Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand sociologue Gustave le Bon (1841-1931) pour la citation de sa « Psychologie des foules » (1895) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Retour à son poste du Sniper pour une nouvelle mission d’informations en toute liberté : on va donc vous parler, entre autres, d’un « caillou » naturel plus dur que le diamant, de cette petite « note de performance » qui met Richemont en ébullition, du retour final de LVMH à Watches & Wonders, des nullités managériales qui nous quittent et de l’égo impérial de Nick Hayek – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

La guerre des clones, c’est la vraie tendance « me-too » dans l’horlogerie : chacun tente de faire comme les autres en même temps que les autres. Les saisons passent et les catalogues se gémellisent comiquement, jusqu’à prendre les loups pour des chiens. S’il est vrai qu’on risque moins de s’égarer sur les autoroutes qu’en prenant les chemins de traverse, on ne s’en sortira certainement pas en abusant du photocopieur…

96e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Aquastar, Duckworth, Etien, Laps, Marathon, Vasco et Wilbur…

C’est la vraie tendance « me-too » dans l’horlogerie : chacun tente de faire comme les autres en même temps que les autres. Les saisons passent et les catalogues se gémellisent absurdement. S’il est vrai qu’on risque moins de s’égarer sur les autoroutes qu’en prenant les chemins de traverse, mais on ne s’en sortira certainement pas en abusant du photocopieur…

Le premier semestre vit ses dernières semaines, confirmant que le millésime 2023, année de transition sera probablement celui de tous les dangers. Entre la guerre en Ukraine et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde (particulièrement sur les grands marchés horlogers), toutes les prévisions sont remises en cause. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

95e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Biver, Casio G-Shock, Jaeger-LeCoultre, Ming, Perrelet et Scurfa…

Un coup d’œil rapide sur la couveuse de l’horlogerie : les candidats à la grande aventure horlogère se pressent toujours sur les réseaux sociaux. Si le succès n’est pas toujours au rendez-vous, il y a. quelques leçons à tirer de cette dizaine de nouveaux bébés fraîchement débarqués dans cette couveuse…

94e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Atowak, Borealis, Laps, Sinn, Slava, Studio Underdog et Undone…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand écrivain et aviateur français Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944) pour la citation de son « Petit prince » (1943) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

93e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Backes & Strauss, Franck Muller, Etien, OOO, Pequignet et Vulcain…

Mais aussi le retour de la plongeuse toute en rondeurs, les belles montres des mamans qu’on aime, l’arc-en-ciel d’une parade virile, les perquisitions chez Swatch et la nageuse de combat portugaise… Images ci-dessous : la nostalgie d’un temps où les chronos d’aviation entraient dans la légende (Breitling)

Retour de Palexpo (Genève), où se tenait le salon Ebace2023 (European Business Aviation Convention & Exhibition », un rendez-vous immanquable de la communauté européenne de l’aviation privée. Difficile de faire plus haut de gamme et plus luxueux comme centre d’intérêt, mais difficile de trouver moins ostentatoire que l’allure de ces espaces d’exposition : on se demande pourquoi les horlogers, qui ne vendent jamais que des « petites » montres, en font autant dans le délire architectural et la mise en scène de leurs égos de marque…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand philosophe et empereur Marc-Aurèle (121-180) pour la citation de ses « Pensées » qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

92e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Bomberg, Louis Érard, Massena Lab x Mathey-Tissot, Raymond Weil, Singer Reimagined et Zenith…