Percée qui n’arrange pas les parts de marché des concurrents et qui est d’autant plus méritoire qu’elle s’est opérée sur un segment de prix intermédiaire – encore 3 000 euros et 10 000 euros – que les marques suisses avaient tendance à déserter, alors que cette gamme est sans doute une des plus prometteuses, en termes de volume et de ciblage d’une nouvelle génération d’amateurs. Mais on a aussi plein d’autres histoires à vous raconter…

Nous sommes maintenant passés dans la seconde partie de l’année 2021. La pandémie semble avoir relâché – provisoirement ? – son emprise sur l’horlogerie, mais des mutations décisives sont à l’œuvre. Attendons ces semaines de rentrée pour en savoir plus… Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de ces derniers jours, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres du second semestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Voici une nouvelle brassée de montres qui étaient en compétition pour le GPHG 2021, mais les Académiciens sont malheureusement passés à côté. Nous avons déjà parlé de certaines d’entre elles (voir nos chroniques précédentes). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Airain, Bell & Ross, Dwiss, Edouard Koehn, ID Genève, Ollech & Wajs et Reservoir…

Des images détournées et des photos piratées dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Barbara pour cet emprunt à un de ses inoubliables titres fétiches…

Mais aussi un caisson ovoïde pour descendre plus bas, un chronographe de tradition à l’avant-garde des tendances, des enchères qui cabriolent tête bêche et de sérieux doutes sur la Chine horlogère… Images ci-dessous : Il faut bien un œuf pour se plonger dans le grand bleu (Ikepod)…

Le rendez-vous de Bâle tel qu’il nous a été annoncé pendant les Geneva Watch Days est sur le fil du rasoir : compte tenu de la polarisation des horlogers sur Genève et des contraintes de temps au printemps 2022, très peu de professionnels feront le déplacement dans les deux villes. Pour rebondir et retrouver un peu d'oxygène, Baselworld n’a plus le choix…

Des images détournées et des photos piratées dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci aux générations qui nous ont transmis, depuis le XVIIIe siècle, la comptine qui titre cette chronique…

Après le premier tour du vote de l’Académie pour le GPHG (Grand Prix d’Horlogerie de Genève), on voit déjà se dessiner le profil de l’édition 2021. Vous avez aimé la médiocrité du palmarès trop suisse de 2020 ? Vous allez adorer la désespérante banalité de la présélection 2021. Plus conventionnel, tu meurs : c’est à pleurer…

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres du second semestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Voici une nouvelle brassée de montres qui étaient en compétition pour le GPHG 2021, mais les Académiciens sont malheureusement passés à côté. Nous avons déjà parlé de certaines d’entre elles (voir nos chroniques précédentes). Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Breitling, Chopard, Christian Laas, Norqain, Schwarz Etienne et Trilobe…

La pandémie aura constitué, pour la manufacture Zenith, un raccourci inattendu pour recoller au peloton de tête de l’horlogerie traditionnelle : profits à la clé, la marque crève l’écran en Chine et retrouve le sourire sur le marché américain. Après avoir effacé la descente aux enfers de 2020, on sera au-delà des cent millions de chiffre d’affaires pour 2021…

Des images détournées et des photos piratées dans une logique situationniste, ou même warholienne, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre et la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à Renaud pour ce titre emprunté à son « Mistral gagnant » (1985) !

Les Geneva Watch Days sont derrière nous. Il est trop tard pour voter en faveur des montres présélectionnées pour le GPHG. Il faut déjà enfiler son gilet de sauvetage pour parer au tangage prévisible en Chine. Cette Chine était l’angle mort de l’euphorie du rendez-vous genevois : que se passera-t-il pour les horlogers suisses si la Chine flanche ? Et elle semble bien prête à le faire (merci à Marie-Paule pour le premier vers de ses « P’tits papiers », 1967)…

Les rêveries d’un promeneur solitaire sur les bords du lac, dans les suites, les salons, les pavillons et les boutiques, au hasard des tours et des détours de ces Geneva Watch Days 2021 : une mise en perspective forcément impressionniste, voire même pointilliste et parfois pixellisée, mais le tableau final y gagnera en précision dans les détails…

Nous sommes maintenant passés dans la seconde partie de l’année 2021. La pandémie semble avoir relâché – provisoirement ? – son emprise sur l’horlogerie, mais des mutations décisives sont à l’œuvre. Attendons ces semaines de rentrée pour en savoir plus… Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de ces derniers jours, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

2021, année de bonnes (et de moins bonnes) surprises dans les nouveautés lancées par les marques – lesquelles résistent tant bien que mal aux défis de la crise sanitaire. Voici une présentation des premières montres du second semestre 2021, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » horlogères. Voici une nouvelle brassée de montres en compétition pour le GPHG. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Gucci, Jacob & Co, Konstantin Chaykin, Massena Lab x Habring2, Montres KF, Parmigiani Fleurier et Raketa…