La chronapocalypse incontrôlable de 2020 persiste et signe dans ses ravages, mais, en 2021, les marques de montres font de la résistance. Certaines nouveautés méritent le détour. Voici une présentation des premières montres de la nouvelle année, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici (Suisse) ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Anonimo, Bvlgari, Isotope, Jacob & Co, Longio, Marnaut et Zenith…

La question est posée ! Les uns considèrent que seule une Rolex Submariner peut prétendre à s’imposer comme « la » montre de l’agent secret 007. D’autres en tiennent pour la Seamaster d’Omega. Quelques originaux parlent de Breitling, de Seiko ou même de TAG Heuer. Oubliez tout : voici la vraie montre du commander Bond…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

Jamais, depuis sa création, voici près de quarante ans (1983), le Swatch Group n’avait essuyé la moindre perte dans son activité annuelle ! Des comptes déficitaires, ça pique. Et ce n’est pas près de s’arranger en 2021, quoiqu’en pense Nick Hayek, surtout si c’est son neveu Marc qui reprend les commandes au printemps prochain…

Mais aussi les vrais vainqueurs horlogers du Vendée Globe, la providence des « cœurs brisés » et la Daytona de collection qu’on se mettre dans le crâne… Images ci-dessous : un jour de cristal pour un des mouvements horlogers les plus bizarres de notre époque et des heures en orbite qui font des tours et des détours...

Mais on va aussi vous parler de la différence entre espérer et anticiper, des chaises musicales chez Parmigiani, des stocks du Swatch Group, du triple vainqueur du Vendée Globe et d’une nouvelle « montre de l’année »…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

Ou bien ne serait-il pas ce machiavélique et génial manipulateur de la cote explosive des montres Patek Philippe que certains le soupçonnent d’être ? Des questions qui se posent après la décision de sortir du catalogue la légendaire Nautilus réf. 5711 en acier, qui est aujourd’hui une des montres les plus spéculatives du marché…

On va aussi vous parler du vrai prix de l’audience acquise par les influenceur des réseaux sociaux, des tilleuls de la discorde sous les fenêtres de Rolex, du prochain grand match entre les chronographes de légende du XXe siècle et du plaisir de déguster de bonnes vidéos horlogères en home office…

Vous entrez ici dans une Zero Bullshit Zone – territoire où il est interdit de se prendre au sérieux, de se prendre la tête et de tout prendre au pied de la lettre. Le détournement situationniste de ces images permet de commenter très sérieusement l’actualité des montres, mais sans verser dans l’habituelle « langue de boîte » chère aux marques horlogères…

La chronapocalypse incontrôlable de 2020 persiste et signe dans ses ravages, mais, en 2021, les marques de montres font de la résistance. Certaines nouveautés méritent le détour. Voici une présentation des premières montres de la nouvelle année, racontées du point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois de la communication horlogère. Dans tous les styles et à tous les prix, d’ici (Suisse) ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, pour les garçons comme pour les filles, il est toujours intéressant de savoir ce qui circule sur les marchés. « Quand on aime, on ne compte pas » : ce sera donc une montre par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Andersen Genève, Breguet, Charles Girardier, De Bethune, Girard-Perregaux, Swatch et Zenith…

On vous parlera aussi des aventures de Riri, Fifi et Loulou dans la numérisphère, de Belphégor dans les couloirs de sa manufacture, du pire quiz de l’histoire horlogère et des chaises musicales chez TAG Heuer…

Les années 2020 seront décisives pour l’histoire des montres traditionnelles. Ce sera tragique pour certaines maisons, mais sans doute positif pour d’autres si les planètes s’alignent correctement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

C’est avec une immense tristesse que nous avons appris, ce week-end, la disparition brutale de notre ami Joël Duval, le « Zen » de Forumamontres.

Une vénérable et authentique Rolex Daytona (millésime 1967) logée dans une tête de mort saturée de composants horlogers : c’est bien plus qu’un simple Memento Mori, c’est une interrogation philosophique sur la valeur du temps et de la vie. Ou de la mort. Ici, l’horlogerie et l’art se conjuguent : mettez-vous bien ça dans le crâne !