133e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bausele, Bomberg, Frederique Constant, Panerai, Patek Philippe et TAG Heuer…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Louis-Ferdinand Céline (1894-1961) pour la citation de sa thèse sur « Semmelweis » (1924) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

132e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Bausele, Blancpain, Bomberg, Delma, Franck Muller, Patek Philippe et TAG Heuer…

131e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Casio G-Shock, Gorilla, Junghans, Maurice Lacroix, Patek Philippe, Seiko et Zenith…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au toujours savoureux Mark Twain (1835-1910) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

130e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Ba111od, Grand Seiko, Junghans, Linde Werdelin, Patek Philippe, Rado et Romain Gauthier…

On est presque à bout touchant, pour le vote final de l’Académie comme pour celui des jurés « physiques » : parmi les 90 pièces en compétition, il serait inexcusable d’en oublier une dizaine qui vont marquer l’année. Ce ne sont pas les options de prix qui manquent pour les récompenser…

129e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Alpina, Junghans, Lip, Louis Érard, March LA.B, Patek Philippe et Roger Dubuis…

C’est l’info horlogère qui a le plus circulé la semaine dernière, sous le manteau, mais c’était une infox tellement évidente qu’on a du mal à comprendre comment certains médias horlogers ont pu se laisser prendre. La bonne question, c’est de savoir qui joue à quoi avec ce genre de fake news…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au trop injustement oublié Henry de Montherlant (1895-1972) pour la citation de son « Maître de Santiago » (cette furieuse apostrophe est de l’intransigeant Don Alvaro) qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère de ces Geneva Watch Days, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Mais aussi un rendez-vous cosmique avec les anciens Mayas, un rendez-vous chromatique avec la biodiversité polaire, un rendez-vous cadenassé par les amoureux parisiens, un rendez-vous tricolore dans le Doubs, un rendez-vous responsable avec la planète et un rendez-vous mondial avec la montre… Images ci-dessous : les heures précieuses de saphir bleu d’une montre qui sait aussi les faire sonner pendant un siècle (Patek Philippe)…

128e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces montres sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept montres de sept marques : Awake, Auricoste, Bell & Ross, Patek Philippe, Piaget, Raketa et Raymond Weil,…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand artiste Pierre Soulages (né en 1910) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère de ces Geneva Watch Days, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

127e épisode de la présentation des nouveautés de cette année 2022, millésime qui s’annonce comme celui de tous les dangers : après le calme et l’embellie, la tempête ? Ces objets du temps sont racontées ici du strict point de vue des marques et commentées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » (manufactures) d’horlogerie. Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou venues d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. « Quand on aime, on ne compte pas » ! Ce sera donc un dossier marquant par jour de la semaine – soit sept pièces de sept marques : Carl Suchy & Söhne, Keris, Kieninger, Konstantin Chaykin, L’Épée 1839 x Fiona Kruger, MB&F et Trilobe…

Une dizaine d’images détournées et de photos piratées : cette page de pictofictions est commise dans une logique situationniste, sans se prendre au sérieux, juste pour illustrer, commenter ou critiquer quelques scènes pittoresques de la vie ordinaire de la montre. Il s’agit de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci à l’empereur Napoléon Bonaparte (1769-1821) pour la citation qui compose le titre de cette chronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère de ces Geneva Watch Days, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…