L’automne s’achève en débâcle. Les indicateurs de l’industrie des montres sont au rouge. L’hiver qui vient titube pour cause d’état de santé économique chancelante. La précarité s’installe dans les stratégies. Le millésime 2024 aura chamboulé tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine écoulée, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 282e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Bell & Ross, Girard-Perregaux, Laine, Louis Érard x Vianney Halter, Ressence, Solar Aqua et U-Boat...

195e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme... Merci au grand journaliste politique français Émile de Girardin (1802-1881) pour la citation de ses « Questions politiques » (1858) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler, entre autres, des bonnes affaires horlogères de ce Black Friday : les dessous d’une humiliation managériale, les ratés de la direction du GPHG qui frise la forfaiture dans l’affaire du prix de chronométrie, l’empressement du service après vente de ce GPHG, de harcèlement et d'inspirations exotiques – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

Mais aussi une fracturation arctique, une infinie patience en fil de soie, une friandise d’Art déco tricolore, une précision sans preuves et des raquettes qu’on recycle… Images ci-dessous : un coup de gel polaire sur une montre appelée à refroidir les poignets (Bell & Ross)…

On attendait Emmanuel : ce sera Jérôme ! On voyait Jérôme dehors, mais on le retrouvera dedans. On prend les mêmes et on recommence ! Le groupe Richemont est le champion du recyclage horloger…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 281e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Arnold & Son, Bremont, Casio x A.P.C., Louis Érard, Louis Pion, Timex et Titoni…

Chacun admettre que le certificat de chronométrie attribué à une montre qui se flatte de la qualité de chronomètre n’a rien de secret. Le mystère demeure donc d’une rare opacité : où sont passés les trois certificats de chronométrie revendiqués par la maison Lederer, titulaire d'un prix au GPHG, et pourquoi sont-il soudain devenus incommunicables ?

194e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme... Merci au magnifique et flamboyant écrivain pamphlétaire français Léon Bloy (1846-1917) pour la citation de son « Exégèse des lieux communs » (1902) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 280e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : B.R.M. Chronographes, Franck Muller, H. Moser & Cie., Jaeger-LeCoultre, Louis Érard x Vianney Halter, Pierre Lannier et Rado…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler, entre autres, des montres à quartz d’un célèbre général, d’une chronométrie questionnable, d’un nouvel atelier mécanique, de délestages et de colis piégés à tonalité horlogère – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 279e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Bremont, Casio, Franck Muller, Lip, MeisterSinger, Omega et Zenith…

193e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et qui décodent le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme... Merci à l’inoubliable général français Marcel Bigeard (1916-2010) pour la citation de son livre « France, réveille-toi ! » (1997) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 278e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec nos commentaires critiques sur sept montres de sept marques : Audemars Piguet, Eberhard & Co., Edox, Jaquet Droz, Junghans, Linde Werdelin et Ressence…

L’automne se termine dans une ambiance de débâcle. Les indicateurs de l’industrie des montres sont passés au rouge. L’hiver qui vient titube pour cause d’état de santé économique chancelante. La précarité s’installe dans les stratégies. Le millésime 2024 aura chamboulé tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine écoulée, à propos des hommes, des montres et des marques.