165e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci à l’immense dramaturge anglais William Shakespeare (1664-1616) pour la citation de son « Roi Lear » (1603) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler de la liste noire des médias dressée par Bernard Arnault, de barbouzes enrôlés par les groupes de luxe, des questions gênantes de Miss Tweed à l’actionnaire de Richemont, du blacklistage des non alignés, d’un scandale horlo-financier en Italie et de pingti ravageur – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 221e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Delbana, Frederique Constant, Hublot, Jaeger-LeCoultre, Traser, Venezianico et Zenith…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 221e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Eberhard & Co., Festina, Franck Muller, Herbelin, Perrelet, Rado et Ulysse Nardin…

Après un long tour de piste ponctué d’avancées méta-horlogères et parascientifiques pas toujours bien comprises par les états-majors de ses marques, Guy Sémon avait quitté sans prévenir le devant de la scène. On pouvait l’estimer perdu pour les beaux-arts contemporains de la montre. C’était mal connaître cet agitateur d’idées que de l’imaginer piégé dans ses parterres de pivoines…

164e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au génial inconnu qui a composé la belle sentence dédicacée au grand écrivain, philosophe et encyclopédiste français Denis Diderot (1713-1784) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 220e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Ba111od, Carl Suchy & Söhne, Delma, Festina, IWC Schaffhausen, Junghans et Perrelet…

Ce ne sont pas des contrefaçons, mais plutôt des répliques alternatives, des imitations ou des inspirations, non griffées, qui ne coûtent cependant qu’une fraction du prix exigé par les grandes marques qui pratiquent allègrement l’extorsion de fonds. Le succès des produits « pingti » auprès des consommateurs – prioritairement asiatiques – remet en cause tout l’équilibre des marchés du luxe. Salauds de Chinois ? Manque de chance, ce sont les jeunes créateurs horlogers qui ont inventé cette tendance lourde de la consommation contemporaine…

Pour l’industrie des montres, le second semestre 2024 se vit dans un état de santé économique plus que chancelant. Le millésime 2024 prend plaisir à chambouler tout le paysage horloger, avec ses guerres, ses crises économiques internationales et ses mutations socioculturelles ! Des bouleversements décisifs sont à l’œuvre. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 219e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Ba111od, Bvlgari, Carl Suchy & Söhne, Girard-Perregaux, Hublot, Jaeger-LeCoultre et Omega…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 218e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Backes & Strauss, Ball Watch, Bvlgari, Citizen, Chronoswiss, Junghans et TAG Heuer…

Nous vivons les dernières heures d’un été qui a commencé avec un parfum de crise et qui se termine par une vraie déclaration de crise. Cette année, ces « montres de l’été » n’en ont pas moins réjoui les poignets et les cœurs. Rétropédalons donc avant de tout oublier dans les sanglots longs de l’automne et les rigueurs de l’hiver qui vient…

163e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain et moraliste français Nicolas de Chamfort (1741-1794) pour la citation de ses « Maximes et pensées » (1795) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça pourrait prendre si on reliait cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 217e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Aerowatch, Biver, Chronoswiss, Cimier, Omega, Ralph Lauren et TAG Heuer…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 216e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Biver, Franck Muller, Frederique Constant, Herbelin, Omega, Panerai et Ralph Lauren…