Donc, pas de Watches & Wonders (l’avatar pandémique du l’ex-SIHH) en avril 2021. Cette vaporisation digitale n’est pas une surprise pour les abonnés et les lecteurs de « Business Montres », alertés depuis des semaines sur ce qui se préparait et à peu près définitivement fixés à ce sujet voici une dizaine de jours…

Cinquante-sixième séquence de découverte de l’offre horlogère proposée au dernier trimestre 2020. Sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, le millésime 2020 achève enfin de prendre forme. Certaines nouveautés méritent le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse – souvent avec la jamais trop fleurie « langue de boîte », cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une montre par jour de la semaine, soit sept montres de sept marques (par ordre alphabétique) : Arnold & Son, Bovet 1822, Hublot, Jaeger-LeCoultre, Louis Moinet, Nomos et Panerai…

On va aussi parler des bidonneurs du faux luxe digital chinois, des célébrités qui ne servent plus à rien, du chômage partiel massif annoncé pour le mois de décembre, des prochaines statistiques d’exportations horlogères et des chaises musicales chez Richemont…

On vient de le vérifier : le GPHG a la tête hors de l’eau, mais il ne sait pas encore très bien nager. Pour l’édition 2021, qui ne saurait être organisée dans des pires conditions que celles de 2020, le cahier des charges doit être substantiellement reformaté…

Un sympathique « jouet de garçon » : la Batmobile de notre ami Batman repensée en horloge de bureau. C’est mécaniquement très bien pensé, esthétiquement impressionnant et commercialement séduisant, mais il faut se demander si les adulescents du monde d’après auront vraiment la nostalgie des fétiches du monde d’avant : ras-le-batman ?

Dans notre « zéro bullshit zone », nos lecteurs étaient en première ligne pour mieux comprendre ce qui est en jeu alors que l’horlogerie est au point mort. Cette année 2020 et la décennie qu’elle a ouvert seront décisives pour l’histoire des montres traditionnelles. Ce sera tragique pour certains, mais sans doute positif pour d’autres si les planètes s’alignent correctement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

91e épisode d’une nouvelle séquence « Horlomania », qui fait suite à notre précédent tour des montres en 80 tests. Classées en cinq disciplines de base, nos cinq questions du jour portent sur la manufacture De Bethune (seconde partie). Il s’agit avec ce jeu-test d’explorer les connaissances des primo-accédants à cette culture de la montre – mais cette série vise aussi à retremper les connaissances de tous les amateurs.

Cinquante-cinquième séquence de découverte de l’offre horlogère proposée au dernier trimestre 2020. Sous la menace d’une chronapocalypse incontrôlable, le millésime 2020 achève enfin de prendre forme. Certaines nouveautés méritent le détour : voici les sept montres de la semaine, racontées du point de vue des marques et commentées avec la délicieuse – souvent avec la jamais trop fleurie « langue de boîte », cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui se mitonne sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une montre par jour de la semaine, soit sept montres de sept marques (par ordre alphabétique) : Ashley May, Cuervo y Sobrinos, De Bethune, Franck Muller, Junghans, Piaget et Urwerk…

Défense de se prendre la tête, ni de tout prendre au pied de la lettre ! Une série de dessins détournés pour commenter une semaine de la vie des montres. Une collection d’images « piratées » pour échapper aux communiqués officiels et pour illustrer, sans se prendre au sérieux, une vision de l’industrie tout ce qu’il y a de plus sérieuse. « Business Montres » vous propose chaque semaine un autre regard sur la vie quotidienne des montres et des marques (certaines de ces illustrations sont récupérés dans nos pages quotidiennes d’actualité horlogère)…

Mais aussi trois anneaux qui libèrent les femmes, le carrosse mécanique d’un certain Batman, la montre la plus plate du monde et un sérieux traitement de l’économie circulaire… Images ci-dessous : des heures sous dôme dans les yeux d’une grenouille…

C’est une première dans l’histoire du Grand Prix d’Horlogerie de Genève : deux prix la même année pour des jeunes marques nées dans cette même année, alors que ces deux marques faisaient leur première apparition au GPHG. Derrière cette réussite, un certain Olivier R. Müller, qui avait déjà mené à bien la même opération avec Laurent Ferrier en 2010 et avec Rexhep Rexhepi en 2018. Derrière cette réussite, une méthode, une expérience et l'efficacité du redoutable « réseau Müller ». Décodage…

Certes, le GPHG a sauvé l’honneur en maintenant sa remise des prix contre vents et marées virales, mais c’était au prix de multiples ratages et d’un grand conformisme, qui n’a pas empêché le prix moyen de déraper dans les six chiffres. Dommage !

Ambiance Roland-Garros ce soir, au Théâtre du Léman à Genève : le GPHG jouera devant une salle vide une cérémonie des prix aussi convenue que les échanges de baballes sur le central déserté de l’Open de France. Plus grave que l’absence de public, l’absence de trop nombreuses grandes marques ! Cette année, bouder le Grand Prix de Genève n’était pas une erreur, c’était une triple faute…

Rien de plus… tarte qu’une doublure en tartan écossais ! Rien de plus banalisé qu’un trench-coat, vêtement centenaire qui n’a rien de spécialement branché. Pourtant, sans trahir ses codes, Burberry arrive à exprimer de façon très rupturiste son propre système de valeurs. Et si l’horlogerie s’en inspirait pour reformater sa communication ?

On va aussi parler de ce qui se trame à Palexpo, d’une certaine Miss Tweed, et, comme souvent ces jours-ci, des chaises musicales chez Richemont…