En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 129e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bomberg, Frederique Constant, Louis Érard, Norquain, Parmigiani Fleurier, Piaget et Ulysse Nardin…

Cinquième Baromontres de l’année 2024, avec quinze coups de projecteur sur les grandes tendances climatologiques de l’horlogerie de ce cinquième mois de l’année. Les incertitudes qui se dessinaient fin 2023 sont devenues des certitudes : le premier trimestre 2024 s’est révélé difficile et exigeant, mais le deuxième le sera encore plus ! Notre Baromontres exclusif évalue les hautes pressions et les dépressions de la barométrie pour tout ce qui concerne l’industrie horlogère. Un bulletin météo en toute liberté et sans la moindre révérence, avec le seul souci d’apporter un peu de lumière sur ce millésime 2024, qui ne nous réservera sans doute pas le meilleur de ces dernières années…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 128e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bomberg, Frederique Constant, Hublot, Junghans, Parmigiani Fleurier et Raketa…

118e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand écrivain français Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944) pour la citation de son « Petit Prince » (1943) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 127e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bvlgari, Chanel, Franck Muller, Grand Seiko, Hublot, HYT et Parmigiani…

Mais aussi un tonneau qui va du maillot de bain au costume, une aiguille orange comme autrefois, un sourire qui s’arrondit à six heures, des chaises musicales et une montre à jeter de la tour Eiffel… Images ci-dessous : la fluidité du style et la carpo-élégance d’une grande mondaine (Gérald Charles)…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un nouvel épisode pour les chaises musicales chez Richemont, d’un aveu sous le marteau, d’un retour qui fait un détour, d’un retour après un grand tour, d’un harceleur qui annule et d’un oignon qui fait pleurer – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 126e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Breguet, Chanel, Credor, Ice-Watch, Kelton, Ulysse Nardin et Wyler Vetta…

117e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au toujours sarcastique écrivain français Jules Renard (1864-1910) pour la citation de son « Journal » (19 mars 1901) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un jeudi noir, de lumières jumelles dans la nuit, de la « guerre du lume » rallumée par Richemont, d’une leçon de design et du goût des malfrats pour la haute joaillerie – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 125e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Breguet, B.R.M. Chronographes, Bvlgari, Chanel, Hublot, IWC et U-Boat…

Dans sa mission d’informations en toute liberté, le Sniper va vous parler d’un champion de la langue de bois en prélassement mondain, d’un rendez-vous qui s’annonce tendu en Afrique du Sud, d’un entretien à ne pas manquer, de séries limitées qui ne le seront plus et de recettes oviculturelles – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde », nous dit Sylvain Tesson. Bloc-notons donc dans le chatoyant foutoir qu’est l’horlogerie telle que nous la vivons…

En toute transparence, ces nouveautés sont racontées ici du strict point de vue des marques. Elles sont expliquées dans la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, celle de nos « amies les marques » ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, au masculin comme au féminin, que va-t-on découvrir dans les vitrines ? Quand on aime, on ne compte pas ! Voici donc le 124e épisode de notre panorama des montres de l’année 2024, avec sept montres de sept marques : Bell & Ross, Bvlgari, Chanel, Franck Muller, Hublot, Junghans et Richard Mille…

116e épisode de nos « pictochroniques » qui racontent la vie rêvée des montres et le quotidien de l’industrie horlogère : histoire de mieux connaître et de mieux comprendre le microcosme horloger, voici une dizaine de pictofictions – aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Merci au grand et génial touche-à-tout Jean Cocteau (1889-1963) pour la citation d’un texte de son film « La sang d’un poète » (1930) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est intéressant, le relief que ça peut prendre quand on relie cette pensée à l’actualité de l’horlogerie. Non, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

La gentattitude, c’est assez sympathique, surtout au début : c’est si mignon, la gentaphilie ! Quand ça tourne à la gentamanie, puis à la gentalâtrie, on se lasse encore plus vite des gentâneries. En succombant à l’épidémie galopante de gentapathie, on sent poindre une sévère gentaphobie…