaison de plongée, une nonagénaire sans rides, une star du périphérique, une main digitale qui gagne des millions et une petite nouvelle de la vieille école… Images ci-dessous : pensée à l’ancienne avec rigueur et amour dans les moindres détails, la nouvelle Old School de Massena Lab…

On va vous parler de nouvelles interventions vidéo, des Rolex qui changent trop violemment de poignet, de vaches à lait horlogères, des bons chiffres d’un sellier, de la procrastination chez les milliardaires sud-africains et de tout ce qui fait le sel de l’actualité des montres…

Des images détournées et des photos piratées dans ces pictofictions, réalisée dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Georges Brassens pour l’emprunt des paroles de sa chanson « La mauvaise réputation », qui composent le titre de cette chronique. C’est fou ce que ça peut concerner l’horlogerie, non ?

Dans le cadre de son projet « Prospérité commune » et dans l’esprit de la campagne égalitaire anti-riches qui se dessine à l’initiative de Xi Jinping, il aurait été anormal que le pouvoir central chinois n’en arrive pas à surtaxer les produits de luxe.

« Business Montres » vous annonçait avant-hier un bouclage imminent de cette opération de cession d’un cinquième des parts de Breitling par le fonds anglo-luxembourgeois CVC. Si la marque n’est pas (encore) milliardaire en chiffre d’affaires, Breitling vient cependant d’intégrer, aujourd’hui, le club très fermé des marques multimilliardaires en valorisation…

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des montres du second semestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Blancpain, Bovet 1822, Breitling, Cyrus, Frederique Constant, Michel Herbelin et Patek Philippe…

Son concept, lui, repose sur la simplicité. Alors que tant de jeunes marques tentent de se faire remarquer par leur radicalité conceptuelle ou par leurs agilité marchande, la nouvelle maison indépendante française BND Watches joue strictement la carte de la mémoire, aux accents d’une nostalgie librement assumée…

Des images détournées et des photos piratées dans ces pictofictions, réalisée dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci aux Pink Floyd pour l’emprunt des paroles de leur chanson « The Wall », qui composent le titre de cette chronique. C’est fou ce que ça peut concerner l’horlogerie…

Les lecteurs attentifs de « Business Montres » ne seront guère surpris par les révélations de Miss Tweed sur le prochain largage de YNAP (Yoox-Net-a-porter) par le groupe Richemont, qui échoue ainsi dans son ambition de mettre en place un canal e-commerce de référence. Qui va payer les pots cassés ?

La seconde partie de l’année 2021 est en train de tirer à sa fin, avec une première perspective sur 2022. La pandémie semble avoir relâché son emprise sur l’horlogerie, mais des mutations décisives sont à l’œuvre. Attendons quelques semaines pour en savoir plus… Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces derniers jours, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des montres du second semestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Junghans, MeisterSinger, Michel Herbelin, Patek Philippe, The Unnamed Society et TAG Heuer…

Des images détournées et des photos piratées dans ces pictofictions, réalisée dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Dalida pour l’emprunt des paroles de sa chanson « Paroles, paroles » qui composent le titre de cette chronique. C’est fou ce que ça peut concerner l’horlogerie…

Mais aussi la disruption horlogère à la dynamite, une montre d’espion digne de James Bond, une rançon de milliardaire, l’esprit du titane et les couleurs de la course… Images ci-dessous : la Winchester se découvre une vocation horlogère (The Unnamed Society)…