Ce n’est encore qu’une information non officielle et non autorisée : les négociations vont encore bon train, mais une grande purge est annoncée dans les directions des marques horlogères du groupe Richemont. Après avoir décapité les directions commerciales, ce nouveau coup de torchon va trancher quelques têtes plus haut placées…

Une nouvelle séquence « Horlotainment » : c’est notre « horlo-divertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au regretté Georges Perec (1936-1982) pour le magnifique lipogramme monovocalique – une seule voyelle : le « e » ! – qu’il a offert à la langue française et qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

78e épisode de notre présentation des nouveautés d’un premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : ArtyA, Gorilla, Jaeger-LeCoultre, Panerai, Squale, TAG Heuer et Vacheron Constantin…

Les salons se suivent et ne se ressemblent pas. À quelques semaines d’écart, sous les mêmes halles bétonnées de Palexpo (aéroport de Genève), Watches & Wonders 2023 et GemGenève 2023. L’ancien monde des marques et les nouvelles valeurs du luxe, soit une confrontation entre le plus exclusif des enfermements statutaires et une ouverture affinitaire nettement plus conviviale. Les horlogers mériteraient largement un salon comme GemGenève : pourquoi les en prive-t-on ?

Retour à son poste du Sniper pour une nouvelle mission d’informations en toute liberté : on va donc vous parler, entre autres, de l’inflation au GPHG, d’un secret bien gardé, du « Che », d’une agression dans le métro, d’un dimanche entre amateurs, du club des joyeux repompeurs et de la prochaine dernière – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

77e épisode de notre présentation des nouveautés d’un premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Baume & Mercier, Memorigin, Omega, Parmigiani, Seagull 1963, Seiko et Sternglas…

76e épisode de notre présentation des nouveautés d’un premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Backes & Strauss, Casio G-Shock, Mr Jones, Omega, Panerai, Radcliffe et Ulysse Nardin…

Une nouvelle séquence « Horlotainment » : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’irremplaçable géant Charles de Gaulle (1890-1970) pour la citation de son « Fil de l’épée » (1932) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité des salons horlogers, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Retour du Sniper pour une nouvelle intervention en toute liberté : on va donc vous parler, entre autres, des chaises musicales de la semaine, d’une espèce en voie de disparition, du culot – gagnant ! – des repompeurs sous dôme et de la dextérité manuelle chez Ulysse Nardin – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

75e épisode de notre présentation des nouveautés d’un premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Charlie Paris, Cyrus, Franck Muller, Oris, Rolex, Tutima et Vaer…

Au cœur de ce printemps, de nouvelles perspectives se dessinent sur ce millésime 2023 qui sera probablement celui de tous les dangers. Entre les conséquences imprévues (et imprévisibles) de la guerre en Ukraine et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde (notamment sur les grands marchés horlogers), toutes les prévisions sont remises en cause. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques. Des actualités publiées pour que chacun puisse mieux tirer son épingle du jeu sur le tapis vert de l’économie des montres.

74e épisode de notre présentation des nouveautés d’un premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Ball, Louis Érard, March LA.B, Speake Marin, TAG Heuer, Traska et Zenith…

73e épisode de notre présentation des nouveautés d’un premier semestre 2023 : après le calme et l’embellie de ces derniers trimestres, la tempête ? Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas », voici donc une proposition par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Chanel, Franck Muller, IWC, Sinn, Ulysse Nardin, Unimatic et Zelos…

Une nouvelle séquence « Horlotainment » : c’est notre « horlodivertissement » organisé en une dizaine de pictofictions, sérieuses sur le fond sans se prendre au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’inoubliable auteur-compositeur Charles Aznavour (1933-2018) pour la citation de son célèbre « Hier encore » (1964) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité des salons horlogers, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi une citadine chic tenté par l’esprit militaire, un souffle estival sur fond d’azur, le précieux arc-en-ciel britannique, le fantôme du calendrier et un maître-atout pour l’horlogerie anglaise… Images ci-dessous : le rose poudré et le vert pâle préféré des élégantes « nageuses de combat » (Panerai)...