Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres de ce premier trimestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici (Suisse) ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Chanel, Chronoswiss, Frederique Constant, Grand Seiko, Greubel Forsey, Nomos Glashütte et Tsao Baltimore…

Mais aussi quelques aristocratiques bijoux de la Renaissance, des finitions 705 fois superlatives, un éclairage totalement recyclén des mariés qui prennent le volant et un maillot jaune qui change de montre… Ci-dessous : une terre sphérique aux océans bleus pour le quadruple tourbillon Greubel Forsey…

La page des années de bulle se tourne avec l’entrée dans les années 2020 : à quoi bon tenter d’importer des réflexes d’ancienne génération dans un nouveau monde qui se bâtit sur d’autres valeurs que le matérialisme consumériste et l’obsession prédatrice de l’avoir ?

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

L’alchimiste en chef de la FH nous prépare une fabuleuse transmutation destinée à nous faire croire au « retour de la croissance » dans un contexte de décroissance ! Très fort… mais pas très malin, sauf s’il s’agit d’ahurir le public avec des messages aberrants…

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres de ce premier trimestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici (Suisse) ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Breitling, Hermès, Luminox, Meccaniche Veloci, Perrelet, Roger Dubuis et TAG Heuer…

Comme, en plus, les bijoux des collections Tharros sont à la fois créatifs, spectaculaires et accessibles, et comme la tendance des marques de mode est au retour des formes très expressives dans les accessoires joailliers, il faut s’intéresser de près à cette petite maison florentine…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

La publication des bans de mariage entre Richard Mille et Ferrari ne sera une surprise pour les lecteurs de « Business Montres », prévenus depuis le début décembre dernier…

Le mois de février deviendrait-il le mois des partenariats automobiles ? Après les fiançailles « morganatiques » entre Porsche et TAG Heuer, la manufacture Girard-Perregaux jette son dévolu sur Aston Martin : coup de com' acrobatique ou mariage romantique ?

L’industrie des montres suisses n’est pas toujours logique, ni même décente : elle clame partout la vigueur de ses convictions environnementales, mais elle est prête à sacrifier la survie des derniers orangs-outans sur l’autel de profits horlogers d’autant plus mince que le marché indonésien est déclinant, sinon pourri…

Les années 2020 seront décisives pour l’histoire des montres traditionnelles. Ce sera tragique pour certaines maisons, mais sans doute positif pour d’autres si les planètes s’alignent correctement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

C’est à présent bien parti pour une année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques, qui résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres de 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici (Suisse) ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Alpina, Casio G-Shock, Chanel, Flik Flak, Longines, Nivada Grenchen et Zelos…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…