Le premier semestre vit ses derniers jours, confirmant que le millésime 2023 – quelle année de transition ! – sera probablement celui de tous les dangers. Entre la guerre en Ukraine et la crise économique qui couve un peu partout dans le monde (particulièrement sur les grands marchés horlogers), toutes les prévisions sont remises en cause. Des mutations décisives sont à l’œuvre, sourdement ou plus lisiblement. Voici, comme tous les week-ends, tout ce qui a vraiment compté pour la communauté horlogère, au cours de cette semaine, à propos des hommes, des montres et des marques.

Retour à son poste du Sniper pour une nouvelle mission d’informations en toute liberté : on va donc vous parler, entre autres, du choix entre un blond et un brun, d’un million démonstrativement sociofinancé, de la dispersion d’une vie de chineur, du douloureux aveu d’un amateur de caviar et de cette « omegaffe » qui pourrit le climat sur le marché de la seconde main – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

108e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023. Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques : Chanel, Eberhard & Co, Norquain, Rado, Raymond Weil, Sinn et Undone…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au gentil Jean d’Ormesson (1925-2017) pour la citation qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

Impitoyablement traqués par la féroce patrouille des bien-pensants de l’horlogerie, les ultimes combattants de l’horlogerie traditionnelle tenteront cette année, pour le solstice de juin, leur dernier baroud d’honneur dans les profondeurs de la forêt du Risoud. Où en est donc le culte de Philippe Dufour, le maître-horloger qui avait vainement tenté d’inverser le cours de l’histoire des montres au XXIe siècle ?

Un développement micromécanique autour du silicium pourrait redonner un avantage compétitif à l’horlogerie française. Surtout si elle sait saisir cette chance de reprendre la main face aux Suisses…

Mais aussi un exceptionnel récif carpo-corallien, un cadran en quête d’Archimède, une main pleine de justice, une carpo-connexion inattendue, une révolution possible grâce au silicium et une « FrankenSpeed » qui fait causer… Images ci-dessous : les précieux robots à l’assaut du poignet des précieuses Chanelistas (Chanel) et le plus précieux plateau de fruits de mer joailliers (Bvlgari)...

107e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023. Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques : Chanel, Edouard Koehn, Rado, Ralph Lauren, Saint Honoré, Sinn et Undone…

106e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023. Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques : Boldr, Breguet, Chanel, Christopher Ward, Oris, Mondaine et Saint Honoré…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au grand Talleyrand (1754-1838) pour la citation de la formule lancée au congrès de Vienne (1814) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…

105e épisode de notre présentation des nouveautés du premier semestre 2023. Des montres racontées ici du strict point de vue des marques : elles sont expliquées avec la jamais trop fleurie « langue de boîte » – cette langue de bois des « boîtes » d’horlogerie, dont vous aurez compris qu’il s’agissait des « manufactures » de montres ! Dans tous les styles et à tous les prix, venues de Suisse ou d’ailleurs, à prendre ou à laisser, au masculin comme au féminin, il est toujours intéressant de faire le point sur ce qu’on va découvrir dans les vitrines. Quand on aime, on ne compte pas : voici donc sept montres de sept marques : Breguet, Chronoswiss, Hamilton, IWC, Louis Moinet et Sinn…

Retour à son poste du Sniper pour une nouvelle mission d’informations en toute liberté : on va donc vous parler, entre autres, du crash australien d’une Daytona, de la partie de chaises musicales qui vient enfin de commencer (une confirmation pour les lecteurs de « Business Montres ») ou de la responsabilité personnelle de Nick Hayek dans le nouveau Speedmastergate – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

Alors que toute la vallée de Joux, toute la Suisse et toute l’Europe horlogère se préparent à fêter ces jours-ci, avec le faste qui convient, le centenaire de la naissance de Philippe Dufour, le maître-horloger qui a inspiré et guidé la révolution de la montre au XXIe siècle, permettons-nous quelques réflexions intempestives sur les beaux-arts de l’horlogerie traditionnelle…

Retour à son poste du Sniper pour une nouvelle mission d’informations en toute liberté : on va donc vous parler, entre autres, des secondes capricantes qui pourraient valoir un million, de la vie pas toujours rose des grands actionnaires du luxe guettés par d’inquiétants requins et d’un rendez-vous communautaire inattendu – on en oublie, mais vous retrouverez tout ce petit monde dans les notes ci-dessous. En vous rappelant ce que l’excellent Sylvain Tesson nous dit d’un bloc-notes de ce genre : « Les blocs-notes sont des coups de sonde, des carottages donnés dans le chatoyant foutoir du monde ». Nous n’avons donc plus qu’à bloc-noter dans le chatoyant foutoir de l’horlogerie…

Voici une nouvelle séquence de nos « horlo-divertissements », dont chaque épisode compte une dizaine de pictofictions aussi sérieuses sur le fond qu’elles ne se prennent pas au sérieux sur la forme. Il s’agit d’illustrer, de commenter et de critiquer quelques scènes pittoresques de la vie rêvée des montres, histoire de mieux connaître et de mieux comprendre la saga quotidienne de tout le microcosme horloger. Merci au sympathique et compatissant « hussard » Antoine Blondin (1922-1991) pour la citation de ses « Quat’ saisons » (1975) qui compose le titre de cette pictochronique. C’est incroyable, le relief que ça peut prendre quand on marie cette sentence à l’actualité horlogère, vous ne trouvez pas ? Allez, cherchez bien ! Il suffit pour ça d’un peu d’imagination, comme le chantait Charles Trenet dans son « Jardin imaginaire »…